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| | | Il était une fois, à l'Ouest [PV Horo] |    |
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![Il était une fois, à l'Ouest [PV Horo] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) |  Sujet: Il était une fois, à l'Ouest [PV Horo] ![Il était une fois, à l'Ouest [PV Horo] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Mar 2 Nov - 15:51 | |
| Le ciel était magnifique aujourd’hui. Il n’y avait aucun nuage à l’horizon. La gare étaient bondée, comme toujours. Chaque personne dans cette masse noire de foule avait une destination bien précise. Les contrôleurs faisaient monter les passagers dans les trains, tandis que ces derniers lançaient un dernier au revoir à leurs proches. Des enfants pleuraient dans les bras de leur mère alors que celle-ci regardait la locomotive s’éloignée. Certains voyageurs sortaient les bras et la tête par les fenêtres de leur wagon pour saluer une dernière fois des personnes qu’ils ne reverront pas avant un moment. Une jeune femme blonde, assise dans un siège plus ou moins confortable, n’était pas de ces gens qui avaient de la famille pour leur souhaiter bon voyage. Elle était seule. Malgré la présence de quelques collègues, elle se sentait... à l’écart. Ce n’était pas parce qu’ils n’étaient pas de bonne compagnie, mais plutôt parce qu’elle ne se sentait pas proche d’eux. Ils n’étaient que les soldats portant le même uniforme qu’elle, partant pour la même mission qu’elle. Ils avaient probablement une famille, des parents. Elle ne le savait guère et ce genre de chose ne la regardait pas. Elle resta silencieuse et fixa la gare s’éloigner peu à peu, jusqu’à totalement disparaitre.
Lorsque tout le monde fut assis, les militaires fixèrent la femme qui avait ouvert un dossier et s’était mis à le feuilleter. Ils attendaient tous les détails de cette fameuse mission à laquelle ils avaient été assignés. Cependant, même après de longues minutes, le lieutenant n’avait pipé mot. Elle était perdue dans ses pensées jusqu’à oublier la présence de ses soldats. Ce fut l’un d’eux qui la ramena sur terre, d’une voix hésitante, comme s’il avait peur de la dérangée. -Lieutenant Hawkeye… ? Les grands et magnifiques yeux de la couleur des noisettes de Riza Hawkeye se posèrent sur le militaire. Elle le contempla un moment avant de prendre la parole. Elle avait laissé son esprit vagabondé sans retenue alors qu’elle lisait son rapport. La jeune femme n’avait pas vraiment la tête à la concentration aujourd’hui. Elle était dans sa bulle, ses pensées, son petit monde. Pourquoi lui avait-on donné cette mission ? Parce que le Colonel la savait digne de confiance ? Alors, pourquoi n’était-il pas venu avec elle ? Ou bien avoir également assigné Falman, Breda, Fuery ou bien Havoc à cette mission ? Que recelait ce mystérieux laboratoire où ils se dirigeaient ? Pourquoi devoir enquêter sur des disparitions remontant à longtemps ? De nombreuses questions subsistaient dans l’esprit du Lieutenant sans qu’elle puisse y répondre. -Pardonnez-moi… J’étais perdue dans mes pensées.*** Riza s’avançait dans les herbes hautes, suivit de près par les soldats alertes qui réagissaient au moindre bruit. Personne n’habitait les environs, si ce n’était que des animaux sauvages. Au milieu de toute cette végétation à la fois terrifiante et resplendissante, se trouvait les ruines du laboratoire tant recherché. La porte principale était coincée et le lieutenant demanda à ses soldats de la défoncer, ce qui se fit sans problèmes. Ils entrèrent en tant qu’éclaireurs et le Lieutenant les suivis. L’intérieur du bâtiment était dans un sal état. La moisissure régnait en maitre en ces lieux. Certaines parties de mur étaient manquantes et le plafond menaçait par moment de s’écrouler. Le lieutenant se dirigea dans le couloir à sa droite, avec deux soldats, tandis que les deux autres explorèrent la pièce à la gauche. Puis, ces derniers demandèrent l’aide de leur supérieur. -Lieutenant ! Venez vite ! |
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| | Sujet: Re: Il était une fois, à l'Ouest [PV Horo] Sam 6 Nov - 10:25 | |
| Horo dormait paisiblement dans le deuxième sous-sol du laboratoire, ce dernier était innondée et les meubles ainsi que beaucoup de documents devenuent illisibles flottaient dans l'eau, la louve dormait sur un tas de gravats et d'ossements d'humain Horo était vêtue d'un uniforme de l'armée en lambeaux du a ses nombreuses transformations en fonction des situations auquel elle était confrontée. Le premier sous-sol était surtout destine a stocker les chimères qui était conçut dans une pièce au Meme étages, deux chimère de loups a écailles vivent a ce niveau allant chasser des proies pour Horo qui a peur de sortir dehors , peur qui est facilement explicable si on connaissait le traitement que subisser Horo dans ce laboratoire.
Les deux chimère revenait d'une chasse quand les soldats entraient dans le laboratoire, elles transpiraient chacune un cadavre d'homme assez corpulent. On pouvait suivrez leur trace en suivant les traine de sang des cadevres sui tombent dans un trou qui mène a l'antre d'Horo. |
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| | Sujet: Re: Il était une fois, à l'Ouest [PV Horo] Ven 19 Nov - 0:51 | |
| Riza entendit ses subordonnés au loin l’appeler, semblant avoir trouvé quelque chose qui susciterait son attention particulière, les voix provenant de la troupe étant partie vers la gauche. Quoi, elle l’ignorait, mais ils l’avaient appelés en toute hâte c’est donc qu’ils avaient trouvés une piste, quelque chose d’anormal pour ainsi dire, ce qu’elle ne devait pas laisser filer. Chose qui est bien sur normal lorsqu’on est à la tête d’une escouade de donner les ordres, de faire régner la confiance sur soi et de se faire ainsi appeler lorsque quelque chose ne tourne pas rond, n’est-ce pas? Après tout elle-même faisait appel à Mustang lorsqu’elle en avait besoin dans ce genre de situation. Vraiment besoin plutôt, cela ne s’appliquant pas si c’était un danger potentiel qu’elle pouvait s’occuper seule, évitant le plus possible de l’exposer au danger. Mais tout est une question de liens tissé avec ses coéquipiers car à la longue de travailler avec les mêmes personnes une chimie s’était créer, pas comme avec ceux-ci qu’elle n’avait jamais réellement côtoyé. Non, il y avait une réelle distinction entre travailler avec des subordonnés choisis un peu au hasard et lorsqu’elle avait à travailler avec le colonel, Havoc, Breda, Fallman ou encore Fuery. Et puis il y avait des années qu’ils étaient ensemble, un lien indescriptible les unissaient tous. Pas qu’elle faisait dans le mélodrame, loin de là, mais c’était ainsi que voulez-vous. Même si chacun possède sa propre manière d’agir sur le terrain, Fallman devant y réfléchir pendant des heures tandis que Havoc était plus impulsif par exemple, chacun avait réussi à se trouver terrain d’entente. Ils avaient même réussi, malgré eux, à la convaincre de prendre sous son aile un petit chien qui devient vite un ami fidèle pour elle, ce qui n’est pas rien! Enfin, maintenant qu’elle était à la tête d’une petite unité qu’elle ne connaissait pas, elle devait faire preuve de professionnalisme et ne rien laisser passer. Cela commençait par une atmosphère de confiance qu’elle avait tout de même bien réussi à instaurer à peine dès que la mission avait débuté. Puis il y avait les preuves à faire sur le terrain. Hawkeye n’avait plus rien à prouver depuis longtemps et sa réputation n’était plus à refaire, mais elle ne devait rien laisser échapper à sa vigilance. On n’est jamais trop prudent, et ceci est malheureusement bien vrai, même pour l’œil du faucon.
On lui avait demandé de se dépêcher, quelque chose semblait donc, pour en revenir à la situation actuelle, ne pas aller du côté gauche, chose que le lieutenant fit à peu près comme souhaiter, se dépêchant qu’à moitié, gardant l’autre moitié pour prendre le temps d’ériger un périmètre de sécurité, donnant quelques ordres silencieuses par des signes de mains que tous comprirent. Car on n’est jamais trop prudent, tout peut nous tomber dessus à ce stade, et pour ça elle en connait un long bout sur les embuscades inattendues et toutes babioles du genre, ayant tout de même participée à quelques guerres considérées comme les plus terribles de ce pays. Et oui, la vie n’a jamais vraiment été rose pour le lieutenant, mais elle ne la conçoit plus vraiment autrement, les rêves de jeunes filles il y a longtemps qu’ils sont terminés. La vrai vie c’est maintenant qu’elle se joue, inutile de rester obstinément coincer dans le passé ou dans de fausses illusions éphémères.
De plus elle n’avait pas vraiment besoin d’accourir dans l’immédiat, ils ne lui avaient que demander de venir, sans cris ou coup de feu quelconque, c’est donc qu’ils avaient fait une découverte, bonne ou mauvaise et elle avait une mission, elle devait aller vérifier, mais sans mettre qui que ce soit en danger. Cela l’intriguait cependant de savoir ce que l’on pouvait décemment découvrir dans un laboratoire qui se voulait à l’abandon. Tant d’hypothèse possible, c’est pourquoi il valait mieux ne pas en émettre une seule. Aussi, elle avançait d’un pas rapide et léger, marquant bien l’expérience sur le terrain, arme toujours à la main, guettant les moindres gestes pouvant survenir, ce qui n’arriva heureusement pas. Oui, Riza reposait beaucoup sur ses cinq sens en mission, mais surtout sur sa vue. Quoi de plus normal après tout pour une Snipper de renom comme elle.
Finalement, elle arriva près des subordonnés mais aucun mot ne fut utile à ce qu’elle comprenne la situation à laquelle ils allaient désormais avoir affaire; La salle était injectés de sang et semblait parsemée de cadavre un peu partout, laissé ça et là sans aucune logique quelconque, telle une bête affamée lançant par la suite son repas pour ne pas qu’ils trainent dans ses jambes. Déjà la scène en sois était assez lugubre, non? Arriver comme ça dans une scène de scénario de film d'horreur sans y avoir été préalablement avisée et sans préparation aucune pour ce genre de mission. Et bien, le pire n'était malheureusement pas là, résidant dans un tout autre point. Tout d'abord il y avait cette affreuse odeur de pourriture, en soie insupportable, à vous donner des hauts le cœur incessant, s’ajoutant à cela une odeur de sang sécher et d’humidité ambiante. Il devait y avoir une fuite d’eau, ce qui expliquerait que tout soit autant moisi. Ensuite, en plus de cette odeur si singulière, il y avait une odeur de bête, une odeur si particulière aux animaux, planant tout autour, sans compter un léger grognement assez rauque. À en juger par le bruit, il y avait plusieurs bêtes qui rodaient dans le coin. Simple loup? Le lieutenant en doutait fort, surtout avec la scène qui se posait à ses yeux. Il fallait être prêt à toute situation maintenant, apparemment ils n’avaient pas affaire à une banale situation de recherche dans les décombres d’un laboratoire mais peut-être même des recherches illégales, des meurtres et tout plein d’histoires qui allaient faire dresser les cheveux du colonel devant le tat de paperasse qui l’attendrait par la suite. Et oui, si c’est pas joli les rôles de colonel; Les subordonnés font toutes les belles tâches sur le terrain et les colonel remplissent les papiers inutiles. Finalement elle n’est peut-être pas tant à plaindre à comparer à certains, et il doit bien avoir pire que le colonel, à commencer par cette pauvre générale du Nord qui reste au froid à longueur d’année et qui doit subvenir seule à tout un fort complet. D’ailleurs Hawkeye ne s’ennuyait pas trop des échanges communes avec le Nord, faut dire que les entrainements là-bas n’étaient pas de la rigolade, même si Olivia la tien elle et Havoc en estime...
-Restez sur vos gardes
Ordonna-t-elle donc d’un ton ferme qui ne laissait pas a la remise en question, ne souhaitant pas de morts sous sa division, fixant toujours de ses yeux perçants l’endroit d’où provenaient les grognements. Des yeux globuleux se faisaient voir à quelques reprises, des chimères à priori. Attachées, encagées, rien à craindre, mais la plupart des subordonnés tremblaient. Normal, mais elle ne pouvait rien faire pour eux, libre choix de partir ou de continuer, ils prendront sur eux les conséquences de leurs actes. Elle avança donc la première, arme pointé devant elle, bougeant parfois de gauche à droite, une sueur froide sur la trempe, mais vit bien vite qu’aucune des créatures ici n’étaient libre de leurs mouvements, ou presque.
Car bien vite elle croyait la menace passé qu’une chimère-loup avec une drôle de carapace bondit vers eux, succédée par une autre. L’attaque fut rapide, tant que la jeune femme n’eut pas le temps de bien étudier la composante de ces bêtes assez imposantes qui semblaient défendre le territoire. Une rafale de coup se fit entendre tiré tant par elle que par ses subordonnés effrayer, certains ayant réagi plus rapidement que d’autres mais tous avec une précision sans faille, avant que ces deux-là battent en retraite, semblant vouloir alarmer quelque chose, ou quelqu’un qu’importe. Le plus frustrant c’est qu’ils ne semblaient pas réellement toucher ou du moins pas de façon considérable. Les sens aux aguets, Riza fonça la première à leurs trousses, ne devant tout de même pas les laissées filées à si bon compte alors qu'elles venaient de leurs sauter dessus avec la ferme intention de faire des blessés, suivis par quelques braves qui s’était remis plus aisément de Il faut dire que jamais on n'avait préparer qui que se soit à ce genre d'évênements lorsqu'ils avaient intégrés l'armées. Qui aurait pu immaginer pareille chose de toute façon? Ils coururent donc, l'odeur devenant de plus en plus forte et les couloirs se refermant peu à peu sur eux, tel un étaux, comme seul bruit les pas sur le sol glacer, résonnant partout autour d'eux, sans pistes quelconque pour s'horienter. Ils semblaient s’enfoncer de plus en plus,, allant vers des endroits qu'elle ne soupçonnait même pas d'exister, surement dans les sous-sols très profonds de la ville, mais la lieutenant n’avait pas peur. Elle avait vécu pire, bien pire, et la mort ne l’effrayait pas, mais elle ne partirait pas avant d’avoir menée son colonel jusqu’en haut. Il faisait presque noir, mais elle y voyait tout de même, donc pas de soucis de ce coté... |
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