Niji était resté dans la prairie, c’était tellement bien. On était en fin d’été et le soleil continuait de chauffer la terre de manière douce et affectueuse, les nuits était encore chaude et le ciel, oh, le ciel était tout simplement magnifique. Les étoiles étaient magnifique, tout simplement, brillant de mille éclat, soir après soir. Douce et sobre.

Niji aimait regarder les étoiles, cela la détendais. Et puis ainsi, Murasaki ne l’embêter plus. Elle avait arrêté de fumer. Cela faisait deux semaine qu’elle était ici au calme. Aujourd’hui c’était la fin de journée, le soleil brillant ce couché lentement les couleurs du ciel changeait, colorant les quelque nuages. Le bleu du ciel, tellement puissant et profond devenait plus sombre, plus triste, du rouge sang apparaissait a l’horizon, accompagnée de touche de topaze et de rose. Rose, plus doux que ses cheveux.

Niji se leva lentement, mettant une main dans ses cheveux et descendit la colline qu’Edward Elric avait traversée en tombant. A ce souvenir, un sourire se transcrit sur ses lèvres. Ses lèvres pâle et douce. Sa peau blanche semblait brillait dans la luminosité du couché du soir tombant. Lentement, elle enleva son tee shirt, restant en soutien-gorge et puis, son pantalon,le laissant glissé le long de ses cuisse, retrouvant avec plaisir une semi nudité bénite. Ses sous vêtement noir ébène faisait ressortir sa peau de façon irréelle, illogique, en faite, Niji était une belle femme. Au pied de la rivière, elle attacha ses cheveux en chignon et s’approcha du bord de l’eau mettant le bout de ses orteilles dans l’eau pour évaluer la température de l’eau.

Un long frisson parcouru son échine.  Etait elle vraiment belle a ce moment là ? En sous vêtement au bord de l’eau. Était-elle vraiment belle ? Ainsi son long frisson parcourant son corps, sa lèvre entrouverte tandis qu’un soupire parcourait son être. Telle une nymphe ses longs cheveux rose relevait sur sa tête laissant a nue sa gorge si blanche. Puis, lentement elle rentra dans l’eau savourant avec un bien être profond la douceur de l’eau contre sa peau. S’enfonçant dans l’eau elle ferma les yeux, aucun bruit ne venait compromettre la féerie de ce moment. L’eau contre son corps, le doux couché de soleil, les étoiles apparaissant une a une dans le ciel, et le chants doux et triste des oiseaux.

Niji se mit alors à chanter, avec sa voix, si douce et si fine. Cela faisait tellement longtemps qu’elle n’avait pas chanté. A l’époque, elle ne chantait que dans de rare moment, quant elle devait transmettre un message que les mots ne pouvaient dire. C’était étrange comme façon de pensée, pourtant, oh oui pourtant, la voix qu’elle avait plusieurs fois fait pleurer. Une voix douce et angélique, fine, régulière.

Puis se fut la fin. Elle entendit des bruits de pas. Le bruit des herbes qu’on écrase, des bruits de pas qui s’avance vers elle elle s’enfonça dans l’eau jusqu’au menton et regarda avec intérêt la personne qui pourrait venir vers elle.

Qui donc pourrait ce perdre dans un moment comme ça ? Est-ce ca voix qui se pouvait avoir attiré quelqu’un ? Telle une sirène qui attire les marins sur les navires ? Pourtant elle n’était qu’humaine. Une humaine certes skizophrène mais perdu dans un monde en guerre. Un monde ou les sentiments faisait mal, détruisait les un après les autres.

Alors elle pensa, elle pensa si fort qu’elle aurait voulu disparaitre ce fondre dans l’eau. Elle ferma les yeux, ses yeux bleus océan. Et si on venait l’attaqué elle ne pourrait pas ses défendre. Sa dague et son sabre était posé sous ses vêtements sur la berge. Elle nagea lentement en essayant de faire le moins de bruissement d’eau possible vers un coin d’ombre ou elle pourrait voir qui approchait.

Mais soudain le bruit disparut. Aurait-il ou elle, dévié sa trajectoire ou la personne avait arrêté de marché ? Elle sortie sa tête de l’eau, se levant complètement, les gouttes d’eau coulant de son corps au forme généreuse, ses sous vêtements mouillée. Regardant partout tandis que la pénombre céleste c’était installée. Elle ne vit rien, même pas des ombres. Alors elle sortie de l’eau, mettant ses pieds nue dans l’herbe soupirant légèrement de soulagement. Ainsi soit-il.

Si la lune est une synonymes du temps alors la lune était avec le temps devenu une amie de la fille au cheveux rose le temps qui passe est ce qu’il y a de plus beau endurcicant les cœurs et l’esprit ou la rendant peut être un peu plus dérangeait. Niji avait vu en habitant dehors d’innombrable lune ce levait. Cela faisait il combien de temps qu’elle n’avait pas fait un vrai repas et dormis dans un lit chaud ? Peut être … Non surement depuis qu’elle avait croisée la route d’Elianna et de Roy Mustang. Et encore pour ce qui était de Roy elle avait fuis au milieu de la nuit. Trop timide, trop mal avec les sentiments qu’il l’avait ressentit au fur et a mesure. Il l’avait sauvé, et il avait tué la personne qui avait crée des chaines autour des ses poignets et ses chevilles.

Peut être est-ce pour ça qu’elle avait décidé de suivre une vie d’errance, parce que, la liberté n’avait pas de prix. Et c’est ce qui était plaisant dans le faite de pouvoir errer et d’avoir la liberté des choix. Et les choix c’était la vie maintenant qu’elle était libérer de toutes les chaines qui la retenait prisonnière !

Elle aimait la nuit, elle aimait la lune, elle aimait le contact de l’eau sur sa peau et la vision qui se faisait a elle avec le corps de cette femme face a elle. Pourtant et depuis longtemps elle ne ressentait pas de désir. Ce qui en soit était étrange. Elle aimait le contact de la chaire. Observant attentivement l’autre femme, elle se rendit compte qu’elle ressemblait étrangement au petit Edward Elric, bien que petit était un bien grand mot vu qu’elle était bien plus petite que lui.

Elle s’approcha, doucement délicatement et attrapa la main de l’autre femme remontant le long de son avant bras. Pourtant elle n’avait pas de d’automail. Niji remonta encore a clavicule puis sur son visage qu’elle caressa delicatement et

Attrapa et tira sur sa joue.

- C’est fou comme vous ressemblez a Edward Elric.

Et elle recula, la lâchant, rompant le contact charnelle et sensuelle qu’elle avait crée et s’allongeant dans l’herbe, toujours en sous vêtement, laissant l’autre jeune femme si elle le voulait prendre son bain et profiter a son tour de l’eau tiède de ce soir. Niji déposa ses cheveux autour de sa tête en éventail, mettant au loin les phrases et le harcèlement de Murasaki dans son esprit, elle voulait être en paix. En paix avec elle-même. En paix avec la nature. Elle n’écoutait plus que le chant du vent et le bruissement de l’herbe, elle ne pensait plus qu’au leger vent qui passait et qui faisait frisonner sa peau. Ah, douce nuit.

Niji c’était allongée sur le sol, simplement, elle était des plus amusé ou bien perturbé par la ressemblance entre Edwin, une femme et Edward Elric, un petit blond ou du moins, un blond, parce que après tout, elle était plus petite que lui du haut de ses 1m50. Fronçant les sourcils et une fois seche, elle se mit a demi assise finissant par se rhabiller pour se tenir au chaud la nuit était tout de même assez fraiche. Ce qui était des plus agréables sur sa peau froide. Elle ferma les yeux amusés et écouta le discours de la fille, qu’elle était bavarde ! Dire Niji avait passé tant de temps seule et qu’elle voulait juste profiter de la noirceur et la douceur de la prairie qu’elle avait trouvé à toute hasard. Le monde était vraiment étrange. Elle regarde un instant le corps de la fille femme et fit un demi-sourire. Il ne fallait pas oubliée que la fille était bisexuel et que son attirance pouvait se montré au deux sexe.

« Intéressant elle te trouve mignonne ! » Leva la tête vers la jeune fille des plus étrange, elle ne lui avait même pas dit son nom et lui demanda ce que faisait une jeune femme mignonne ici. Était-elle obligée de répondre ? Etait elle obligé de dire que c’était ici qu’elle vivait seule et dans la rue qu’elle se baladait afin de vivre jour après jour dans l’optique d’un demain auquel elle ne croyez plus ?

- Je vis dans la rue.

Finalement elle l’avait dit. C’était peut être la meilleur des solution mais elle n’argumenta pas plus, cela n’avait aucun intérêt de toute façon la vie était ce qu’elle était et elle Niji obuto ne travaillait ni ne continuer a espérer un lendemain meilleur alors que Murasaki en elle travaillait pour un fou un homoclulus avare qui voulait tout, la vie , les femmes le pouvoir. Cette idée faisait bien rire Niji et Murasaki aussi d’ailleurs elle ne c’était mise a son service juste pour s’amusé un peu, quel histoire tout de même.

- Et vous que faite vous ici ?

Dit la petite fille aux cheveux rose, puis de nouveau elle se mit a parle, qu’elle était bavarde mais qu’elle était bavarde ! C’était presque triste. Alala.

- Je ne sais pas.

Niji était tout de même une femme qui vivait a la rue, elle n’avait pas eu de rapport depuis longtemps et elle était attiré par les deux sexes, on ne changeait pas une personne aussi facilement, alors. Regardant devant elle, elle ne pu s’empêcher de la regarder du coin de l’œil un petit sourire au coin des lèvres, Murasaki au fond de sa tête dormait. Au moins elle ne l’entendait plus. La femme, portait actuellement des vêtements d’homme, c’était assez étrange. Vraiment très étrange surtout que des pantalons pour femme c’était assez facile a trouvé.

La jeune femme lui tendis a mangée et elle le prit, il aurait été très impolie de ne pas le prendre et quant elle tendit la main, leur doigts se touchait. La peau de Niji était froide et celle d’Edwin était chaude ca faisait du bien et ca contraster étrangement avec l’air frai de la nuit. Niji grignotant tranquillement le gâteau, prenant soin de mâcher et d’avaler, laissant la douceur du chocolat envahir sa douche. C’était agréable. Et la jeune femme resta debout, lui proposant de venir avec elle a la cherche d’un auberge. Dans sa tête de nouveau elle fit ses comptes, est-ce qu’elle avait assez pour dormir une nuit. Elle fit un sourire et pris sa main pour se lever, les nuages qui passait devant la lune rendit la nuit plus noir encore comme si toute était d’encre.

- Bien sur. Je vous accompagne.

Elle se mit a marché avec la jeune femme ses bottes toujours dans les mains, après tout, elle ne voulait pas les mettre tout de suite profitant avec délectation de l’herbe froide sous ses pieds nuits. A vrai dire, Niji n’avait pas le sens de l’orientation, elle ne savait pas vraiment ou était la vielle, elle réveilla Murasaki dans sa tête. La secouant et lui demandant la route pour allée en ville et trouvé une auberge. « Tsh, tu ne voudrais pas me laissée dormir nan ? T’as toujours besoin de moi hein. Marche au Nord pendant 10 minutes et tourne au sud sud est, tu trouveras l’auberge. »

Niji pris donc cette direction avec la plus grande simplicitude pour voir, au bout d’une longue heure de marche la dite auberge.