Recontre innatendue

Nombre de messages : 108 Date d'inscription : 05/07/2012

Voilà maintenant combien de temps qu'il était dans cette ville ? A vrai dire il n'en était pas sûr, il n'avait pas l'habitude de calculer le temps qui passe lorsqu'il était dans les sous-terrains de Centrale, mais là il avait l'impression que cela faisait beaucoup de temps qu'il s'était écoulé. Ou simplement l'ennuie qui prenait le dessus ? Au fond ça l'agaçait un peu, mais ce n'était pas non plus si important. Pour le moment, il avait besoin d'un endroit pour se calmer et préparer ses plans. Il lui fallait un endroit calme et à l'abri des regards. En marchant sur une plaque métallique, il su tout de suite qu'il avait trouvé la solution à son petit problème. Scorn retira donc précautionneusement la plaque d'égout puis descendis dans les entrailles de la ville en refermant derrière lui. L'homunculus senti immédiatement que l'atmosphère lui était familière, tout y était lugubre, sombre, humide et froid. Comme dans les sous-terrains de Centrale, même si le plan des lieux n'était sûrement pas le même. De plus, malgré que l'endroit soit sombre et menaçant, Scorn s'y déplaçait avec une telle facilitée, que ni les rats, ni les odeurs ne semblaient le déranger. L'albinos se déplaçait tout de même silencieusement, car c'était bien la première fois qu'il venait ici et il ignorait ce qu'il allait rencontrer, ce n'était pas non plus le moment de faire une mauvaise rencontre par excès de confiance simplement parce qu'il était dans un lieu familier. Il se servi donc de son pouvoir pour réduire un maximum son poids, ainsi, ses pas ne feraient que peu de bruits et il y avait peu de risque qu'un coup de vent l'emmène au loin alors qu'il se trouve dans les égouts de West City.

Tandis qu'il avançait en mémorisant les lieux, il se remémorait ses jeunes années lorsqu'il faisait de même dans les sous-terrains de Centrale. Bien sûr on lui avait dit quelles étaient les limites qu'il ne devait pas franchir pour sa sécurité à lui, ainsi que celle de Père et de ses frères. Il avait pu voir cacher entre quelques canalisations des alchimistes d'état qui semblaient parfois réparer les lieux. Il ne pouvait s'empêcher de se dire qu'il valait bien mieux qu'eux, à les écouter avec leurs petits soucis sans intérêt, il ne pouvait croire qu'ils vivaient une vie aussi insipide. Il se mit donc en quête de Père pour lui poser la question. Après tout il était encore jeune et avait besoin de connaître certaines choses. C'est ainsi que ce dernier lui expliqua ce qu'étaient les humains, leurs préoccupations et leurs utilités en général. Il compris bien vite qu'il n'avait pas tord quant à sa première réaction face à eux. Mais, il ne devait pas non plus les sous-estimer, car certains de ses frères avaient bien failli perdre la vie face à eux. C'est pourquoi, il restait prudent maintenant, bien qu'il ne pense pas non plus que ceux-ci soient véritablement capables de lui faire quoi que ce soit, il ne fallait pas non plus négliger les avertissements de Père. Soudain, sortant de ses pensées, il cru entendre un bruit au loin, il se mit automatiquement sur ses gardes, bien qu'il ait le temps vu la distance à laquelle il l'avait entendu, mais cela lui prouva en lui-même à quel point il était tendu malgré tout. Peut-être que cela irait mieux lorsqu'il aurait fini sa visite et qu'il aurait ainsi pris pleinement connaissance des lieux.

Amestris était une ville bien sympathique, et lorsqu'on la connaissait bien, on pouvait rejoindre n'importe quel quartier par les égouts. Il faut croire que le réseau sous-terrain était très bien élaboré, c'était peut être pour cette raison que mes congénères aimaient se terrer sous terre. A mon humble avis c'était pour une autre raison que celle-ci, même si les sous-terrain offraient une certaine efficacité pour rejoindre tel ou tel endroit, il offrait autre chose : Le fait d'être quasiment invisible. J'en avais déduis une chose, ils se déplaçaient ainsi pour l'unique raison qu'ils étaient moches. A vrai dire c'est tout à fait compréhensible, si Glutonny sortait en ville, les gens le dévisageraient et aussi bête que ses pieds, il irait manger le premier individu venu uniquement pour son plaisir quotidien. Pour ce qui est des autres c'est quasiment pareil, sauf ceux qui se terrent dans l'armée d'Amestris, comme le sois disant Généralissime, le Führer King Bradley, et son pseudo fils. J'avais appris bien des choses de Père, un enseignement conséquent qui m'avais ouvert l'esprit. A la base, je n'étais ni plus ni moins qu'un humain avant qu'il ne me choisisse. Qui sait si j'aimais bien ma vie, à vrai dire je ne m'en souviens pas vraiment. Mais ce que je peut dire aujourd'hui, c'est que la vie vaut d'être vécue. Et comme je suis sois-disant passant moi aussi quasiment immortel, alors autant profiter de chaque jour car, les journées allaient être longues.

Moi aussi je m'errais dans les réseaux sous-terrains de la ville. Mais ce n'était pas pour la même raisons que mes pseudos confrères, eux c'étaient pour éviter le regard des gens, et moi c'était juste pour pouvoir rallier l'est de Central à l'ouest, ou l'inverse, je ne sais plus. Moi et la géographie, il faut croire que ce sont des notions que j'ai du égarer de ma petite mémoire. Cet après-midi j'avais eu une idée. Tenter de rentrer moi aussi dans l'armée en me faisant passer pour un simple soldat. Après tout ça pouvait fonctionner, et du coup je pourrais me mêler aux humains... Mais ce n'était pas mon but premier, à ce poste, je pourrais être efficace pour mes confrères Homonculus, et même si je m'en moque de les aider, il faut croire que ça pourrait m'apporter quelque chose. Je n'ai jamais tiré avec une arme à feu, je veut ressentir le plaisir d'ôter la vie d'autrui en lui coinçant une balle entre les deux yeux. Si jamais je réussi à intégrer l'armée, je passerai ma vie à vouloir devenir tireur d'élite, je pense que c'est une bonne vocation. Puis, en quelques petits instants, j'entendis quelque chose. Des bruits de pas venant en ma direction. N'étais-je pas seul dans les sous-sols de Central ? Peut être. Mais les bruits de pas s'étaient arrêtés quelques temps, on aurait dit que ma cible était en garde. Intéressant, lui aussi m'avait senti...

Je m'étais approché et apparemment ce n'était pas une personne que j'avais déjà croisée. A vrai dire j'étais censé déclencher une guerre, dans le sud, là où il y avait la forteresse de "Bigs" ou un truc dans le genre... A moins que c'était dans le nord avec les ruines de "Xeréxesse"... Euh, tout ce que je savais c'est qu'il fallait faire couler le sang quelque part où Sloth passerait pour créer son cercle à la noix. A vrai dire, lui à le bon boulot. Il est seul, sans qu'on l'emmerde, à creuser jour et nuit. Enfin bon, là n'était pas la question, s'il devait y avoir massacre pourquoi ne pas commencer ici et maintenant contre cette personne... A moins qu'elle soit de la même lignée que moi... Je m'étais approché jusqu'à ma cible, ou mon allié, qui sait, je ne savais pas encore qui était en face de moi mais son "aura", je la sentais. Il était comme moi ! Du moins apparemment.

Face-à-face, je souriais. Un homme aussi pâle qu'un vampire, il me ressemblait quelque peu, sauf sur un point. Il était petit de taille, peut être aussi grand que Pride. A croire que Père recrute dans une boîte de nains... J'eu un grand sourire et m'étais stoppé devant lui. J'attendais qu'il dise quelque chose tout en restant sur mes gardes, sait-on jamais si c'est un Homonculus traître comme l'autre type je sais plus son nom et je m'en tape d'ailleurs.

La ville de Dublith était charmante et commençait à me manquer mais après tout, j'allais forcément y revenir... saine et sauve. Je l'espérais.
Actuellement, je me trouvais à West City qu'on pouvait considérer comme seule ville de l'Ouest. C'était une ville agréable mais un peu trop calme à mon goût. Il n'y avait que très peu d'activité, et il n'y avait rien d'intéressant.
Je devais me rendre à Central City afin de faire quelques courses personnelles et professionnelles. Je savais que je pouvais très bien y aller directement, en allant vers le nord,mais mon instinct m'avait assuré que je trouverai quelque chose de spécial. en passant par l'Ouest. Le chemin était certes, plus long mais à qui pouvait-on se fier si on ne se fie pas à soi-même ? Je continuai donc à marcher, sans me laisser distraire par quoi que ce soit, il fallait que je reste concentrée. À chaque pas, mes yeux tournaient de droite à gauche à la recherche des égouts. Cet endroit lugubre, repoussant et nauséeux, mais aussi calme, tranquille et surtout vide. C'était cela que je cherchais, le vide malgré la tranquillité de West City il y avait des habitants et je devais être discrète, si je commettais une erreur quelconque, par inadvertance, il ne devait y avoir aucun témoin de ma présence ici. C'est là que je vis enfin la bouche d'égout, que je déplaçai et je pus rentrer dedans.
À peine entrée, je dus me retenir de respirer, ce qui nuisait à ma concentration. Si une personne ou.. quelque chose attaquait, j'aurai du mal à me défendre. De plus, l'odeur nauséabonde me piquait les yeux, j'étais forcée de clignoter des yeux pour avancer et pour combattre, ce n'était vraiment pas pratique. Après quelques minutes plantée devant l'entrée, je m'habituai peu à peu à l'endroit austère. Mes clignotements devinrent moins régulier jusqu'à cesser et mon odorat arrivait plus ou moins à s'habituer ce qui me permettait de voir à nouveau.

Je m'enfonçai plus loin dans les égouts. Le peu de lumières qu'y s'y trouvait était accrochées au milieu des murs, environ à deux mètres de hauteur, et beaucoup clignotaient rapidement jusqu'à s'éteindre complètement, quelques fois elles se rallumaient mais cela ne me permettait toujours pas de voir distinctement les quelques formes qui couraient. Des rats, peut être ? Le plafond n'était qu'à quatre-cinq mètres au-dessus de moi et pourtant je n'arrivai pas à en voir le bout. Le couloir sombre et sinueux était assez large et son jumeau se trouvait de l'autre côté de la rivière de déchets qui coulait sans s'arrêter. Je continuai donc ma route, de plus en plus méfiante, discrète et attentive.

C'est alors qu'une des silhouettes de tout à l'heure courut hâtivement vers moi et me dépassa tout aussi rapidement. Oui, c'était bien un rat, une de ces petites bêtes sales, pleines de microbes qui venait de passer. Etant donné la vitesse à laquelle le rat avait couru m'avait indiqué qu'il avait eu peur. Bon indice, il y avait donc bien quelqu'un... ou quelque chose. Je redoublai donc d'efforts jusqu'à n'avancer de quelques centimètres par pas mais au moins, je ne faisais aucun bruit, et mon ouïe fonctionnait au maximum. On ne pouvait pas m'entendre mais on pouvait me sentir, j'eus l'idée d'avancer dans l'eau mais elle était plutôt calme alors nager ou marcher, je ne savais pas ce que je devais faire vu que je ne connaissais pas la profondeur, n'était pas discret. Il fallait que je trouve autre chose... Bon, je n'avais pas le temps de réfléchir, je décidai de continuer ma progression sans me soucier du fait que je pouvais être sentie. Si cela se trouve, c'était déjà fait, j'étais repérée. J'entendis alors un bruit de pas mais ensuite, il n'eut plus aucun son. Quelqu'un m'avait donc vue, entendue ou sentie, mais quand j'avançai un peu plus loin, j'aperçus un.. enfant ? au loin. Il n'avait pas l'air de me voir, il regardait ailleurs, fixement, sans cligner des yeux ni détourner le regard. Mais qu'est-ce que c'était ? Sûrement pas un enfant, comment aurait-il pu se retrouver là et même si un gosse y arrivait, il pleurerait en espérant que quelqu'un aille le chercher.Ce n'était pas bon signe, non vraiment pas. Je me dirigeai vers lui mais après quelques pas, je pus observer qu'il n'était pas seul, un personne bien plus grande se tenait juste devant lui. Mais qu'est-ce qu'il se passait ici ? Bien décidée à comprendre quelques petites choses, j'avançai promptement. Ils n'étaient plus seuls.
Non, j'étais là moi aussi.

Après un début difficile au sein de l'armée, Klaus réussit enfin à s’adapter au rythme d'alchimiste d'état. Les mission s'enchainait, toute plus difficile les unes des autres . Bien entendu notre cher Klaus les remplissait avec brio. Après une longue période de mission pour l'armée le garçon prit l'initiative d'aller se détendre à West city. Il n'y avait jamais mis les pieds et comptait bien y séjournait quelque temps pour poursuivre ses études de l'alchimie et parfaire ses connaissances.

Le jeune homme ne tarda pas à trouver une auberge confortable pour y passer le plus clair de son temps à ses études. La paye d'alchimiste d'état avait le mérite d’être "grasse" ce qui permettait à Klaus de visiter West city tout en dénichant des perles rares, comme d'anciens livre d'une rareté inestimable. Rien que la troisième jours il avait déniché une œuvre de Flamel traitant de la pierre philosophale, un ouvrage passionnant quoi que assez obscur. Il en apprit plus sur la transmutation humaine car, bizarrement le livre de Flamel en relaté des détails. Rien d'énorme, mais plutôt intéressant : comme une légende portant sur des humains de synthèse appelait "homonculus".

D'un point de vue plus générale, il apprit aussi que des égouts gigantesque grouillaient sous la ville, et, plus impressionnant encore : ils rejoignaient Central. Cette information ne tarda pas de remuer l'esprit vif de Klaus qui ne comprenait pas l’intérêt d'une telle chose, à part peut être pour traiter les ordures ensemble. Douteux.
Mais l'interrogation ne s’arrêta pas là. Une rumeur de téméraire ayant voulut explorer ce tunnel lugubre affirmant avoir vu et entendu des choses étranges se propagea dans la ville ce qui la mit par ailleurs sacrément à sac.

Il ne fut guère de temps pour que Klaus reçoivent une lettre de l'armée.

" - Bordel comment ils m'ont retrouvés ! "

Une demande de mission, destiné à vérifier les rumeurs sur les égouts . Complétement blasé, le garçon n'avait guère le choix et décida de remonter les égouts jusqu'à Central. Il prépara des vivres, rassembla ses livres et se mit à la recherche d'une plaque d'égouts n'étant pas trop exposé, puis la franchit.

Il flottait dans ce lieu une odeur nauséabonde. Le garçon se boucha le nez en descendant par l'échelle. Une fois en bas il put constater que la visibilité y était nul. Il claqua sa main gauche et pour créer une petite flamme au dessus de ses doigts et ainsi éclairer un peu la voie. C'était un long tunnel sale, filant en ligne droite. Lui, il était sur un trottoir en béton et à sa gauche l'eau verte stagnante des égouts. La petite flamme n'éclairait guère mais c'était bien assez pour distinguer à au moins un mètre et demie devant lui. De plus les petits éclairage clignotant aidait à la luminosité.

* L'odeur... C'est horrible. En plus il fait un froid de canard ici ! *

Au bout d'une heure de marche rien d'inhabituel avait surgit de nul part. Il n'y avait rien à part des rats en fait.

* Ils se comportent bizarrement ces rats. Je rêve ou ils fuient ?! *

Méfiant, Klaus éteint sa seule source d'éclairage et continua de marcher dans la pénombre avec pour seul luminosité de faible éclat rouge sur les murs.
Marcher dans ses conditions était insoutenable et l’ennuie arriva vite. Exactement au moment ou le garçon distingua deux silhouette. Il s'approcha prudemment et sans décrocher le regard de sa découverte, s'avança d'un pas assez rapide mais discret. Il y avait deux hommes. Ou plutôt un enfant et un adulte. Ils avaient l'air de se connaitre et dégageaient une aura particulièrement désagréable. Quelque chose que Klaus n'avait jamais ressentit. Aveuglé par la récente activité et cette sensation étrange, il ne manqua pas de rentrer dans ce qui devait être une personne. Klaus se tourna vers elle et comprenant qu'elle était dans la même situation que lui il pointa son doigt devant sa bouche. Il tourna à nouveau sa tête vers les deux individus et chuchota à sa toute récente rencontre :

" - Je les sent pas c'est deux là moi. "

En effet, ils dégageaient quelque chose de particulièrement inhumain.

Nombre de messages : 108 Date d'inscription : 05/07/2012

Comme il l'avait pensé, les bruits de pas qu'il avait entendu n'était pas le fruit de son imagination. Quelqu'un finit par se révéler à lui. Il ne craignait pas de rencontrer un alchimiste, il n'a donc pas tenté pas de se cacher. Scorn avait parfaitement confiance dans ses capacités, mais une pointe de déception vit le jour lorsqu'il s'aperçut que ce n'était qu'un autre homunculus comme lui. Il l'avait sentit mais également vu. Il s'échangèrent de brèves salutation, mais comme certaines tensions subsistaient parmi les pêchés de père, il n'était pas impossible qu'il se battent tous les deux. Mais dans ses souvenirs, il ne se rappelait pas avoir vu se visage parmi les recherchés de ses semblables. Et puis ce n'était pas si important, père lui avait confié une mission et il comptait bien la remplir complètement. C'était la première fois qu'il sortait des sous-sol de centrale et il fallait qu'il fasse ses preuves pour avoir cartes blanches pour plus tard. Mais tandis qu'il allait prendre la parole pour tenter d'en savoir un peu plus sur son cousin. Il cru percevoir un bruit. Tournant à demi la tête, il cru voir un rat, un rat qui s'enfuyait en couinant. C'était étrange, de quoi aurait-il fuit ? Gardant à l'esprit qu'il n'était pas dans une zone totalement sure, il s'adressa finalement à l'homme aux cheveux aussi blanc que les siens.

« Je ne sais pas ce que tu fais ici, mais j'ai quelque chose à faire et si tu tente de m'en empêcher... Tu connais la suite. »

Ainsi, les choses étaient dites et les limites tracés. Même si l'obscurité était étouffante et l'odeur nauséabonde, l'homunculus le supportait très bien. Puis d'un mouvement du regard vers son semblable, il tenta de lui faire comprendre qu'il y avait quelque chose d'étrange dans le conduit derrière lui. En espérant que ce dernier avait compris, Scorn se retourna vers le dit conduit et s'approcha doucement. Le bruit de ses pas résonnant sur les parois des égouts, puis le bruit de l'eau en mouvement lorsque ses jambes touchèrent l'eau aux couleurs suspecte. Encore un pas et il serait à l'endroit d'où le rat était sortit. Peut-être que c'était un autre homunculus de père, mais si ce dernier était resté caché à les écouter, c'est sans doute qu'il était un traître. A moins que cela ne soit un autre type de compagnie. Surgissant brutalement pour ne pas laisser le temps à la personne possiblement caché ici de le surprendre. C'était bien étrange que ces égouts soient aussi peuplés.

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