Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee]



 
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 Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee]

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Caroline Douglas
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MessageSujet: Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee]   Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee] Icon_minitimeDim 25 Nov - 12:40

Quelle journée fatigante pour notre chère petite infirmière, elle vient de passer une bonne partie de son après midi à faire des séances de rééducations, des soins habituelles et après une opération vu qu'aujourd'hui elle a seulement travaillé a partir de 13 heure comme elle était de garde hier soir. Mais l'opération dura assez longtemps vu qu'elle a finit à 22h30. Après avoir ranger ses affaires -sa blouse, ses chaussures spécialisé pour l'endroit et son petit bonnet- et enfiler sa veste, ses escarpins et son sac, elle alla voir ses collègues pour leurs souhaiter une bonne garde et quitta l'hôpital en fermant à clef l'entrée comme elle était déjà fermé avant. Elle se retourna vers la ville endormie et frissonna un peu, elle avait froid et détesta être dehors à cette heure là. Elle descendit les escaliers en se tenant les bras pour avoir un peu plus chaud et elle marcha rapidement vers sa maison. Rien de de pensé au temps qu'elle devra mettre pour enfin rentré chez elle -environ 40 minutes depuis l'hôpital- elle lâcha un long soupir. Elle se dirigeait vers les trottoirs qui sont éclairés et regarda les personnes dans les rues, ceux qui vont faire la fête d'après elle. Elle regarda ensuite ailleurs pour ne pas éveillé les regards des autres mais fixa la lune ronde.

Un peu plus tard, continuant son trajet vers sa maison, elle fut bloqué par des barrières,cause de travaux sur la route. Elle devait passer par une petite ruelle non éclairés. Elle regarda un moment cette fameuse ruelle et regarda si elle pouvait pas passer ailleurs, mais malheureusement cette ruelle contourne le pâté de boutique pour atterrir à l'autre bout de la route en travaux. Elle soupira à nouveau et entra dans cette ruelle. Ce qu'elle appréhendait, c'est de se faire agresser dans un coin désert. Le bruit de ses talons résonnait dans la ruelle, et le regard se glissa un peu partout pour surveiller les environs. Elle se tourna brusquement en criant à cause qu'elle avait entendu quelqu'un ou quelque chose faire tombé une poubelle. Elle posa sa main sur son cœur en soupirant de soulagement en voyant que c'était qu'un petit chat. Puis elle continua son chemin en restant prudente. Mais elle remarqua au loin une silhouette venir vers elle qui semblait marché un peu de travers.

Ses pas s'accélère pour rapidement croisé cette homme, mais malheureusement ce dernier l'accosta en demandant où était un endroit branché de la ville. Pour abrégé la conversation, elle lui répondit qu'elle ne savait pas et reprit sa route. Mais l'homme lui attrapa le bras.

-Mais ou tu vas belle demoiselle ? Tu as peur de moi? Je ne suis pas méchant pourtant.

-Lâchez moi ! Cria-t-elle en le frappant avec sa main libre.

Elle commença à courir mais se cassa un de ses talons de sa chaussure et tomba. L'homme se jeta sur elle et lui tenais les bras à coté de sa tête. Il sentit l'alcool à plein nez et Déborah se mordit les lèvres. Ce qu'elle craignait arrivé. Elle se fait agressé en pleine rue. Elle aurait du passer ailleurs, ou même faire un grand détour mais sous la lumière des lampadaires de la ville. Elle se débattait en criant, les larmes aux bords des yeux. Personne ne viendra c'est certain, elle va s'en doute se faire tué ou violer. L'homme lui dit de se calmer et sortit une bouteille à moitié remplit avant de la finir et la jeter ensuite et tenta d'embrasser la demoiselle. Mais cette dernière secoua la tête,chose qui ne fallait pas faire vu qu'elle se prit un coup de couteau dans le bras pour qu'elle se tiennes tranquille. Les larmes aux yeux, elle regarda sa plaie qui commençais à saigner tandis que l'homme lui l'embrassais dans le cou. Elle donna des coups de genoux dans son ventre en criant « lâchez moi ! »
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MessageSujet: Re: Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee]   Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee] Icon_minitimeMar 4 Déc - 14:30

Après un dernier détour par le domicile du généralissime qui n'était pas à son bureau étant donnée l'heure tardive, l'alchimiste écarlate repartit chez lui. Il faisait déjà nuit noire, ce qui n'était pas étonnant d'après la saison. Jetant un rapide coup d'oeil à sa montre, Kimblee constata qu'il était déjà aux alentours de 23h. La journée avait été longue, néanmoins l'homme au complet blanc semblait de relativement bonne humeur. Ce n'était pas si étrange, en définitive, puisqu'il aimait son travail tout particulièrement, ainsi y rester longtemps ne le dérangeait aucunement. A vrai dire, dés le moment où il rentrait, il ne se passait plus grand chose d'intéressant. Bien entendu, cela dépendait aussi des jours...

Celui-ci n'était pas si banal, apparemment.

Les cris qu'il entendit l'alertèrent assez vite. Dés qu'il fut fixé sur leur origine et la cause, à savoir une agression d'après ce qu'il en avait compris, il se dirigea vers le point du provenait le tapage. Lorsqu'il arriva à une vingtaine de mètres des deux individus, qu'il parvint à distinguer malgré la pénombre, il s'arrêta. Il ne savait pas exactement ce qu'il allait faire. C'est vrai, c'était plutôt risible de sa part d'aider une personne sans défense, Kimblee imaginait déjà la tête qu'aurait tirée Envy en voyant une scène aussi improbable. Il soupira et conclut que ça ne serait "pas très gentleman de sa part" de ne pas aider une jeune demoiselle en détresse -tout en songeant qu'Envy s'était de toute manière évaporé lors de son petit voyage au nord.

Plutôt rapidement, l'écarlate attrapa la veste de l'alcoolique et le fit rouler plus loin sans aucun mal, l'alcool amoindrissant la moindre résistance.
L'homme se releva, non sans peine. Il était de taille assez imposante et plutôt costaud. Kimblee aurait presque semblé petit à côté si l'autre avait eût l'air de mieux tenir sur ses jambes. De sa démarche claudiquante, il tenta d'atteindre l'alchimiste d'un large geste de bras, mal contrôlé, que son adversaire n'eût pas le moindre mal à esquiver. Bientôt, la démarche presque nonchalante de Solf se transforma en un mouvement plus calculé, bien que son adversaire ne vaille pas la peine qu'il se donne du mal. Pour tout dire, l'écarlate s'ennuyait. Il avait vu bien plus intéressant qu'affronter un homme complètement soûl, qui agissait au ralentit en beuglant quelques phrases sans qu'elles n'aient le moindre rapport entre-elles. Absolument passionnant.

Il jugea qu'il en avait assez et claqua dans ses mains. Oh non, il n'allait pas le tuer, bien entendu. Il ne méritait même pas ce sort.
L'explosion, calculée pour, ne souffla que la peau de l'avant bras gauche de l'agresseur. Il hurla. Les muscles à vif, en effet, ça ne devait pas être très agréable.

Se détournant de la masse geignante qui s'empressait d'ors et déjà de mettre les voiles, l'alchimiste écarlate se retourna vers une seconde masse geignante. Il cru tout d'abord que la jeune femme était simplement choquée, mais remarqua aussitôt le couteau planté dans son bras.
La question habituelle du "Vous allez bien ?" lui sembla fortement idiote. Il se contenta donc de garder le silence et d'aider la jeune femme à se redresser, puis observa la plaie avec plus d'attention.


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MessageSujet: Re: Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee]   Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee] Icon_minitimeSam 8 Déc - 16:31

Le temps devenait une éternité, comme si qu'il s'était ralenti. Elle commençait a perdre un peu trop de sang dû a sa blessure à force de se débattre. Elle ferma les yeux en criant faiblement mais donna un grand coup quand il lui toucha sa poitrine avec sa main encore en "bonne état". Mais d'un coup, elle ne sentit plus le poids de l'homme sur elle. Elle ouvra les yeux d'un coup en respirant sans difficulté vu qu'elle n'était plus écrasé par son agresseur légèrement enveloppé pour rester poli. Elle leva les yeux sur celui qu'il l'avait sauver, ou du moins sur l'ombre de cette personne en essayant de reprendre une respiration relativement normale. Elle regarda ensuite la plaie qui saignait à part sa veste. Il fallait qu'elle se soigne au plus vite ou sinon elle perdra beaucoup trop de sang et cela la conduirait vers une mort lente mais certaine.

Un « combat » s'offrait ensuite sous les yeux de la féministe, qui semblait assez drôle vu les défenses de son agresseur qui avait un coup dans le nez, ses mouvements étaient mous et il se ramassé les coups de son adversaire sans défense tellement que ses réflexes atteignent le zéro pointé. Elle leva les yeux pour observer ce qu'il se passait, ou du moins essayer d'observer. Déborah avait une très mauvaise vue dans le noir. Mais elle comprit que son agresseur perdait la partie contre le mystérieux homme. Une petite frayeur envahit quand elle se posait des questions sur ce dernier. Était-il dangereux pour elle ou pas ? En tout cas il donnait l'impression de venir en aide à elle. Mais après que ce passera t-il ? Allait-il reprendre la place du méchant ou était-il tout simplement bon et qu'il allait l'aider?

Dès qu'elle se sentait un peu plus mieux, elle essaya de s'asseoir mais préféra rester coucher car un vertige s'empara d'elle. Elle se tenait la tête en soupirant et se demandait pourquoi cela lui arriver,qu'est ce qu'elle avait encore fait pour être dans cette situation ! Mais ces questions disparu quand elle entendit que quelqu'un crier de douleur. Elle espérait pas que c'était l'alcoolique qui avait pris le dessus et avait blesser l'autre personne,même si cela paraissait improbable vu les raclés qu'il s'était pris avant. Mais on se sait jamais, la fureur peut faire perdre tout contrôle du corps !!


Elle regardait la personne personne qui s'approcha d'elle avec le cœur qui s'accélérer au rythme des pas. La féministe avait peur de se faire de nouveau agresser et posa son regard sur la personne. Elle soupira discrètement de soulagement quand elle remarqua qu'il ne voulait lui faire aucun mal mais au contraire, l'aider. Puis avec le soutient de la personne, elle essaya de se relever en plusieurs étape, la première, essayer de s'assoir sans vertige, elle respira donc doucement pour cela et gémit un peu du à la douleur de son bras. Comme la position dont elle était ne lui procurer aucun problème, elle prit dans son sac un rouleau de pansement et se retira le couteau du bras après avoir directement entouré sa blessure du pansement. Cela devra faire l'affaire pour un petit moment même si cela est part dessus les vêtements. Puis elle retira ses chaussures pour pouvoir marcher tranquillement sans se soucier de son talon cassé et elle s'agrippa à la veste de la personne pour pouvoir se lever en prenant son sac et s'appuya sur lui pour pouvoir rester debout. Elle avait les jambes qui tremblaient un peu et manqua de tomber. Elle ferma les yeux en respirant doucement pour calmer les vertiges et dit doucement:

-Emmenez moi à l'hôpital... s'il vous plait... j'ai les clefs dans mon sac...
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MessageSujet: Re: Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee]   Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee] Icon_minitimeDim 9 Déc - 9:09

Solf haussa un sourcil de surprise en remarquant la dextérité de la jeune femme lorsqu'elle se pansa. Il comprit qu'elle devait travailler à l'hôpital, puisqu'elle possédait les clés de ce dernier.

L'écarlate analysa la situation un instant. Il remarqua bien vite que l'agresseur qu'il avait blessé s'était éloigné, mais s'était superbement éclaté par terre un peu plus loin, sûrement plus à cause de l'alcool qu'autre chose. L'alchimiste soupira. Il était dans de beaux draps, maintenant. L'hôpital devait être à une presque une trentaine de minutes à pied, ce qui faisait relativement beaucoup. Kimblee songea que le QG de l'armée, quant à lui, était plus proche. Et puis, après tout, cela ne faisait de mal à personne d'user quelque peu de son autorité de temps en temps.

Remarquant la cabine à seulement quelques mètres, l'écarlate se retourna vers la jeune femme qui semblait avoir le souffle court :

"Restez ici un instant, je reviens."

Suite à ces paroles, il déposa délicatement la jeune femme contre le mur, afin qu'elle puisse s'y appuyer.

Solf décrocha le combiné et composa le numéro du QG. Il sortit ensuite un calepin où était noté son numéro d'identification secret. C'est une femme qui décrocha, malheureusement pour elle, le ton acerbe qu'elle prit ne plut absolument pas à l'alchimiste.

"Ici le QG de Central, toute communication venant de l'extérieur est interd-"

"-Je suis Solf J. Kimblee, l'alchimiste écarlate.", la coupa Kimblee d'un ton sec, puisqu'il sentait qu'il ne pourrais rien obtenir d'elle autrement "J'aimerai parler au soldat en garde ce soir."

"-Votre numéro d'identification."

"...S'il vous plaît", souffla l'alchimiste avec un sourire prédateur que la standardiste, sans le savoir, avait l'immense chance de ne pas apercevoir.

"S'il vous plaît", fit-elle, ne voulant pas que les conséquences d'un léger irrespect en vers un supérieur lui retombent dessus, puisqu'elle savait de nom que son interlocuteur n'était pas tellement du genre...commode, disons.

"Voilà qui est bien mieux !", répondit l'alchimiste d'un ton enjoué, mais qui ne cachait en rien son sarcasme.

Quelques minutes plus tard, il reposa le téléphone et retourna vers la jeune femme. Elle semblait toujours assez mal en point, mais son bandage avait l'air de faire son effet et limitait la perte de sang. L'alchimiste se pencha ensuite par terre pour récupérer le sac de la demoiselle, tombé pendant la lutte. Il y récupéra les clés de l'hôpital.

En à peine trois minutes après son coup de téléphone, deux voitures se postèrent dans la ruelle. Deux soldats sortirent de chacune d'elles, se mettant au garde-à-vous en apercevant l'écarlate, qui leur fit clairement comprendre d'un regard que les formalités passeraient en second, exceptionnellement.
Quelques instants plus tard, la première voiture démarrait avec à son bord la blessée et l'alchimiste d'état, tout deux assis sur la banquette arrière, suivie de la seconde comptant à son bord l'alcoolique, dont la blessure saignait plutôt abondamment.

Solf jugea qu'il était peut-être temps de se présenter, sans compter que la jeune femme devait sûrement se poser des questions sur son grade, étant donné qu'il n'avait eu aucun mal à faire déplacer des soldats pour une simple agression. De plus, il ne connaissait pas non plus le nom de la personne qu'il avait "sauvée".

"Je suis alchimiste d'état. Je me nomme Solf J. Kimblee", fit-il en s'interrompant devant la certaine animosité qui venait de traverser le regard de la jeune femme. Rien d'étonnant, son nom n'était inconnu à personne. Néanmoins, il l'ignora. "Alchimiste écarlate, enchanté."



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MessageSujet: Re: Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee]   Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee] Icon_minitimeDim 9 Déc - 12:33

"Restez ici un instant, je reviens."

Telle une poupée, elle se laissa faire par l'homme pour la poser contre le mur avant de partir. Elle le regarda s'éloigner en se tenant le bras car il commençait à lui picoté. Elle fit une petite grimace quand elle y déposa sa main et l'observa toujours. Il était à quelque mètre d'elle,donc elle se faisait encore agresser, il était encore les parages. Mais il faut dire que cet évènement l'avait traumatisé un peu. Dorénavant, elle essayait de rentrer avec un ou une de ses collègues pour éviter d'être encore agresser un autre jour. Elle tourna la tête pour surveiller la zone, mais non personne n'était dans les parages à part l'homme et elle même. Elle sourit en fermant les yeux, rassuré. Elle glissa contre le mur pour se reposer un peu car ces jambes étaient encore un peu tremblotante et regarde ses pieds nues qui était un peu froid à cause de la fraîcheur de la nuit. Mais c'était le seule endroit ainsi que ses mains où elle avait froid, puis,doucement elle somnola à cause de la fatigue de la journée en ouvrant parfois les yeux tout les 20 secondes vu que la blessure lui picoté encore.

Déborah ouvrit les yeux et regarda à nouveau la rue quelque petites minutes plus tard après avoir réussit à dormir environ pendant cinq minute, elle remarqua l'homme par très loin d'elle en train de ramasser ses affaires. Elle tourna la tête vers la route et remarqua deux voitures et observa ce qu'il se passait. A vu d'oeil, des soldats sont venus vu qu'ils avaient fait un salut militaire à la personne qui était avec elle. Elle en conclut qu'il les avait appelé pour elle. Quand elle remarqua qu'il se dirigeait vers elle, la féministe se redresse tant bien que mal,même si elle s'est remis de cette agression et qu'elle avait plus les jambes qui flageolent. A de l'aide, elle réussit à marcher vers la voiture et s'assoit lourdement sur la banquette. A moins elle était au chaud pendant quelque temps. Elle regarda sa blessure qui semblait arrêté de saigner. Elle sourit doucement et tourna la tête vers l'homme à coté d'elle qui la regardait aussi.

"Je suis alchimiste d'état. Je me nomme Solf J. Kimblee" Il ajouta ensuite "Alchimiste écarlate, enchanté."

Un alchimiste d'état alors l'avait sauvé. Même cela paraît très surprenant car pour elle c'est l'un des seules choses que « l'armée » avait fait de bien. L'accident de la guerre resta encore au travers de la jeune femme qui avait perdu son père à cause de ça. Mais en même temps, c'est grâce à ça que ça rancune envers l'armée est pas au plus haut point vu qu'ils doivent exécuter les ordres. Donc grâce à son père, qui n'était pas le genre à tué à tord et à travers, lui avait expliqué étant petite qu'ils étaient obliger de faire ces sales choses même si le cœur ne s'y prête pas, elle «apprécia» un peu ces gens. Enfin son avis est un peu compliqué, elle les détestent mais les apprécie en même temps. Elle le regarda toujours et tourna la tête pour regarder par la fenêtre.

" Je m'appelle Déborah Adams, je suis infirmière à Central."

Puis elle tourna la tête à nouveau vers lui.

"Et merci de m'avoir porter secours avant. J'ai terminé très tard ce soir et personne ne pouvait m'accompagner. Mais bon, maintenant je veillerais à rentrer avec un ou une de mes collègues, quitte à dormir sur place ou rentrer plus tôt. Ma sécurité avant tout quand même.
"
Elle lui fait un petite sourire et regarda à nouveau par la fenêtre et remarqua qu'ils sont bientôt arrivés. Elle soupire discrètement de soulagement en pensant que sa collègue pourras la soigner car se soigner soit même c'est un peu compliqué, surtout quand que l'état du corps est pratiquement faible, si elle le pouvait elle pourrait s'endormir dans la voiture. Arrivé devant l'hôpital, elle sortit lentement sans faire de choc avec son bras et marcha doucement avec l'entrée et attendit qu'il puisse ouvrir la porte vu qu'il avait les clefs.

Une fois ouvert, elle marcha dans le couloir et se lança a la recherche de sa collègue dans la salle des personnels. L'étonnement de sa collègues provoqua un discutions rapidement de sa venue et Déborah s'assoit sur la chaise et se laissa soigner par sa collègue qui lui retira son bandage. Puis elle enleva sa veste et sa chemise pour pouvoir désinfecter la plaie. La féministe se mordit les lèvres quand sa collègues lui appliqua le coton imbibé du désinfectant et se laissa enrouler le bras d'un pansement neuf. Elle se rhabilla en remerciant sa collègue et se prend un fruit dans une petite corbeille à fruit. Elle quitta la salle doucement ensuite pour se diriger vers la porte d'entrée accompagné de l'homme. A pleine dent, elle croqua le fruit pour calmer un peu sa faim et tourna sa tête vers lui après avoir vider sa bouche.

-Vous pouvez m'accompagner jusqu'à chez moi ?

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MessageSujet: Re: Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee]   Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee] Icon_minitimeDim 16 Déc - 15:20

Solf ouvrit la porte de l'hôpital. Connaissant le chemin, Déborah Adams se dirigea rapidement à travers les divers couloirs. Une fois entrée dans une salle après une brève discussion avec ses collègues, elle y resta une dizaine de minutes puis en ressortit, un nouveau bandage au bras. A son propre étonnement, l'écarlate était resté et feuilletait un journal. Il fallait dire qu'il n'avait plus beaucoup eu ni le temps, ni l'intérêt d'en lire un. Après tout, connaître les facettes les plus obscures de ce qui allait advenir du pays était déjà assez, et Kimblee se doutait que rien dans un journal ne valait autant la peine. Il sourit à cette pensée. Il avait décidément hâte que la réelle bataille commence. Pendant son attente, il avait même eu le droit à des remerciements de la part de quelques infirmières, auxquelles il répondit qu'il n'avait fait que son travail. Ce n'était que la simple vérité, après tout.

L'alchimiste retrouva une expression neutre et se leva. Il raccompagna jusqu'à l'entrée la jeune femme, dans le silence, n'étant de toute façon pas très bavard de nature. Et puis, il était maintenant plus de minuit, ce qui n'arrangeait pas vraiment ce côté-ci, puisqu'il devait avouer qu'il se serait bien passé d'allonger encore plus sa journée.
Après avoir croqué dans un fruit qu'elle avait pris en sortant de la salle, Déborah se tourna vers l'écarlate, un peu perdu dans ses pensées. Tout dans sa tête le ramenait à son travail et ce qu'il aurait à faire le lendemain. Il ferma un instant les yeux afin de se concentrer à nouveau sur l'instant présent et tourna à son tour la tête vers l'infirmière.


"Vous pouvez m'accompagner jusqu'à chez moi ?"

"Je pense qu'au point où nous en sommes, ça ne changera plus grand chose pour moi maintenant.", répondit-il avec un léger sourire amusé.
"A vrai dire...", continua l'alchimiste en désignant l'une des voiture de soldats "...Je leur avais déjà demander de rester."

L'écarlate ouvrit la portière de la jeune femme et la laissa passer, prenant à nouveau tous deux place à l'arrière. Le soldat démarra, tandis que la deuxième voiture militaire repartait vers le QG. Leur chauffeur demanda l'endroit de leur destination, ce que Solf laissa à Déborah le soin d'expliquer.
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MessageSujet: Re: Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee]   Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee] Icon_minitimeDim 16 Déc - 16:19

"Je pense qu'au point où nous en sommes, ça ne changera plus grand chose pour moi maintenant."

Déborah sourit un peu en le voyant aussi sourire et récupère les clefs de l’hôpital en les prenant lentement des mains de Solf vu qu'ils arrivèrent vers la porte d'entrée.

"A vrai dire....Je leur avais déjà demander de rester." dit-il en désignant la voiture.

Avant de fermer à clefs la porte, elle leva la tête pour observait rapidement la voiture. Puis elle les rangeait dans son sac et se dirigeait vers son "carrosse " pour s’asseoir comme avant sur la banquette arrière. Elle posait son sac sur ses genoux et expliqua le chemin à prendre au chauffeur. Malgré la fatigue qui pesait sur les yeux de la demoiselle, elle resta attentive aux direction prises par la chauffeur et aux questions posés par ce dernier. Elle avait hâte de plonger dans son lit après avoir manger un petit truc rapide. Mais en attendant, elle mangea son fruit en excusant de manger dans la voiture vu qu'elle n'avait rien mangé depuis midi à cause de son opération qui a pris un temps fou.

Quelque temps après, la voiture se trouva dans le quartier de Déborah, elle indiqua sa maison du doigt pour que la voiture puisse se garer devant. Elle se détacha et rassemble les affaires avant de sortir,se tourna ensuite vers Solf.

-Merci encore d'être venu à mon secours, et désolée du dérangement.

Un sourire s'afficha sur le visage de la féministe et sortit de la voiture en leurs disant "Au revoir" et se dirigeait vers sa maison. Elle pouvait dire enfin que c'est journée se termine enfin.
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MessageSujet: Re: Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee]   Promenade nocturne, faute au travail [privé avec Solf J. Kimblee] Icon_minitime

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