Izumi avait décider de ce déplacer elle même a la central sans son marie et malade, pour allé voir ses deux disciple, d'une certaine façon, on pouvait dire qu'elle s'inquiéter, cela faisant longtemps qu'elle ne les avait pas vu et son instinct lui disait de bougé, elle ne savait pas pourquoi. Et c'est ainsi que d'un soupir et pour la énième fois elle regarda par la fenêtre du train qui la mener vers eux. Par la fenêtre, la paysage du début du printemps apparaissait a toute vitesse, seule les reste de neige et la verdure environnante et croissante pour cette douce fin d'après-midi. Tant que le soleil ce couché doucement vers l'ouest les nuages auparavant blanc dans le ciel ce colorer un d'un rouge orange laissant filer quelque rayon s'écrasant sur le sol. Izumi finis par fermé les yeux nostalgique. Elle n'aimait pas être loin de son marie et seule.

Enfin, le train entra en gare et elle en descendit, se dirigeant vers le panneau d'information le consultât de manière minutieuse, au moins elle avait le sens de l'orientation, c'était un avantage, elle ne risquait pas de ce perdre dans la ville. Sortant directement de la gare et observant les étoile illuminer le ciel elle décida de faire un détour par le parc, elle n'avait aucune raison, c'était juste une impulsion soudaine, et la suivant elle s'y rendis, marchant avec grâce et lenteur a travers les rues de central, profitant du vent frais sur son visage qui jouer aussi, avec ses cheveux coiffer de leur manière habituelle.

Arrivant dans le parc, elle se mise a tousser et sortie un mouchoir de ça poche ou elle cracha y cracha quelque gouttelette de sang rouge et frais et, s'essuyant les coins des lèvres le rangea. S'asseyant sur un banc elle soupir et croisa les jambes, posant les mains sur ses genoux elle leva la tête et observa les étoiles clignotante dans le ciel bleu nuit ajouter a cela une belle lune ronde et pleine frappant son visage irradiant ça peau d'une beauté plus blanche qu'a l'ordinaire. Parfois, les nuages venait ce placé devant la lune interrompant le ballet mais a chaque fois, le vent poussé et laisser place a nouveau a ce globe argenté.

En musique de fond on pouvait entendre les brins d'herbe et les feuilles des arbres bruissaient longuement a la douceur du vent. Fermant les yeux elle se laissa envahir par les sentiments qui l'assaillait pencha la tête sur le côté. Enfin quand elle rouvrit les yeux elle vu une silhouette au loin, une petite silhouette bien familière restant un instant ébahit de le retrouvé si vite elle cligna des yeux et prononça d'une voix peut -mais qui reste sa voix de femme forte-

« - Edward? »

Si c'était lui il avait intérêt a courir très vite.

Petit leçon de vocabulaire, vous voulez-bien ? Vous allez voir, c'est très simple. Question : quels sont le ou les mots qui résument très rapidement mais avec détails une journée où lorsqu'on se lève, on se rend compte que son frère préfère papouiller des chatons, que même son colonel ne trouve pas le temps de le charrier ou de lui refiler une mission en exil à l'autre bout du pays, qu'on a plus aucun rapport à écrire pour ledit bâtard de colonel et que de toute façon, aller à la bibliothèque pour trouver un moyen de récupérer le corps de son frère adoré (qui préfère les affreux matous à son propre grand frère) puisqu'ils n'ont aucune piste en ce moment-même ne servait à rien ? Réponse : ennui total et mortel. Rien que bien compliqué, je vous l'avais dit. Eh bien, c'était exactement ce qui se passait pour notre cher nain de jardin ambulant. Une belle journée à ne rien faire.

En effet, en début de matinée de cette horrible journée, le FullMetal s'était levé à une heure assez matinale, ce qui était étonnant étant donné que c'était un paresseux depuis sa tendre enfance, croyant que Mustang allait lui refiler le sale boulot à faire aux frontières du pays. Et non, raté. L'homme aux cheveux noirs avait décrété qu'il était débordé, assis à son bureau sous l'oeil sévère du lieutenant Hawkeye, mais pourtant qu'il n'avait rien à donner au blondinet. Ce dernier sortit furax du bureau, fermant délicatement la porte. Autrement, la pauvre porte avait failli se retrouver par terre sous la fureur d'Edward Elric et sous la poigne de fer d'un automail fraichement huilé aux aurores.

Et ce n'était pas fini. L'aîné des Elric regagna son dortoir pour y rejoindre l'armure vide qu'était Alphonse, en espérant qu'il trouverait de quoi les occuper tous les deux. Manque de chance, il retrouva son cadet accroupi devant un carton plein de chatons miaulant fortement et complètement gaga des félins. Mugissant et hurlant, Edward voulut jeter les félidés en dehors de la pièce, et carrément en dehors du QG, puisqu'il avait pris une chambre dans les dortoirs et pas dans un hôtel pour changer un peu, mais Alphonse décréta que son frère était un monstre, et ni une ni deux, il pris ses animaux fétiches et sortit en courant bruyamment. De quoi en rajouter une couche sur l'humeur de l'Alchimiste d'Etat.

Le midi passa tout aussi lentement que la matinée, et Edward passa son après-midi à errer dans les rues de Central City. Pour une fois, il n'avait pas mis son manteau rouge. Parce qu'Alphonse avait dit qu'il fallait le laver, depuis le temps qu'il le traînait sur son dos et qu'il ne l'avait pas fait. Donc, il avait préféré se vêtir de son autre tenue, celle composé d'une chemise blanche, pantalon et chaussures noirs, ainsi que veste de même couleur assez longue. Pas de gants. Car il avait carrément déchiré les siens pendant sa dernière mission. Et le sort continuait de s'acharner sur lui.

Heureusement, il ne pleuvait pas. Manquerait plus que ça. Surtout que l'humidité, c'est très mauvais pour les articulations de ses deux mécagreffes. Winry lui avait déjà dit un bon nombre de fois en plus. Et d'ailleurs, une trop forte chaleur, c'était la même chose. Autrement dit, il ne faut pas qu'il fasse froid et humide mais faut pas qu'il fasse chaud non plus.

Alors que la nuit était tombée depuis un moment déjà, Edward n'était pas rentré dîner et se coucher. Il n'avait aucune envie de croiser Alphonse. Non mais. Il n'avait qu'à se rendre compte que son frère est aussi... Pardon, est plus important que des chats. Le FullMetal Alchemist se décida à traverser un parc, qui était complètement désert. Enfin, c'était ce qu'il croyait, jusqu'à ce que quelqu'un l'interpelle en prononçant son prénom. Impossible de confondre cette voix de toute manière. Et déjà, il commençait à avoir peur. Très peur. Lentement, il se retourna, priant un Dieu auquel il ne croyait pas de le sauver. Mais il fallait croire que Dieu ne l'aimait pas. En même temps, c'était compréhensible, vu ce qu'il avait pu dire sur lui. Dieu était-il rancunier ? A méditer.

C'est ainsi qu'il fit face à son tant redouté Maître. L'envie de prendre ses jambes à son cou était très forte. Mais s'il le faisait, il allait se prendre la dérouillée du siècle. Tant pis. C'était trop tard pour sauver sa tendre vie. Alphonse, il faut que tu saches que ton frère t'aimait malgré tout.

« Maître, c'est vous ? Qu'est-ce que vous faites ici ? »

Tout en parlant, il s'avançait vers elle. Mais avait la désagréable impression qu'il allait avoir mal dans les prochaines secondes. Au secours !

Oui c'était lui, la grande Izumi le regarda un instant crédule. Et bien décidément, le hasard faisant bien ou plutôt très bien les choses, car oui elle ne s'attendait pas a le voir si vite, elle pensait plus au faite qu'elle ferait le tour des hôtels ou pire allait a la central directement et comme par hasard on la reconnaitrais et comme par hasard toujours n'est-ce pas, on serait qu'elle est alchimiste et on voudrait qu'elle rentre dans l'armée. Foutaise ! Elle n'était qu'une simple femme au foyer ! Et elle s'en contenter très bien, après tout, elle avait aussi ses deux idiot de disciple a gérer, certes oui elle les considérait comme ses fils, certes oui mais il n'en était pas moins idiot … Combien de fois les avait-elle mis en garde contre le faite qu'il ne fallait pas TRANSUMUTER ?! Combien? Elle avait bien peur de compter en faite il valait mieux pour elle et surtout pour eux qu''elle ne compte pas.

Sortant enfin de ses pensées elle se releva de son banc et donna un coup de point a Edward dans le ventre. Baaa … après tout il allait pas en mourir n'est pas? Il avait vu pire et de toute façon pas qu'elle s'en fichait mais elle contrôler ça force il serait idiot de tuer celui qu'elle considère comme son fils non?

Tandis qu'il volait quelque mètre plus loin, d'un pas rapide et brusque qui n'en restait pas moins doux et gracieux elle se mit où ce pauvre Edward était allonger et le regarda en soupirant, c'était pas possible elle lui en demandais pas tant pourtant un petit peu de leurs nouvelle tout le mois non? Et savoir l'avancement des choses a la centrale, elle devait en être au courant. Au moins maintenant qu'elle était là elle pourrait voir les choses de ces propres yeux.

- Idiot de disciple

Remarque numéros une donné a Edward pour répondre a la question « c'est bien vous » Bien sur que c'était elle de toute façon, qui s'amuserait a le frapper comme ça? Wirny? Al? Elle en doute, et c'est par ailleurs plus par plaisir que par politesse qu'elle répondit

- Je suis venu voir ce que tu devenais.

Bien sur que si Izumi disait ce qu'elle pensait ! Enfin … dans certain cas, elle n'allait pas lui dire qu'il lui manquer après tout, ça serais choquant mais bon elle pouvait le montré enfin, ça lui arrivait. Toussant quelque peu elle mis ça mains devant ça bouche et cracha quelque gouttelette de sang, quand elle eu finis, bien sur sous le regard inquiet de Ed, elle rangea ce mouchoir et l'aida a ce relever. Oui oui, elle a des sentiments et c'est bien pour cela qu'elle le pris et le sera dans ces bras dans un long soupire.

- Idiot, répète-elle.

En ce moment-même, Edward se demandait s'il allait rejoindre un Paradis ou des Enfers auxquels il ne croyait pas. Il penchait plutôt pour la deuxième option. Être aux côtés de Satan en personne, quelle joie dites-moi. Comment Edward aurait bien pu imaginer qu'il ne rentrerait pas auprès de son frère ce soir ? Comment ferait-il maintenant pour s'excuser auprès dudit frère à propos de son attitude égoïste ? Le blondinet ferma les yeux un instant et inspira une grande bouffée d'air. Adieu Monde Cruel. Sache juste que le célèbre Edward Elric n'était pas petit. C'était, toi, le Monde, qui était trop grand. Voilà, médite bien à ça avant d'aller te coucher ce soir. Le FullMetal se décida enfin à rouvrir les yeux, pour avoir une vision d'horreur. Elle se levait ! Elle approchait ! Elle... le frappait. Et un Edward volant, un. A croire qu'aujourd'hui, il était d'humeur généreuse puisqu'il nettoyait même le chemin pour les passants en étant propulser dix mètres plus loin, tout en soulevant un gros nuage de poussière. Merci Edward, le chemin est beaucoup plus propre maintenant. Le concerné se tint le ventre avec un bras, essayant vainement d'oublier la soudaine douleur. Il se redressa finalement, se frottant le côté de son crâne, une expression traduisant parfaitement ce qu'il ressentait à ce moment-là. Et à part la douleur, il ressentait pas grand-chose.

Maintenant, il s'attendait à recevoir un autre coup. Ou deux autres. Peut-être trois même. Bon, attendons de voir. Une insulte - pas bien méchante, certes - parvint alors à ses oreilles. Insulte qu'il avait entendu un bon nombre de fois de la bouche d'Izumi Curtis. Ouiiii, il le savait qu'il était idiot, il n'y pouvait rien. En fait, non, il ne le pensait pas du tout. Quoique... Enfin, là n'était pas la question. La voix dure de son Maître lui apprit alors qu'elle était simplement venue voir ce qu'il devenait. Et sûrement ce que devenait son frère, par la même occasion. Un liquide carmin apparut alors dans son champ de vision et atterrit sur le sol, formant une petite flaque sur les pavés du parc. Immédiatement, Edward leva ses iris dorées, une lueur d'inquiétude à l'intérieur, pour observer la femme ranger un mouchoir taché.

« Maître ?!... »

Il avait beau être habitué à ce qu'elle crache souvent du sang, mais cela lui faisait toujours le même effet. Et Sig, son mari, n'était pas là ? D'habitude, lorsqu'elle faisait ça, il accourait pour s'occuper immédiatement d'elle comme il savait si bien le faire. Mais pas aujourd'hui. Edward regarda un moment, incrédule, la main tendue d'Izumi avant de la prendre pour qu'elle le relève. Sa surprise fut grande quand elle le prit alors dans une étreinte. Forte, mais douce à la fois. Comme le caractère de la légendaire Izumi Curtis. Une fois qu'elle l'eut encore traité d'idiot - il commençait à le savoir quand même -, il eut un moment d'hésitation, avant que le jeune homme se décide à lever légèrement ses bras pour répondre à l'étreinte maternelle.

« Je suis heureux de vous revoir, Maître. »