Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]



 
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 Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]

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MessageSujet: Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]   Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari] Icon_minitimeMar 13 Aoû - 17:03

Central..... Voilà bien une ville que Jurian devrai évité, centre d'Amestris, cette zone est une de celle qui regorge le plus de militaire, pourtant il n'avait pas peur, il n'avait plus ce sentiment humain, comme les autres d'ailleurs, son regard était vide sans aucune émotion, et pourtant son aura ne comportait pas une seul tâche sombre.
Son âme était sûrement la plus pure existante, il a eu beau vivre dans la forêt, à se nourrir comme il le pouvait et à se défendre contre la nature sauvage alors qu'il était encore un simple ado qui avait été séquestrer toute sa vie, il n'en voulait à personne, au contraire il aidait sans cesse son prochain, pourtant..... Il était si seul....
Sa vie n'était qu'abandon et solitude mais il était toujours rayonnant de bonté, toujours polie et courtois, au allure et bonne manière d'un véritable majordome, mais se sentiment de vide en lui, pourrai-t-il un jour le combler, toute les nuits il rêvait de sentir la chaleur d'une main tendu amicalement vers sans attendre quoi que soit en retour ou sans le faire par pitié, mais se rêve était-il irréaliste...

Mais revenons en à maintenant, le jeune homme entra dans une auberge afin de se rafraîchir, il faut dire qu'il aimait très moyen le soleil, mais bref, il s'approcha du comptoir, il avançait telle un assassin, si silencieusement et discrètement qu'absolument AUCUNE personne ne le remarquait, alors qu'il y avait beaucoup de monde.
Au moment où il arriva même la personne qui s'occupait de servir les boissons sursauta tellement il était discret, il prononça d'une voix faible et sans aucune assurance:

Jurian:"un..... un thé à la mente s'il vous plaît..."

Puis après être servit il alla s'assoir sur la chaise la plus loin de l'auberge, il était presque cacher par les ombres et absolument personne ne faisait attention à lui, il buvait son thé, ses lunettes cachait ses yeux comme d'habitude et surtout il était seul.
Voilà le résumer de sa vie, une vie sans exprimer aucune émotion et ne connaissant que la solitude, il était comme un lueur de lumière enfermer dans l'ombre.
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MessageSujet: Re: Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]   Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari] Icon_minitimeVen 16 Aoû - 7:36

"La vérité est solitude. L'agonie est solitude"
La nuit des immensités
Hikaru se baladait dans la rue, là, au milieu de cette foule, seule. Seule, comme tout au long de sa vie, vivant comme elle avait toujours vécue. Elle marchait droit devant elle sans même savoir ou elle. Sans même avoir que faire.
La foule était immense, et la jeune fille en eu mal à la tête. De partout, les gens se bousculaient, ne cessant jamais une seule seconde leur brouhaha. La pluie se mit à tomber, puis quelques coups de tonnerre. Effrayée et exténuée, elle se dirigea vers une auberge. Le lieu était assez calme. Enfin, très calme par rapport à dehors. Il y avait un piano vers le fond de la pièce. Sur deux tables jointes, quelques hommes faisaient un tournois de bras de fer, très concentrés. Deux autres attendaient, des billets à la main. Plus loin, il y avait une dame et son bébé, blotti dans ses bras.
Elle se rappela alors, toute la douceur que sa mère lui avait donné, avant de l'envoyer vers l'enfer. Tout ce qu'elle faisait pour la rassurer, quand quelque chose n'allait pas. Souvent elle lui chantait une berceuse, très douce, jusqu’à ce qu'elle s'endorme pour ensuite tout oublier.
Mais tout cela n'était plus. Désormais, Hikari ne pouvait compter que sur elle même, pour se rassurer. Se rassurer du temps qui passe, de l'orage, dont elle n'avait jamais eu peur avant d'entrer dans ces laboratoires...
Délicatement posée sur chaque tables, il y avait des petites fleurs blanches. Elles étaient très jolies. Hikaru se dirigea vers le comptoir, en emportant avec elle l'une de ces fleurs blanches.
"- Bonjour Monsieur, je voudrais un simple verre de lait s'il vous plait."
Prenant le verre pour aller s’asseoir, elle eu à peine le temps de le poser sur la table, que l'un des concurrent au bras de fer se mit à s’énerver. Tapant du poing sur la table, il se querellait avec ce qui était sans doute l'un des parieurs. Les autres se joinrent à la disputes, qui devint de plus en plus violente verbalement, et débuta physiquement. L'un des serveur tenta de les calmer, en les separant. Le bébé, agressé par le bruit fort et soudain se mit à pleurer. La mère, paniquée, essaya tant bien que mal de le calme.
Hikaru se leva de sa chaise,pris son verre, et, calmement, pris place sur le piano. Elle se remémora les doigts de sa mère, et les siens qui l’accompagnaient. Elle se remémora sa douce voix, et, tandis qu'elle y repensait, elle effleurait du bout des doigts chaque touches du piano, puis se mit à jouer, et chantant la même berceuse que sa mère lui chantait. [Click here~]
Lentement, les bruits se calmèrent, les hommes se tournèrent pour l'écouter, et le bébé stoppa ses pleurs. Puis, quand tout fut arrêté, quand le temps sembla figé, elle s'arrêta de jouer. Elle repris son verre et descendit les petites marches.
L'orage, qui sembla vouloir se joindre à la danse éclata de nouveau brusquement. Les lumières s’éteignirent un court instant, tendis que la foudre illuminait la pièce. Hikaru, paniquée, tomba vers le jeune homme devant elle.
Lorsque les lumières se rallumèrent, elle pu observer son visage. Il avait la peau très blanche et les cheveux noirs. Perdu, Hika' s'excusa comme elle le pu, toujours par terre, en boule, les mains sur la tête, craignant qu'on ne l'attaque. Evidemment elle aurait pu se défendre si cela arrivait, mais elle lui était littéralement tombée dessus. Une chance qu'elle avait lâché le verre sur le coup de la peur un peu plus tôt...
Et la jeune fille continua à s'excuser, désespérément, et apeurée.
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MessageSujet: Re: Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]   Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari] Icon_minitimeVen 16 Aoû - 9:30

Jurian buvait son thé tranquillement dans une ambiance si solitaire, dans le coin le plus sombre, personne ne le voyait ou presque et de toute façon même les personnes qui le voyait ne lui soufflèrent même pas un mot.
Sa tristesse était aussi énorme que son thé était chaud, mais il ne versa pas une seule larme, il était devenu insensible à ses propre émotion, il avait oublier leur définition et même l'effet qu'elles produisaient, il ne savait pas quoi ressentir, tellement que toute sa vie ses yeux était vide de toute âme, peut-être que c'était aussi pour cette raison qu'il cachait ses yeux avec ses lunettes.
Il buvait son thé les yeux fixant son katana attacher à sa ceinture, cette arme lui rappelait tant de souvenir, et il considérait cette armes comme sa seul famille.
Pendant que lui scrutait son arme et son thé, Flint lui, son corbeau au magnifique plumage blanchâtre, mangeait les miette de main sur la table.

Puis à un moment, l'orage éclata et c'était même très violent, il vu une jeune fille rentrer dans l'auberge, c'était même très étrange qu'une fille aussi jeune aille dans un endroit si masculin elle pourrai se faire agresser par n'importe qui, elle avait d'ailleurs l'air terrifiée et seul.
Il l'a regarda, pourquoi? Lui même ne le savait pas.... Cette jeune femme demandait un verre de lait.
Quelque minute après qu'elle se soit assied, une bataille éclata dans l'auberge et la ce fut le chaos, un chaos dont lui et la fille seulement ne participaient pas, il allait se lever pour partir mais juste avant la jeune fille joua un air si beau et si calme qui apaisa tout le monde, il trouva ça si sublime... Pendant qu'elle jouait du piano, il ouvrit un carnet dans lequel était écrit "poème", puis il se mît à écrire:

----------------------------------------------------------

Chanson des mœurs, chasse les peurs:


Chanson d'enfant qui berce les cœurs
Éloigne de moi à jamais toute les peurs
Cette chaleur en entendant le son de t'es parole
C'est grâce à celle-ci que mon esprit s'envole

Rassure moi avec ta douceur et ta sonorité
Afin que je ne me sente plus abandonner
Grâce à toi j'aurai la force de ne plus me morfondre
Et je me bâterai jusqu'à ce que ma douleur s'effondre

Chanson qui rassure les enfants de ce mondes
Qui calme tout et nettoie les mauvaise ondes
Chère musique je dois pour finir te remercier
Car je mon moral a enfin été remonté

----------------------------------------------------------

Jurian avait l'habitude de faire des poèmes de tout ce qu'il voyait qu'il voyait ou qui avait de l'importance selon lui, bien sur une chanson, même si elle calmait, ne dure jamais éternellement, et lorsqu'elle eut finit de jouer, les gens de l'auberge qui l'avait écouter attentivement, ne firent plus attention à elle, Jurian soupira, elle qui avait donner un si beau spectacle n'avait pas reçu d'applaudissement et les gens ne faisait même pas attention à elle, quoi que au final c'était peut être mieux, déjà qu'elle avait l'air un peu effrayée.
Elle s'approcha de lui sûrement afin de rejoindre une autre table derrière lui, mais c'est alors qu'après un grondement de tonnerre elle tomba sur lui, il tomba de sa chaise au sol avec elle qui était juste au dessus de lui, sur le coup il rougit énormément à cause de la gêne, déjà par-ce-que il était tomber au sol, mais aussi surtout par-ce-que c'était le toute première fois qu'il avait un contact physique avec une autre personne, bien sur ce n'était pas voulut mais il reçu comme une grande chaleur au fond de lui, il ne saurait pas dire ce que c'était il ne pouvait même pas le décrire, alors qu'il était tomber, ses lunettes était tomber de son visage et on pouvait voir ses yeux, il était vide d'âme humaine et d'émotion, c'était à la fois triste et terrifiant, mais il se repris et regarda la jeune fille.
La jeune fille elle, était apeuré et n'arrêta pas de s'excuser, elle avait l'air terrifiée par Jurian, lui au début crut que c'était à cause de ses yeux et baisse la tête honteux, mais il la releva et lui dit en l'aidant a se relever d'une voix timide:

Jurian:" excuser moi.... C'est ma faute, j'espère que...... Vous vous êtes pas fait mal..."

Il remarque qu'en plus de son air terrifiée, elle avait l'air abandonner, et à ce moment il eut l'impression de se retrouver en elle sans trop savoir pourquoi.
Il ne lui laissa même pas le temps de répondre et il l'asseaya sur une chaise, et sans un mot et telle une ombre, il disparu, comme si il l'avait abandonner.
Son carnet était ouvert encore ouvert devant elle à la page ou il avait écrit le poème, et Flint lui vola autour d'elle et caressa sa joue avec son petit bec orange comme pour la rassurer, Jurian lui sans se faire remarquer commanda au comptoir, un autre verre de lait et des gâteaux, se disant qu'elle avait peut être faim, puis quelque minute après l'avoir laisser assise tout seul il revena et déposa le l'air et les gâteaux devant elle sans dire un seul mot, et, toujours sans un mot il s'asseya sur sa propre chaise qu'il releva et repris ses lunettes pour les remettre sur ses yeux avant qu'il ne soit remarquer, puis il bu son thé sans dire un seul mot et sans la regarder.


[je précise que le poème est bien de moi, je viens de l'écrire pour ce RP ^^]
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MessageSujet: Re: Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]   Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari] Icon_minitimeVen 16 Aoû - 11:47

Ce jour là, l'orage avait été aussi fort que jamais. Hikaru était là, toujours dans sa pièce, avec quelques autres personnes. Une pièce sombre, ou les pensées et l'âme sombraient dans l'abysse la plus profonde à la première seconde où l'on y rentrait.
Quelques jours depuis sont arrivée à peine, elle mourrait de faim. C'était la loi du plus fort. Chacun était nourrit à doses égales, mais pour d'autres ça ne suffisait pas. Quoi de mieux qu'une nouvelle arrivante toute petite et perdu pour avoir un repas de plus? Elle du donc se contenter des restes. Les petits morceaux sur les os, les miettes, et parfois, le plat d'une personne malade, trop mal en point pour manger. Bien que souvent, le repas avait déjà disparu.
Il vint un jour ou elle refusa. Refusa de donner son repas à plus grand qu'elle. Belle preuve de courage, mais aussi d'inconscience. Affaiblie, légère et mince sans la moindre force ni entrainement, ce fut sans grand mal qu'elle reçu la "punition" qui devait lui être accordée.
Roulée en boule comme un bébé dans le ventre de sa mère, cherchant le réconfort, l'espoir et la lumière quelque part, elle attendait que le temps passe. Que les coups cessent, qu'il parte...
Quelques temps plus tard, l'homme qui l'avait attaqué tomba malade. Il fallait s'y attendre, ses anciennes victimes en profitèrent sans grand mal.
Après tout, peu importait. Un mort de plus ne changerais rien pour eux. Eux, qui aussi avait tout perdu.
Les jours passèrent, et l'homme, de plus en plus faible était assis dans son coin, la respiration lourde, empestant la maladie, l'urine et la sueur. Il semblait avoir perdu tout espoir, lui qui était pourtant le premier à voler le repas des autres pour survivre et revoir la lumière du jour. Tant perdu qu'il tendait même son repas aux autres.
Envahie par la pitié et la compassion, Hikaru lui tendit son repas. Il lui adressa pour la première fois un sourire, puis, après avoir fini son repas, il lui souffla un "merci", inspira longuement, et ferma les yeux, avant de s'endormir à jamais.

Ce souvenir lui revint en mémoire lorsque l'homme au cheveux noir lui apporta des gâteaux et un autre verre de lait, car elle, non jamais elle n'avait reçu.
Elle se demanda encore pourquoi il s'était excusé par la suite, en disant qu'il s'agissait de sa faute. Qu'avait-il donc fait?
Hika' avait beau se poser la question, elle n'y trouva nulle réponse. Un petit corbeau blanc s'était posé sur son épaule. D'un doigt, elle lui caressa la tête et lui sourit, avant de lui tendre un petit morceau de gâteau. Ses ailes blanches lui rappelait celles du cygne, qui, désormais, lui appartenaient. Qu'était il devenu à présent? Avait-il seulement un part de conscience, dans cette simple enveloppe charnelle? Peut-être. Parfois, quand elle était seule, elle lui parlait, à ce cygne blanc, qui n'avait jamais rien demandé d'autre que la liberté.

Timidement, elle pris le verre de lait et le bu lentement. Lorsqu'elle l'eu fini, elle le remercia, et jeta un coup d’œil autour d'elle. Le léger brouhaha avait reprit. Voilà qui était mieux.
Attendant que l'orage se calme, elle lu le texte écrit sur le carnet. C'était un joli poème.
Les éclairs se faisaient de moins en moins visible, et le tonnerre se tut au bout de quelques minutes. Le ciel bleu commençait alors à réapparaître. Tant mieux.
Hikaru se leva, pris son sac et le remercia. Elle déposa devant lui quelques pièces -sans doute un peu trop par rapport au prix du lait à du gâteau- et le salua.
"- C'est un bien joli poème tu sais"
Elle lui adressa un sourire et parti, laissant derrière elles une ou deux plumes blanches, restées là depuis son dernier vole.
La jeune fille aux cheveux bleutés se dirigea vers une impasse à côté du café, et, attendant 1 ou 2 minutes pour vérifier qu'il n'y avait personne, elle déploya ses ailes, toujours d'un blanc immaculé, prête à s'envoler...
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MessageSujet: Re: Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]   Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari] Icon_minitimeVen 16 Aoû - 14:41

Jurian la regarda sans prononcer un mot, la regarder lui rappela son triste passé, lorsque par exemple des parents lui privait de repas des jours par-ce-qu'il avait pleuré pendant des piqûres de sérum douloureuse qu'on lui avait faite, où quand il était enfermer pendant toute ses années sans voir la lumière dans une horrible cage en ferraille rouillé et dans lequel le confort était inconnue surtout pour dormir, il devait de mettre en boule et si il s'allongeait pendant son sommeil ses pieds se frottait contre les barreaux dégoutant de sa cage.
Pourquoi lui avait-on fait ça à lui? Lui qui des sa naissance à été conditionner à l'enfermement, à ses deux ans il était déjà enfermer, et pendant des années il ne vit jamais l'extérieur, il ne passait jamais un seul anniversaire, il ne passait ni Noël, ni Pâque, ni Halloween, il vivait malheureux et voyait depuis ses barreaux, son frère s'amuser et se voir offrir tout ce qu'il voulait, lui il était droguer à l'alcool et mangeait les restes à moitié écraser qu'on donnait normalement à un chien.

Pourquoi pensait-il à ça en la regardant, il ne le savait pas, mais malgré tout ses souvenir il ne versa pas une seul larme, il n'avait l'air de ressentir rien, son côté glacial était même assez terrifiant, tout le monde ressent de l'émotion, surtout de la tristesse, mais lui n'en était pas capable.
La jeune fille lui sourit, et déposa de l'argent devant lui.
Il comprit qu'elle voulait payer le lait et les gâteaux, mais il était sidérer, il lui avait offert le repas, il était très généreux et détestait qu'on rembourse se qu'il offre de bon cœur, au moment ou il voulut lui parler pour lui rendre son argent mais il remarqua les plumes tomber d'elle.
Il les ramassa et les regarda en les analysant, étant lui même un oiseau, il comprit sur le coup que c'était des plumes de cygne, il eu l'air pensif:

Jurian: (Quoi?! Mais ques-ce-que ces plumes font sur elle?? Il n'y a aucun cygne dans la région....)

Il réfléchit quelque seconde puis il commença à comprendre, non seulement pourquoi ces plumes étaient là mais surtout pourquoi il se rappela son passé en la regardant, il prit l'argent et Flint et courra dehors pour la rejoindre.
Et d'ailleurs heureusement car au moment ou il arriva près de l'impasse, un militaire faisait un ronde de routine, il vu la jeune fille et prit son arme qu'il pointa sur elle:

Garde: "HEY TOI LE MONSTRE !!! PLUS UN GESTE OU JE TIRE!!"

Bien sur il s'en fichait qu'elle bouge ou non, au moment pile ou il s'apprêtait à tirer, Jurian arriva et dégaina son katana, et frappa sur l'arme à feu du militaire pour attirer son attention et dit avec un ton très sérieux:

Jurian:"Baisse ton arme!! Ne touche pas à cette fille"

Garde:" Tu es idiot ou quoi? Pourquoi protéger une chimère ! Ce sont des montres! Si on la laisse elle sèmera le chaos et la destruction dans central."

Jurian:"le chaos et la destruction? Regarde cette jeune fille dans les yeux et ose me jurrer qu'une fille comme sa puisse détruire quoi que ce soit!
Et surtout ce n'est pas un monstre! Et si tu lève ton arme sur elle, je n'aurai aucune pitié pour toi....."


Garde:"Tu ose t'opposer à un militaire! Je vais te tuer avec elle alors"

Puis il pointa son arme sur Jurian, il était coller à son torse donc aucune chance de l'esquiver, mais Jurian n'avait comme pour les autres émotions, ABSOLUMENT aucune peur, il leva très légèrement le habaki de son katana vers le haut comme si il allait dégainer son arme, et avec un vitesse indétectable à l'œil nue [moins d'une demi seconde] il dégaina son arme trancha le canon de l'arme adverse et la rengainât dans son fourreau, le seul mouvement visible de tout ça c'était quand il leva légèrement le habaki et quand il le redescendu pour "verrouiller" l'arme dans son fourreau, c'était en faite l'attaque ultime de Jurian, une attaque japonaise légendaire, dont personne à par lui n'avait réussit à prouver l'existence. [Désoler mais je sais qu'elle a un nom par contre je ne m'en souviens plus du tout ^^']
Le militaire n'eu pas eu le temps de réagir que le canon se détacha lentement de l'arme et tomba au sol, Jurian ne lui laissa pas le temps d'appeler à l'aide et l'assomma avec le fourreau du katana.
Maintenant que faire de lui? Il les avaient vu, il devrait le tuer sinon tout les militaires et alchimiste d'état se jèterai à leur trousse, mais il ne pouvait pas le tuer..... Il ne représentait plus aucune menace sans son arme mais il fit attention à se qu'il soit bien assommé et alla vers la jeune chimère signe et lui tendit la main d'un air protecteur et amical en disant d'un ton gêné, comme si ce n'était pas le même Jurian qui avait assommé le militaire:

Jurian:"E.... Écoute.... Suis moi.... Je vais te protéger je te promets.... J'ai une cachette plus loin... Remet toi en mode humaine...."

Puis il finit sa phrase par une phrase avec un ton remplie de compassion:

Jurian:"fait moi confiance....... Je suis comme toi...."

Pendant ce temps dans l'auberge, un homme vêtu complètement de noir, d'un katana et ressemblant comme deux goutte d'eau à Jurian entra, la seul différence entre eux deux était ses yeux, il avait deux yeux, rouge comme le sang et qui terrifiait et inspirait la peur rien qu'a leur regard, il approcha du comptoir et montra une photo de Jurian en disant d'un ton sérieux:

???:"Avez-vous vu cette homme?"

On lui répondit qu'il était sortit il y a quelque minute de l'auberge, et la l'homme se mis à rire sadiquement et avec un regard plein de rage il dit:

???:" HAHAHAHAHA JE T'AI ENFIN RETROUVÉ OTŌTO!!!*

Puis il continua de rire toujours dans l'auberge et commanda un verre avant de repartir à sa chasse.
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MessageSujet: Re: Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]   Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari] Icon_minitimeVen 16 Aoû - 16:34

Elle déploya ses ailes, ses grandes ailes blanches, ses ailes d'anges. Un ange déchu, tombé du ciel, perdu au milieu de cette terre, entre les "monstres" et les "humains". Hikaru s'était toujours dit que si dieu existait, il ne devait surement pas l'aimer. Même si le vieil homme lui avait dit et redit que ses ailes étaient jolies, elle n'en voulait pas. Elle n'en avait jamais voulu. Pour elle, elles ne représentaient ni l'espoir, comme les anges l'apportent dans les livres, ni la joie, ni la paix. Elles représentaient la folie, la peur, le sang, la mort, le noir, et toutes ces choses. Et pourtant, elle n'avait pas le choix. Elle ne l'avait jamais eu. Et désormais, elle avait le choix du chemin qu'elle emprunterait. La vengeance? Ou simplement vivre et protéger ceux qui en sont victimes? Ne pourrait-elle pas, un jour, faire en sorte que chimères et Hommes puissent cohabiter? Après tout, ils étaient autrefois des humains. Et il leur restait toujours une part d'humanité.
Un léger "clic" retenti dans l'impasse. Elle n'était pas seule. Ou du moins "plus" seule.

A ce moment, Hikaru reconnu le bruit d'une arme que l'on charge. Etant elle même bonne tireuse, elle glissa doucement une main vers son sac pour monter la sienne. Mais les bruits de pas bruyants qui se dirigeaient par ici lui firent comprendre que ça ne servirait à rien.
Les cris du garde raisonnèrent dans la petite impasse sombre. A sa voix, il n'avait pas l'air très rassuré. Elle se retourna, et l'observa, droit dans les yeux.

"Hey!"

Il marqua une courte pause.

"Toi, le monstre! Plus un geste ou je tire!"

Ses mains tremblaient légèrement. Il devait débuter dans l'armée, le pauvre homme. Il n'avait pas obtenu le meilleur job dans toute l'armée lui.
Le garçon du café s'interposa. Comme prévu.
"Baisse ton arme! Ne touche pas à cette fille!"
Ainsi s'en suivi un court dialogue.

"Tu es idiot ou quoi? Pourquoi protéger une chimère ?! Ce sont des montres! Si on la laisse elle sèmera le chaos et la destruction dans central."

Elle ne pouvait pas lui en vouloir, il ne disait que ce qu'il avait appris, tel un enfant récitant sa poésie. On ne parle pas de la même manière lorsque l'on est concerné. Il devait être content de travailler dans l'armée. C'était un bon post, et il y avait aussi la fierté de l'être. Protéger les citoyens des menaces. Et puis... Dans ses paroles, il n'avait pas vraiment tord. Certaines chimères étaient destructrices.

"Le chaos et la destruction? Regarde cette jeune fille dans les yeux et ose me jurer qu'une fille comme sa puisse détruire quoi que ce soit!
Et surtout ce n'est pas un monstre! Et si tu lève ton arme sur elle, je n'aurai aucune pitié pour toi....." Répliqua le garçon du café.


"Se fier aux apparences, c'est une erreur de novice..." Pensa Hikaru

"Tu ose t'opposer à un militaire?! Je vais te tuer avec elle alors"

Hikaru réprima un rire. Il devait pas être très futé, le militaire. Tuer quelqu'un juste pour ça.
S'en suivirent deux petites secondes de combat, avant que le garde ne soit assommé.

L'homme s'approcha d'elle doucement. Il lui tendit la main comme... Comme à un pauvre animal perdu...
Alors c'est ainsi qu'il la voyait?
"Je suis humaine" se dit elle, "Même si ce n'est pas le cas totalement"

"E.... Écoute.... Suis moi.... Je vais te protéger je te promets.... J'ai une cachette plus loin... Remet toi en mode humaine...."

Quoi? Ses ailes? En quoi dérangeait elle? Elle détestait recevoir des ordres, mais elle se tut. Cela partait d'une bonne attention. Alors elle resta calme.

"Fais moi confiance....... Je suis comme toi...."

Alors ainsi c'était aussi une chimère? Hikaru regarda sa main, toujours tendu vers elle, et s'approcha doucement.
Elle ne voulait pas de compagnie. Non, personne. Elle avait déjà trop perdu. Elle ne le suivrait pas. Il était bien gentil, mais se faire des amis pour les perdre ensuite ne servait à rien, sauf à tomber plus profond. Même si au fond d'elle même, elle aurait tant souhaité cela...
Hikaru se mordit les lèvres, inspira doucement et discrètement, puis approcha sa main de la sienne, avant de juste la poser sur son torse et le pousser.

"Tu n'aurais pas du me sous estimer. Je me serais très bien débrouillée seule. Et pour une cachette, ça ira. Je ne suis plus un poussin perdu, je ne suis pas non plus le vilain petit canard au milieu des belles oies. Je m'accepte très bien comme je suis. Si mes ailes te posent un problème, dit le moi, mais non, je garderais cette forme. Maintenant.... Maintenant, laisse moi tranquille."

Elle avait pris un ton ferme et calme, mais au fond, elle était dépitée. Malgré tout cela, elle garda un visage neutre, sans aucun signe ni geste corporel pouvant la trahir. Et lui, comment l'avait-il prit? Avait il pensé qu'il avait mal fait? Que tout le monde lui tournerait le dos?
Se sentant coupable, elle resserra la main posée sur son torse pour saisir sa chemise, le tirant vers elle et l'observa un court instant avant de l'embrasser, pour lui faire comprendre que ce n'était pas sa faute, qu'il n'avait rien fait de mal, et qu'en réalité, ce n'était pas son vrai elle.
N'allez pas croire qu'elle l'aimait, elle le connaissait à peine, et ne l'imaginait absolument pas comme pouvant être une personne qu'elle aimerait plus que de l'amitié. Il s'agirait plus du genre de grand frère.
Lorsqu'elle lâcha ses lèvres, elle s'avança juste devant, en direction de la rue, et "rangea" ses ailes.

"Je ne suis pas une personne fréquentable, ne te méfie pas des apparences. Tu as été trop généreux avec cet homme. A ta place, je l'aurais tué. Il ne mérite que ça"

Hikaru pensait tout l'inverse. Elle s'exprimait avec dégoût. Non pas le dégoût pour le militaire, mais le dégoût pour elle même. Et sans même jeter un regard en arrière, elle s'avança encore, vers la rue, quittant lentement cette impasse, si vide et calme.
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MessageSujet: Re: Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]   Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari] Icon_minitimeVen 16 Aoû - 18:02

Jurian fut énormément surpris par la réaction de la fille chimère, il ne comprenait pas pourquoi elle refusait son aide, elle lui parla d'une façon qu'il n'aura jamais imaginer, il ne savait pas quoi dire à se moment là, mais au moment où il se dit que ça ne pourrai pas être plus incompréhensive, elle se mît à l'embrasser, et même en y réfléchissant à fond il ne compris pas pourquoi, mais il ne ressentît pas la moindre émotion comme à son habitude, de tout façon il ne savait ni se qu'il devait ressentir ni se qu'il devait faire, il se laissa faire l'air incompréhensif, et la regarda sans comprendre elle avait l'air de cacher quelque chose mais il ne pouvait pas dire quoi, elle avait un air si neutre même en l'embrassant, il ne savait pas du tout quoi penser de ça, mais il écouta se qu'elle disait avec grand intérêt, et au moment où elle dit deux dois "maintenant" avant de lui dire de la laisser tranquille lui fit avoir un déclic, il resta d'un air glacial et écouta se qu'elle disait, puis quand elle eu fini de défendre son honneur, car il comprit que ses propos l'avaient vexer, elle dit aussi qu'il aurait du tuer le garde, et bien sur là il savait qu'elle se mentait à elle même et il savait comment le prouver.

Alors qu'elle se retourna pour partir elle ne se retourna même pas pour le regarda et il en profita pour la suivre d'un pas léger comme un assassin, il ne fut pas le moindre son, et au moment pile où elle allait s'éloigné du militaire il arriva derrière elle et prit une décision qu'il se jura de respecter, celle de la suivre jusqu'à se qu'il comprenne pourquoi il voulait la suivre, oui ça peut paraître bizarre comme formulation mais il ne pouvait plus la quitter du regard, était-ce à cause du baiser, pas du tout de toute façon il ne ressentait pas d'émotion humain et donc il ne savait pas se qu'était l'amour, mais quelque chose en elle l'attira, elle lui dit d'un ton ferme sans aucune hésitation et ça c'est plutôt rare venant de lui:

Jurian:"Je vais être très claire, je sais pas pourquoi tu m'as pousser puis embrasser et franchement je m'en fiche, de toute façon je ne comprend pas les émotion humaine, alors n'ai pas peur je ne t'aime pas par-ce-que tu m'as embrasser, enfin je crois, je ne sais même pas ce qu'est l'"amour", mais bref, j'ai dis que je te protégerai et même si tu n'as pas besoin de ma protection, je ne mens jamais et je tient toujours mes promesse, donc, à partir de maintenant je serai ton ombre, ton garde du corps, ton ami ou quoi que se soit, prend le comme tu veux mais je vais te suivre, tu aura beau m'insulter, me frapper de toute tes forces, me menacer avec quoi que ce soit, je ne changerai pas d'avis..de tout façon en assommant ce garde je suis dans les même problème que toi..... Alors félicitation car on ça faire un bout de chemin ensemble et bien sur je te laisse pas le choix, pourquoi vais-je suivre? Honnêtement, je ne sais pas moi même, de toute facon je n'ai nul part où allez et je suis seul depuis des années alors être avec toi ne me dérange pas et se que je sais c'est que je te suivrai et surtout, n'imagine pas pouvoir me semer surtout dans les airs, tu as des ailes de cygnes et moi d'aigle alors tu ne pourra pas me battre question vitesse, et puis tu as mal interpréter mes paroles tout à l'heure alors je les explique après tout on a le temps maintenant qu'on va être ensemble..... Premièrement tu m'as dit que tu sais très bien te débrouiller toute seul, je te crois enfin il est vrai qu'au début je pensais que tu étais plus faible que tu n'ai l'air d'être vraiment et je m'en excuse si ça te vexe, mais maintenant je suis sur que tu sais te défendre, ensuite tu as eu l'air vexer de ma demande de ranger tes ailes, comme si je te considérait comme un monstre et franchement, je ne vois pas de différence entre toi et l'homme que je viens d'assommer, vous êtes tout les deux humains avec ou sans elle tu l'es quand même..... Le seul ici qui n'es pas humain c'est moi...."

Puis il se mît devant elle et retira ses lunettes, un court instant mais assez pour voir que ses yeux était vide de tout émotion, de tout sentiment, et même de toute âme humaine, il ne ressentait plus rien depuis si longtemps, puis il remit ses lunettes et poursuivit:

[color=#3333ff]Jurian:"Mais bon, ce que je voulait dire par "remet tes ailes " c'est que on est à central..... Dans toute les rues il a quoi? Des militaires et surtout des alchimistes d'état, alors bien que je trouve tes aile magnifique car j'adore le blanc, je te conseillait grandement de les ranger pour ne pas attirer l'attention..... Tu as beau pouvoir te défendre.... Contre plusieurs alchimiste d'état je suis sur que tu ne pourrai pas faire grand chose... Le mieux est de rester discret à central.
Ensuite je n'ai absolument rien compris à ton délire sur les oiseaux, et pourtant je suis moi aussi une chimère volatile, mais je me fiche de ça, car même si tu m'expliquait je ne comprendrai sûrement pas.
Et surtout pour finir..... Tu m'as dit que j'aurai du tuer le militaire au lieu de l'assommer n'es-ce pas? Et bien je crois au tu te mens à toi même... Tu sais pourquoi? Tout simplement car si tu voulais vraiment qu'il disparaisse tu l'aurais tuer avant de me le dire... Tu sais comme moi qu'une mort reste sur notre conscience et que tuer quelqu'un qui ne représente même pas une menace est un acte qui nous dégoûterai de nous même... Mais bien sur si tu veux vraiment le tuer, tue le! Je t'en pris... Si il est autant une gêne et surtout si il est aussi inutile en tant qu'humain pour toi tue le ... Alors? Sera tu capable de la tuer? Et n'évite pas cette question en disant que c'est à moi de le tuer... D'ailleurs ne répond pas à cette question.... Soit tu le tue sois ça signifiera que j'avais raison... Et une dernière chose ou plutôt deux... tu as dis que tu étais pas une personne fréquentable et qu'il ne fallait pas se fier au apparence? bah à cela je répond que je suis tout aussi fréquentable que tu l'es et ensuite que je ne me fis pas au apparence, je me fis à toi.... Je sais pas pourquoi ni comment mais dès que je t'ai vu je savais que je ne devais pas te quitter, comme si.... Non rien laisse tomber...... Bref alors? Où allons NOUS maintenant?"

Il ne la lâcherait pas d'une semelle et la collerai qu'elle l'accepte ou non, il attendit une réponse de sa part en la regardant Flint lui volait haut dans le ciel tout près d'eux.
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MessageSujet: Re: Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]   Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari] Icon_minitimeVen 16 Aoû - 18:50

"Je vais être très claire, je sais pas pourquoi tu m'as pousser puis embrasser et franchement je m'en fiche, de toute façon je ne comprend pas les émotion humaine, alors n'ai pas peur je ne t'aime pas par-ce-que tu m'as embrasser, enfin je crois, je ne sais même pas ce qu'est l'"amour", mais bref, j'ai dis que je te protégerai et même si tu n'as pas besoin de ma protection, je ne mens jamais et je tient toujours mes promesse, donc, à partir de maintenant je serai ton ombre, ton garde du corps, ton ami ou quoi que se soit, prend le comme tu veux mais je vais te suivre, tu aura beau m'insulter, me frapper de toute tes forces, me menacer avec quoi que ce soit, je ne changerai pas d'avis..de tout façon en assommant ce garde je suis dans les même problème que toi..... Alors félicitation car on ça faire un bout de chemin ensemble et bien sur je te laisse pas le choix, pourquoi vais-je suivre? Honnêtement, je ne sais pas moi même, de toute facon je n'ai nul part où allez et je suis seul depuis des années alors être avec toi ne me dérange pas et se que je sais c'est que je te suivrai et surtout, n'imagine pas pouvoir me semer surtout dans les airs, tu as des ailes de cygnes et moi d'aigle alors tu ne pourra pas me battre question vitesse, et puis tu as mal interpréter mes paroles tout à l'heure alors je les explique après tout on a le temps maintenant qu'on va être ensemble..... Premièrement tu m'as dit que tu sais très bien te débrouiller toute seul, je te crois enfin il est vrai qu'au début je pensais que tu étais plus faible que tu n'ai l'air d'être vraiment et je m'en excuse si ça te vexe, mais maintenant je suis sur que tu sais te défendre, ensuite tu as eu l'air vexer de ma demande de ranger tes ailes, comme si je te considérait comme un monstre et franchement, je ne vois pas de différence entre toi et l'homme que je viens d'assommer, vous êtes tout les deux humains avec ou sans ailes tu l'es quand même..... Le seul ici qui n'es pas humain c'est moi...."

Il s'approcha d'elle et hota ses lunettes, pour y dévoiler ses yeux vairons. Ses yeux étaient vides. C'est tout. Seul le reflet du jour y apparaissait. Et rien d'autre. Il poursuivit.

Mais bon, ce que je voulait dire par "remet tes ailes " c'est que on est à central..... Dans toute les rues il a quoi? Des militaires et surtout des alchimistes d'état, alors bien que je trouve tes aile magnifique car j'adore le blanc, je te conseillait grandement de les ranger pour ne pas attirer l'attention..... Tu as beau pouvoir te défendre.... Contre plusieurs alchimiste d'état je suis sur que tu ne pourrai pas faire grand chose... Le mieux est de rester discret à central.
Ensuite je n'ai absolument rien compris à ton délire sur les oiseaux, et pourtant je suis moi aussi une chimère volatile, mais je me fiche de ça, car même si tu m'expliquait je ne comprendrai sûrement pas.
Et surtout pour finir..... Tu m'as dit que j'aurai du tuer le militaire au lieu de l'assommer n'es-ce pas? Et bien je crois au tu te mens à toi même... Tu sais pourquoi? Tout simplement car si tu voulais vraiment qu'il disparaisse tu l'aurais tuer avant de me le dire... Tu sais comme moi qu'une mort reste sur notre conscience et que tuer quelqu'un qui ne représente même pas une menace est un acte qui nous dégoûterai de nous même... Mais bien sur si tu veux vraiment le tuer, tue le! Je t'en pris... Si il est autant une gêne et surtout si il est aussi inutile en tant qu'humain pour toi tue le ... Alors? Sera tu capable de la tuer? Et n'évite pas cette question en disant que c'est à moi de le tuer... D'ailleurs ne répond pas à cette question.... Soit tu le tue sois ça signifiera que j'avais raison... Et une dernière chose ou plutôt deux... tu as dis que tu étais pas une personne fréquentable et qu'il ne fallait pas se fier au apparence? bah à cela je répond que je suis tout aussi fréquentable que tu l'es et ensuite que je ne me fis pas au apparence, je me fis à toi.... Je sais pas pourquoi ni comment mais dès que je t'ai vu je savais que je ne devais pas te quitter, comme si.... Non rien laisse tomber...... Bref alors? Où allons NOUS maintenant?"


Il... Il voulait la suivre. Il en était hors de question. Jamais, non jamais elle ne le laisserait faire, quitte à perdre sa propre vie. Et ça, il fallait qu'il le comprenne.
Perdu dans ses pensées, embrouillée par ses paroles, Hikaru pleurait intérieurement. Le tuer? Elle devait tuer cet homme?
Il devait avoir des enfants, une femme aimante... Il débutait tout juste dans sa carrière! Elle ne savait plus quoi faire. Devait elle sauver son honneur, ou une famille? Devait elle choisir la vengeance ou la paix?
Cette impasse n'avait désormais plus aucune issue. C'était une cage. Elle était la proie, il était le prédateur. Et pour se sauver, elle devait devenir le prédateur. Le prédateur de tous.
Emportée par la tristesse, le désarrois et la folie, elle trouva le courage de rire, et de prendre un air hautain, le regardant, les yeux emplis de haine.
Hikaru tombait, et tombait toujours plus bas...

"Je ne ment jamais... C'est la vérité qui ment toute seule"

Sans même quitter son regard une seule seconde, elle sorti les différentes pièces de son arme hors de son sac, et, une fois montée, la posa sur le cou de l'homme, qui commençait à reprendre conscience.
Sans un mot, elle adressa un pardon à tous ses proches, à ses enfants et sa famille, et lentement, elle se mit à appuyer sur la gâchette.
Le triste bruit de l'arme raisonna dans l'impasse, et le sang de la carotide de l'homme s'étala sur le corps de la meurtrière.
L'odeur de la mort, la sensation du danger. Cet homme, cet homme, là, devant elle, l'avait changé en ce qu'elle n'était pas. Elle hurlait intérieurement, effondrée. Elle se disait que tout ceci n'était qu'un rêve, ou plutôt un cauchemar, et qui bientôt, elle ouvrirait les yeux aux côtés de sa mère aimante. Qu'elle pourrait sentir son doux parfum, et non celui de la mort, la chaleur de son corps, et non l'horrible sensation glacée d'un corps sans vie.
Du sang coulait sur son visage, sur ses lèvres. Défiant l'homme du regard, elle se lécha les lèvres. Elle venait de tuer, de lui prouver qu'il avait tord. Elle le convaincrait de ne pas la suivre, pour que sa mort ne soit pas vaine. Et pour cela, elle irait jusqu'au bout des choses.
Allait elle rester ainsi? Rester ce qu'elle n'est pas? Devrait elle garder cette couverture de psychopathe longtemps?
Ou était passé la petite Hikaru, gentille, serviable et mignonne? Ou est passée celle qui a offert son repas à celui qui l'avait frappé si longtemps?

Ses cheveux blancs et bleutés étaient désormais rougeâtres. Souillée par le sang pour la première fois, elle se retint de vomir. C'était tellement horrible...
Elle se demandait encore ce qu'elle venait de commettre, priant pour qu'il revienne à la vie. Priant pour mourir.

"T'es content? Laisse moi maintenant, va t'en. Il faut quoi pour que tu partes?"

Elle pointa l'arme teintée vers l'homme.

"J'ai détruit une famille, réduit les enfants joyeux de retrouver leur père ce soir en enfant dépité d'avoir perdu celui qu'ils aimaient. Rendu une femme veuve et enlevé un ami à de nombreuses personnes. J'ai tué un homme innocent. Ce n'est pas un homme inconnu sans famille qui va m'intimider. Part. Je n'ai pas besoin de toi, ni de personne."
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MessageSujet: Re: Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]   Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari] Icon_minitimeVen 16 Aoû - 19:39

Il regarda la jeune chimère, sa réaction fut complètement l'inverse que ce qu'il avait prévu, il ne savait pas quoi dire, il était trop tard pour l'empêcher de tirer, mais il ne réagi pas, de toute façon il ne ressentait rien que se soit pour ce qu'elle a fait ou pour ce pauvre homme mort, si il avait pût il l'aurait sauvé mais il était mort et il n'allait pas se morfondre pour lui, il l'a regarda, et avec le même ton froid il poursuivit:

Jurian:"tu es sourdes ou tes propre mensonges te font changer la réalité? Ce que tu as fais je m'en fiche, je te l'ai déjà dit.... Le vrai monstre ici c'est moi.... Je suis sur que tu as eu du regret en tuant cette homme, car si tu n'en avait pas eu tu aurai regarder le corps de cette homme quand tu lécha le sang sur t'es lèvres d'ailleurs il t'en reste... Au lieu de regarder le mien.... Tu m'as tué pour fuir la réalité..... Et la réalité c'est que tu n'es pas aussi méchante que tu veux montrer avec cette image insensible mais quand on a une âme dans les yeux, on ne peux pas être un monstre, moi j'adore analyser les yeux des gens car eux ont des détail émotif humain que moi je n'ai pas ou plutôt que je n'ai plus.... Et toi.. t'es yeux ont du dégoût... Mais je te préviens ça ne sert à rien je n'ai jamais dit que je te laisserai parce-que tu l'as tué je te suivrai, et tu ne peux pas me dissuader..... D'ailleurs si tu étais aussi insensible que tu le fais croire tu m'aurai tué sans prévenir, tu n'es pas un monstre et ça j'en suis sur... Alors maintenant arrête de jouer les dure... Moi au moins je ne me mens pas à moi même, tu veux te débarrasser de moi... pourquoi je n'en sais rien, alors je te préviens tout de suite... Flingue moi, car je ne te lâcherai pas.... Je sais pas pourquoi mais j'en suis sur..."

Puis il caressa sa joue en la regardant à nouveau en retirant ses lunettes, il ne savait pas et ne pouvait pas prédire si elle allait tiré ou non alors il voulait en profitait pour lui caresser toute la joue sans dire un mot et la regarda avec ses yeux vide, même si il devait mourir maintenant il était heureux, heureux car il rencontra quelqu'un qui était aussi paradoxal que lui, il ne savait pas quoi faire, alors il lui rendit tout simplement le baiser qu'elle lui avait donner, sans la moindre émotion et bien sur de n'était pas du tout parcequ'il l'aimait, loin de là c'était juste parceque elle elle l'avait fait et qu'il voulait comprendre pourquoi, il pensait qu'en l'embrassant il comprendrait mais non il ne le compris pas, pas du tout même de tout façon mais dans le petit baiser on ne sentait rien comme si son corps jusqu'à ses lèvres refusait la moindre émotion, il recula très vite son visage le baiser ne dura qu'une seconde et il repris toujours avec un ton glacial:

Jurian:"Désolé mais je déteste devoir quelque chose à quelqu'un alors je te rend ton baiser bien que pour moi sa signification étant encore inconnu, je te rend juste ça et aussi ton argent... *il mît l'argent qu'elle avait poser sur la table plutôt de force dans sa poche* car comme je dis toujours "la vrai générosité c'est d'offrir sans attendre quoi que ce soit en retour" et je t'ai offert le lait, bien sur je t'offre aussi ma vie, pourquoi me demanderas-tu? Pour la même raison pour laquelle je veux te suivre..... Alors maintenant que ma vie est entre tes mains je te laisse décidé de mon sort... J'ai juste deux chose a te dire avant de mourir ou non... La première c'est que, même si tu me tue ou non je serai gagnant.... Soit tu ne me tue pas et je resterai avec toi jusqu'à comprendre pourquoi je te suis, et si tu me tue je serai délivré de mon passé qui la transformer en vrai monstre... La deuxième chose est que je ne t'ai JAMAIS forcer à tuer cette homme, quand je t'ai demander si tu étais capable de le tuer c'était une simple question rhétorique et tu t'es menti a toi même... Comme je l'ai dit..... Si tu devais le tuer tu n'aurai pas attendu ma demande... Alors je ne dis pas que je te comprend au contraire je ne comprend absolument personne au monde mais j'insiste bien sur le fait que tu as tués quelqu'un de ton seul choix par-ce que tu voulais te mentir à moi même..., j'ai donc une question.... La mort de cette homme était elle plus importante que d'avouer à toi même que tu te mentais à toi même?... Voilà ... Je n'ai plus rien à dire... À toi de décider si tu veux te laisser engloutir dans l'inhumanité comme moi, ou si tu va enfin me faire confiance et accepter ma main tendu...."

Il la laissa faire se qu'elle veut, il garda les yeux grand ouvert comme si il n'avait pas peur une seul seconde comme si il n'avait pas peur de la mort.
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MessageSujet: Re: Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]   Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari] Icon_minitimeSam 17 Aoû - 8:53

Gris. Tout était gris. Sombre, ténébreux... Étouffant. Pas un seul bruit ne raisonnait. Des taches de sangs vinrent alors se joindre à la danse macabre des ténèbres. Et, tandis qu'Hikaru pleurait en elle même, elle se rendait compte de l'acte qu'elle venait de commettre. Elle s'en voulait, tout en en voulant au monde entier. Tout ce qu'elle désirait, c'était fuir. Fuir le jour d'aujourd'hui, le jour de demain, et le jour d'hier. Fuir ce monde. Mourir.
Elle avait froid, et pourtant tellement chaud. Dans cette enveloppe charnelle froide et meurtrière, Hikaru y était désormais prisonnière. Reculer était impossible. Le ressusciter était impossible, même pour le plus grand des alchimistes.
Les morts ne reviennent jamais à la vie.

""tu es sourdes ou tes propre mensonges te font changer la réalité? Ce que tu as fais je m'en fiche, je te l'ai déjà dit.... Le vrai monstre ici c'est moi.... Je suis sur que tu as eu du regret en tuant cette homme, car si tu n'en avait pas eu tu aurai regarder le corps de cette homme quand tu lécha le sang sur t'es lèvres d'ailleurs il t'en reste... Au lieu de regarder le mien.... Tu m'as tué pour fuir la réalité..... Et la réalité c'est que tu n'es pas aussi méchante que tu veux montrer avec cette image insensible mais quand on a une âme dans les yeux, on ne peux pas être un monstre, moi j'adore analyser les yeux des gens car eux ont des détail émotif humain que moi je n'ai pas ou plutôt que je n'ai plus.... Et toi.. t'es yeux ont du dégoût... Mais je te préviens ça ne sert à rien je n'ai jamais dit que je te laisserai parce-que tu l'as tué je te suivrai, et tu ne peux pas me dissuader..... D'ailleurs si tu étais aussi insensible que tu le fais croire tu m'aurai tué sans prévenir, tu n'es pas un monstre et ça j'en suis sur... Alors maintenant arrête de jouer les dure... Moi au moins je ne me mens pas à moi même, tu veux te débarrasser de moi... pourquoi je n'en sais rien, alors je te préviens tout de suite... Flingue moi, car je ne te lâcherai pas.... Je sais pas pourquoi mais j'en suis sur..."

Hikaru ne l'avait pas écouté. Elle essayait d'oublier, de se réconforter. Mais rien n'y faisait. Elle pensait ce soir, à la femme et aux enfants qui s’inquiéteraient, du non retour de leur père. De leurs pleurs quand son corps sera enseveli, et du regard haineux qu'il lui porteront lorsque l'on la retrouvera. Elle voulait quitter ce monde, à tout jamais.
Elle fut coupée de ses pensées lorsqu'il l'embrassa, un bref instant.

"Désolé mais je déteste devoir quelque chose à quelqu'un alors je te rend ton baiser bien que pour moi sa signification étant encore inconnu, je te rend juste ça et aussi ton argent... car comme je dis toujours "la vrai générosité c'est d'offrir sans attendre quoi que ce soit en retour" et je t'ai offert le lait, bien sur je t'offre aussi ma vie, pourquoi me demanderas-tu? Pour la même raison pour laquelle je veux te suivre..... Alors maintenant que ma vie est entre tes mains je te laisse décidé de mon sort... J'ai juste deux chose a te dire avant de mourir ou non... La première c'est que, même si tu me tue ou non je serai gagnant.... Soit tu ne me tue pas et je resterai avec toi jusqu'à comprendre pourquoi je te suis, et si tu me tue je serai délivré de mon passé qui la transformer en vrai monstre... La deuxième chose est que je ne t'ai JAMAIS forcer à tuer cette homme, quand je t'ai demander si tu étais capable de le tuer c'était une simple question rhétorique et tu t'es menti a toi même... Comme je l'ai dit..... Si tu devais le tuer tu n'aurai pas attendu ma demande... Alors je ne dis pas que je te comprend au contraire je ne comprend absolument personne au monde mais j'insiste bien sur le fait que tu as tués quelqu'un de ton seul choix par-ce que tu voulais te mentir à moi même..., j'ai donc une question.... La mort de cette homme était elle plus importante que d'avouer à toi même que tu te mentais à toi même?... Voilà ... Je n'ai plus rien à dire... À toi de décider si tu veux te laisser engloutir dans l'inhumanité comme moi, ou si tu va enfin me faire confiance et accepter ma main tendu...."

Elle leva sa main vers le ciel, ainsi que son visage. Il avait retrouvé son éclat habituel. Les nuages d'orage avaient quitté le ciel.
Les hommes commencèrent à arriver ici, de plus en plus nombreux autour du corps, effrayés et effarés. Les oiseaux volaient, comme toujours, car peu importe les événements, ils continuent toujours leur route.
Elle le regarda, et lui sourit.

"Je prend le 3eme chemin. Je continue le mien, tu continue le tien. On se reverra sans doute, sur notre route, ou dans les cieux. J'ai des fautes à réparer, des fautes à juger, et une vie à mener. Je la vivrais tel que je veux, suivant mon propre chemin, comme les oiseaux migrant vers d'autres pays. J'ai décidé ce que je voulais faire, et pour l'instant, j'ai juste besoin d'être seule, alors je t'en pris, ne me suis pas.
Je ne tomberais pas plus bas que je le suis, et je ne te tendrais pas non plus la main. Si nous avons des ailes, c'est pour voler plus haut, car les notre ne sont pas en cire, elles ne fonderont pas au soleil.
Je t'en pris, ne m'enlève pas la détermination, faible, que j'ai pour le moment et part. Ne me suis pas, tu as un autre but à suivre. C'est simple, si tu me suis, je me turais.... Ainsi... Ainsi, tu n'auras plus besoin de me suivre. A bientôt, sans doute."


Elle se dirigea vers le fond de l'impasse, et, lorsqu'elle entendit les bruits de pas plus nombreux, elle déploya ses ailes, s'envolant là ou elle serait au calme, là ou elle pourrait réfléchir, là ou elle pourrait se faire oublier quelques temps.
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MessageSujet: Re: Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari]   Les ailes de la solitude [PV : Hikaru R. Kagari] Icon_minitimeMer 21 Aoû - 14:44

Jurian:"Comme tu voudras.... Mais si tu as besoin d'aide pour quoi que ce soit je t'attendrais, je suis au nord de central dans un ancien bâtiment délabré..... Au faite... Merci de ne pas m'avoir tuer!..."

Il était un peu déçu et vexer qu'elle refuse sa compagnie mais il se dit qu'ils se rêveraient sûrement, il ne savait pas pourquoi mais il le sentait, il l'a laissa partir sans la suivre puis il continua sa route au sol, il était hyper discret, si discret que les gardes ne le remarquèrent pas en courant aider l'homme précédemment tué, puis il rejoignit sa cachette au bout de 20 minutes à pied où il se reposa un peu le temps que les choses dehors se calme.
Pendant se temps Kaze, l'homme qui ressemblait presque complètement à Jurian demandait à toute les personnes dans la rue si ils avaient vu Jurian, mais aucun ne lui donnèrent de réponse positive se qu'il l'énerva au plus au point, il continua de le rechercher alors que Jurian lui dormait dans le sommet du bâtiment détruit, pendant que Flint lui surveillait partout.
Lorsque le corbeau vit Kaze il foutu des gros coup de bec à Jurian pour le réveiller, il se réveilla et vu son air affoler, il avait l'air terroriser:

Jurian:"Ques-ce qu'il t'arrive Flint? Pourquoi es-tu si agité?"

Il regarda grâce à sa vision d'aigle et remarqua Kaze, il sursauta en arrière, surpris mais aussi terrifié, il ne savait pas quoi faire à ce moment tout ses horribles souvenir du passée resurgissait, il allait devenir fou avec le rappel de son passé mais il garda son calma et marmona:

Jurian:" ques-ce qu'il fout ici lui??? Comment m'a-t-il retrouver??"

Il était terrorisé et se cacha en faisant bien attention à se que personne ne puissent monter au toit à pied et en faisait attention à pas se faire remarquer puis il attendit que Kaze parte.
Kaze lui continuait ses recherches partout et arriva à l'endroit où les gardes s'était rassemblés, il y avait un corps au sol, récemment tuée, il crut tout de suite que c'était son frère et pensa:

Kaze:" Je te retrouverai sale monstre... Et je vais te tuer car tu ose tue des gardes innocent...."

Puis il continua ses recherches les yeux remplis d'une fureur meurtrière.


[desoler de l'attente j'ai eu plein de problème d'Internet ^^' en ce moment...]
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