L’insecte et l'arachnide (PV Moth)



 
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 L’insecte et l'arachnide (PV Moth)

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MessageSujet: L’insecte et l'arachnide (PV Moth)   L’insecte et l'arachnide (PV Moth) Icon_minitimeSam 11 Juin - 19:41

De nouveau dans les égouts, l’immonde Harvek se terre dans des galerie creusé dans les tunnel par ses insecte qu'il continuait de modifier pour les transformer en autres chose, ils devenait juste plus gros pour l'instant. Le tunnel, menait vers une gigantesque alvéole, elle mesurait facilement prêt d'un kilomètres du centre jusqu'à la parois qui était couverte de miasme ou autres substance visqueuse et de veines enraciné dans les murs, secoué de spasme comme si un coeur battait quelque part en envoyait du sang afflué à travers ces étrange veines parcourant la salle dont les couleur blanche pâle était parsemé de mauve au niveau des veines de tailles aussi fine pour certaines que grosse comme un pneu de voiture pour les plus gros.

Le sol couvert d'un étrange tapis mou et visqueux, cependant assez dur pour que l'on marche dessus sans difficultés, à certain endroit, se trouvait des bassins verts dont les bulles remontant à la surface éclatait en laissant échapper un gaz verdâtre se dissipant dans l'air. Si l'on continuait de marcher, l'on pouvait finir par arriver à la source même de cette étrange décors, au centre de la pièce se trouvait un étrange édifice, une chose immense se trouvait la, formant un oeuf géant de la taille de deux maisons, recouvert d'un carapace luisante solide comme l'acier à la couleur noire. Un étrange son venant de l'oeuf, comme celui d'un embryon bougeant frénétiquement à l'intérieur.

Harvek était à l'intérieur, et les sons de vie venant de l'extérieur du cocon le dérangeait, car ceux-ci venait d'en dehors de l'oeuf, mais de l'intérieur de la salle. En ouvrant les yeux, l'homonculus gardait la vue sur tout ce qu'il se passait dans la pièce, car il était relié à toute cette flore biologique, lui permettant de garder vu sur tout ce qui arrivait dans la zone. Une forme de vie était la en mouvement, mais de quoi s'agissait-il, en analysant la zone, il s'agissait d'une araignée... Anormalement imposante. Par réflexe, il provoqua un grondement dans les parois des murs et les bassins aux liquide verdâtres, puis soudain le cocon s'ouvrit telle une machine, comme une porte se soulevant, laissant s'extirper l'homonclus sous forme humaine de son étrange substance blanche à nuance violette, ses vêtements ne se reformant pas encore, seule un long pagne mauve à bord d'orée arrivait à cacher l'entre jambe de celui-ci, laissant tout de même à vue son signe d'Ouroboros, situé au bas ventre.

Relevant la tête, il posa son regard malsain en direction de la ou le nouvel arrivant allait bientôt apparaître et prononça.

- " Qui va là? "

L'odeur lui parvenait aux narines, son corps et ses bras ballant vers l'avant, il se redressa lentement, ses cheveux alourdit par le liquide encore sur sa tête. Un sourire large et fin gravé sur ses lèvres le rendant plus inquiétant encore. Le pagne même s'il était la pour cacher son entrejambes, manqua à plusieurs reprise de laisser à vue celle-ci à cause des mouvement un peu maladroit de l'homonculus encore engourdit par le confinement. Ses lèvres se délièrent l'une de l'autre avec lenteur, agrandissant son sourire malsain et révélant sa dentition blanche. S'en suivit un semblant de spasme de la cage thoracique, qui s'avérait être finalement un sombre ricanement de la part du jeune mâle.
Il se tordit le dot en faisant craquer les vertèbres dans un sons peu agréable, ses doigt se crispèrent pour faire craquer les articulation à leur tour, faisant automatiquement ressortir les griffes de l'insecte géant.

- " Je sais que vous êtes la... Montrez-vous. Je ne vous mangerais pas, enfin... Cela dépend de bien des critères, évidement. "

Lança-t'il avec un amusement certain dans la voix.Totalement revigoré par ce petit exercice osseux, il pu marcher correctement ses pieds nu marchant sur le tapis organique faisant un bruit d'éponge piétiné à chaque pas. En se déplaçant, Harvek entre-ouvrit sa bouche pour laisser sa langue se dérouler sur prêt de soixante centimètre, gesticulant et laissant un long filet de salive s'écraser au sol. La langue retournant à sa place tranquillement.

D'une simple pensé, grâce à ses effets synaptique sur ses insectes, il les appela en cas de besoin, des milliers et des milliers d'insecte jaillirent des murs, et se mirent à proximité de leur maître, toute ces créatures de différente espèce, à présent aussi grosse qu'une gros chat pour la plupart, avaient de quoi effrayer un humain avec aisance. Lorsqu'enfin il arriva devant la créature qui avait pénétré son domaine, il releva lentement la tête devant elle, puis la rebaissa tout aussi lentement, la jaugeant du regard, l'étudiant, non il ne la reluquait pas, il prenait conscience de ce qui était en face de lui, à la vue d'une signe d'Ouroboros, il comprit qu'elle était une homonculus tout comme lui.

- " Je vois... Ravissante n'est-ce pas ? "

Se dit-il à lui même, même si c'était dit à voix haute, sans aucune discrétion, après tout, pourquoi mesurerait il ses paroles..; En tant que prince Homonculus, il avait tout les droits. Voila sa pensée du moment.

- " Je vous souhaite la bienvenue, dans ma demeure princière, et je vous présente mes serviteur... Ces extension de moi-même. "
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MessageSujet: Re: L’insecte et l'arachnide (PV Moth)   L’insecte et l'arachnide (PV Moth) Icon_minitimeMar 28 Juin - 20:34

Un compte goutte souterrain tambourinait la surface du pavé égoutté, à l’appoint d’un conduit d’eau nauséabond dans lequel pataugeaient des rats pelés et quelques insectes noyés. L’humidité faisait reluire les parois des égouts et intensifiaient l’odeur croupie des fosses septiques. D’étranges bruits martelaient les canalisations, et amplifiées par l’écho caverneux, feraient frémir de trouille les plus audacieux. Ce qui était impressionnant à contempler, étaient les toiles démesurées qui tapissaient chaque recoin de pierre sclérosées, abritant pour la plupart de chétives tarentules tapies dans leur soie blanche. Les plus vivaces galopaient les murs en quête de maigres proies, et la majeure partie, par manque de gibier, n’hésitaient pas à dévorer leurs colocataires. Tout comme Briggs, la loi du plus fort s’appliquait autant dans les dessous d’Amestris qu’à la frontière. Une main griffue se tendit vers l’une des araignées dont elle caressa affectueusement l’abdomen ébène tapissé d’un doux duvet. L’insecte répondit à sa tendresse en tâtant de ses mandibules les sillons des doigts de sa génitrice, effectuant ainsi un langage similaire au morse où la communication se baserait par le toucher sensitif. A l’approche de leur parente, les plus jeunes tarentelles se regroupèrent en masse, frictionnant leurs pédipalpes en de stridents sifflements impatients. Moth étira un sourire ironique, amusée par l’excitation manifestée par sa trépidante progéniture.

- « Allons, allons mes amours, Maman a ce qu’il vous faut pour calmer votre appétit. »

A ces mots, elle entrebâilla la gueule campée sous ses crochets puis, régurgita le corps défunt d’un officier en putréfaction, la peau livide et le cœur silencieux. Il ne fallut pas longtemps aux affamées pour dévorer la chair visqueuse de salive et poisseuse de sang du cadavre. Chaque lambeaux de viande restait dissimulée par un amas consistant et grouillant d’arachnéens insatiables. Tandis que sa descendance se rassasiait le ventre, l’homoncules fit les comptes sur les pertes infantiles et constata quelques instants plus tard la disparition d’un fort taux d’araignées, ainsi que de nombreuses dépouilles d’insectes variés gisant à proximité d’un endroit en particulier, ingénieusement camouflé dans un recoin de pierre effritée. L’entrée de cette insolite crevasse était bouchée par une souple membrane colorée de façon à se fondre dans le décor insalubre ou elle résidait. Moth avança son visage vers la curieuse cavité, puis l’effleura de l’index. Ce fut avec stupéfaction qu’elle observa l’orifice s’ouvrir lentement tel un diaphragme, s’espacer quelques minutes, pour ensuite se rabattre mollement dans un bruit graisseux. La jeune femme se saisit d’un scarabée mort, titilla de nouveau l’entrée avant d’y jeter la charogne, dont la chute se déroula sans encombre, rassurant ainsi l’homonculus sur les dangers de l’inconnu. A présent sûre d’elle, la drider chatouilla de nouveau la membrane dont l'accès s’élargit, favorisant l’introduction du corps incommode de l’araignée au cœur de la galerie visqueuse. Moth s’aida de ses membres pour accélérer la descente et protestait des injures sur la matière poisseuse du conduit, qui adhérait à ses cheveux, sujet auxquels elle apportait le plus grand soin chaque petit matin. Malgré ce qu’elle avait pu penser, elle atterrit rapidement sur ce qui semblait être le sol, et fut immédiatement surprise par la température fervente et agréable, tournant aux environs d’un climat tropical. Cependant, sa stupéfaction ne tarda pas à se muer par de la méfiance lorsqu’une voix retentissante brisa soudainement ses réflexions.

- « Qui va là ? »


Un écho résonna durant quelques minutes, juste avant que l’atmosphère ne se charge de crépitements d’os, de bruits sirupeux et d’un ricanement de mauvaise augure. Bien que de nature effrontée, l’homonculus devinait que son adversaire serait d’une imposante prestance, et reconnaissait vouloir rejoindre la sortie afin d’éviter de se frotter à plus gros qu’elle. Les petits bêtes ne mangent pas les grosses, c’était un proverbe qui ne s’appliquait pas dans ce monde alchimique. Alors que son corps reculait grâce à une lente souplesse dont elle n’avait jamais remise en cause, sa tentative fut néanmoins interrompue par une nouvelle intonation tonitruante.


- « Je sais que vous êtes la... Montrez-vous. Je ne vous mangerais pas, enfin... Cela dépend de bien des critères, évidement. »

Raison de plus pour ne pas s’attarder, la jeune femme accéléra le mouvement, la tâche rendue encore plus difficile lorsqu’elle constata son malaise sur une surface molle et instable comme la gelée, contrainte de marcher avec douceur et patience. Seulement, malgré une dextérité hors-pair, sa présence fut immédiatement repérée lorsqu’elle remarqua la nuée subite de milliers d’insectes semblant tous se diriger dans la même direction. Elle pivota avec maladresse dans sa précipitation, conservant toutefois un minimum de dignité et de droiture en courbant ses mandibules de manière belliqueuse, cherchant à intimider son ennemi qui menacerait de s’en prendre à sa petite personne. Et ce fut encore avec consternation que son interlocuteur, de nature humaine, s’avança avec élégance, puis, la dévisagea attentivement sans émettre la moindre objection. Cet homme étrangement vêtu de tissus rouge et gris, à la coiffe ébène clair surmonté de cornes vermillon, mesurait de moitié la taille de Moth, ce qui eut pour influence de gonfler son orgueil. Tss, un simple humain. Paumé dans un trou de rat à la texture pâteuse et organique. Pour qui cette vermine se prenait-il à la lorgner telle une marchandise ? Il lui en faudrait moins de deux pour l’éventrer et sortir ses boyaux fumants en pâture à ces curieux invertébrés, se rassemblant en meute autour de l’individu. Plus insolite d’ailleurs, ces insectes stagnaient sans broncher et n’essuyaient pas un seul essai pour le dévorer. Tout comme ses enfants, chaque bestiole variait au niveau de la dimension, certaines aussi petite qu’une puce et d’autres aussi épaisses qu’un chien. Moth faisait la fiérote, pourtant, au milieu de cette situation, elle restait dans la plus mauvaise posture. Mieux valait afficher un peu d’amabilité sans se soumettre. Le jeune ermite s’effleura la joue jusqu’au menton avant de commenter de façon indiscrète et indécente.

- « Je vois... Ravissante n'est-ce pas ? »

Bah tiens, en voila autre chose. Moth déglutit de gêne, abaissant légèrement sa garde sous un pareille compliment dans de pareilles circonstances. Quoique, elle fronça aussitôt les sourcils, dédaignant du regard ce perturbateur et croisant les bras avec mépris. Qu’avait-il en tête ? Soit il cherchait à l’amadouer, soit seul depuis longtemps, recherchait de la compagnie. Quelle faiblesse et naïveté serait de se confier au premier venu, la jeune femme bouillonnait de le lacérer, de festoyer un peu pour ensuite repartir rassasiée vers ses précieux conduits malpropres.

- « Je vous souhaite la bienvenue, dans ma demeure princière, et je vous présente mes serviteur... Ces extensions de moi-même. »

Oh, en effet. Trompée sur toute la ligne, Moth perçut qu’il s’agissait de l’un de ses confrères. Quel humain génétiquement équilibré, de sexe masculin de plus, serait capable d’enfanter des centaines d’insectes ? D’ailleurs, ceux-ci à leur désignation, s’unir davantage à proximité de leur géniteur pour appuyer sur ses paroles, et décontenancer le rôle d’intrus qu’elle endossait du même coup. Prince se désignait-il, et bien, ça promet. Modeste tel qu’il est, il serait facile à flatter. Néanmoins, Moth n’usait pas de ces lâches pratiques qui traduisaient une certaine docilité. Hors, elle était indomptable. Enfin, c’est ce dont elle croyait dur comme fer. Inclinant furtivement la tête, la demoiselle se présenta pudiquement, la voix aussi sèche qu’une feuille craquelée d’automne.

- « Bonjour, et merci. Mon nom est Moth... Vous vivez...ici ? »


Le ton de sa phrase chantait comme un recul de dégoût. Très peu pour elles, les parois gluantes, veineuses comme si elle macérait dans un intérieur d’estomac. Alors qu’elle contemplait l’étendue de son « royaume », elle ne put s’empêcher de lâcher une remarque inhabituellement polie.

- « Le décor n’est pas de mon goût, mais la température y est délectable. »
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MessageSujet: Re: L’insecte et l'arachnide (PV Moth)   L’insecte et l'arachnide (PV Moth) Icon_minitimeMer 6 Juil - 12:54

Harvek posa son regard sur la grande femme araignée qui lui faisait face, voilà qui était rare pour lui de voir quelqu'un de semblable lui, à la différence que cela devait être impossible pour elle de se camoufler en simple humaine, ce que Harvek considérait comme très pratique, il avait ce don de se fondre entre les humains, sans trop attirer l'attention... Pour un homonculus, car à vrais dire avec sa tenue habituel de Prince il était difficile pour lui de ne pas être lorgné par certain regard d'humain se demandant qui pouvait être cet homme si bien habillé, après tout il n'y en avait-pas des masses à part les militaire avec leur uniforme, ils pensaient souvent à un politicien, mais vu son jeune âge les-gent se rabattaient souvent sur l'idée d'un fils de bourgeois. Ils étaient loin de s'imaginer qu'il s'agissait d'un monstre meurtrier préparant un plan maléfique. Menant ses insectes, un lien étrange c'était-bâtit enter eux et leur maître incontesté. Il semblait que le jeune prince puisse entrevoir ce que ses imagos ont vécu afin d'en tirer certaine information, information parfois très utiles et parfois totalement futile. Laissant ses sens parcourir les galeries, il entendit le pas lourd et lent reconnaissable de ses gardiens de ruche, il s'agissait de ses plus gros insecte et des plus dangereux, ses monstre faisait la taille d'un gros chien, en plus imposant et presque aussi solide qu'Harvek, mais dont la lenteur et l'agilité était leur défaut les plus importants, marchant dans l'eau des égout, ils pouvaient s'estimer heureux que l'eau ne leur arrive pas au corps, sous peine d'être noyé et tué, ce qui aurait été fâcheux pour Harvek qui avait-dut prendre une semaine entière à les créer tous d'nu seul coup, usant une grande quantité d'énergie.

Les bêtes se déplacèrent dans les égouts avec lourdeur, l'un d'entre eux semblait trainer quelque chose de lourd, comme un corps, le tenant fermement entre ses mandibules, cette chose semblait flasque, il s'agissait d'un être humain. Presque inconscient, celui-ci ne réalisait pas qu'il était prisonnier d'immonde insecte gros comme des chiens de combat. L'un des deux imagos colossales émit des cliquetis de mandibules comme s'il faisait appel à son maître ou à ses congénères pour qu'ils indiquent l'entrée d'une nouvelle galerie fraichement creusé. Une étrange porte s'ouvrit devant eux, laissant passage dans un tunnel, les bêtes y pénétrèrent et purent marcher sur un sol plus agréable, il y avait guère d'eau dans ce corridor qui ressemblait à s'y méprendre à un gigantesque oesophage ou bien toute autres viscères peu ragoutante. Puis enfin ils arrivèrent dans la grande-alvéole princière que s'était battit Harvek, trainant toujours l'humain qui reprenait enfin ses esprits et ouvrait les yeux, bien que tout fut encore flou, mais l'odeur pestilentiel le ramena très vite à la réalité, en regardant autour de lui, celui-ci était effrayé, cinq imposante créature autour de lui, un décor inconnu. Les énormes mastodontes se mirent dans des crevasses où ils se mirent en boules. Harvek posa son regard sur l'humain qui se montrait effrayé, il avait plus peur de Moth que d'Harvek, d'ailleurs à vue de ses paroles.

Humain : Mon dieu, monsieur aidez moi. Cette horrible chose va…

Ne lui laissant pas le temps de finir, Harvek coupa la phrase de la créature inférieure en plein élan.

«Horrible dites-vous ? Je ne vois rien d’horrible dans cette pièce, à part un être immonde petit humain sans défense. Ne vous trompez pas, je ne suis pas bien différent d’elle. »

Il regarda ses insectes qui le regardaient fixement de leurs yeux globuleux à facette. Puis proclama d’un sourire narquois.

« Extirpez le nécessaire »

A ces mots, les petites créatures s'activèrent, plusieurs immobilisèrent l'humain pour l'empêcher de fuir, se jetant sur lui afin qu'il n'ait-le temps de réagir. N'ayant pas assez de force, la créature inférieure se retrouva cerné et maintenant par ces immondes insectes. L'un des insectes approcha de l'homme, une sorte de pique jaillit d'entre les mandibules qui fut enfoncé dans le ventre de celui-ci pour en aspirer la matière qui nourrissait l'homonculus qui se trouvait dans le sang, cependant, la biomasse, matière équivalente au sang que le prince consommait avidement, cette matière verte se déversa dans l'abdomen de l'insecte qui finit par former une sphère verte fluorescente, une fois atteins la taille d'une mandarine l'insecte abandonna l'humain vidé de toute vie qui-fût rapidement dévoré par les imagos affamé. L'espèce de récolteur s'approcha d'Harvek, une fois arrivé à-lui, il se tourna lui présentant la sphère qu'il libéra en ouvrant son abdomen en quatre. Le regard tourné vers la sphère, Harvek regarda l'insecte s'éloignant, il se pencha doucement pour tendre sa main vers la boule verte qu'il approcha de son visage, sa bouche s'ouvrit pour y faire entrer l'objet qu'il avala finalement tout rond malgré sa taille, grâce à cela, le prince fut parcouru de l'énergie qui lui manquait, il put matérialiser sa tenue habituelle, en quelques secondes tous ses vêtements étaient de nouveaux présents.

« Je me vois heureux de voir que la température ambiante vous plaise, j’y ai beaucoup travaillé afin que mes… Adorable insecte s’y sentent à l’aise. Moi-même j’ai besoin de cette sensation de bien être à vrais. »

Puis finalement le grand insecte encore sous forme humaine se mit à tourner autour de Moth, son corps d'araignée était imposant certes, contrairement à un humain, Harvek ne trouvait pas cette apparence repoussante, du fait que lui-même ressemblait à quelque chose du même type. Elle avait son charme, mais il n'y avait rien de-déplacé bien-évidement, il ne faisait que prendre connaissance de la nouvelle homonculus qui entrait dans sa demeure, elle semblait totalement différente de Lust, mais son regard était toujours celui d'un homonculus dominateur.
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