Un retour fracassant à Central [Aaron Ziquial, Shoyo Ogawa & Daisuke Kuroda]



 
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 Un retour fracassant à Central [Aaron Ziquial, Shoyo Ogawa & Daisuke Kuroda]

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MessageSujet: Un retour fracassant à Central [Aaron Ziquial, Shoyo Ogawa & Daisuke Kuroda]   Un retour fracassant à Central [Aaron Ziquial, Shoyo Ogawa & Daisuke Kuroda] Icon_minitimeMer 12 Mai - 11:30

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Aaron était dans le train depuis trois heure, il était assis sur un siège face à la fenêtre, une petite table se trouvait devant lui avec un journal datant de quelques jours. Il regardait paisiblement le paysage défiler devant ses yeux, il était partit encore une fois désertant tous se qu’il avait pour terminer se qu’il avait commencé auparavant, la destruction de l’armée d’Amestris. Depuis son départ de l’armée, il en avait appris encore d’avantage, il avait eu vent de quelques rumeurs tel que des homonculus, et de nouvelle guerre pour la création encore de nouvelles fois pour la pierre philosophale. Il toucha son torse et sentit la petite pierre rouge attachait à un collier d’acier autours de son cou, cette pierre était l’une des pierres mises à disposition lors de la guerre d’Ishbal qu’il avait gardé précieusement sur lui depuis. Il attrapa le journal et l’ouvrit à la dixième page, là où il s’était arrêté mais le train bascula vers l’avant et le paysage devant sombre, on entrait dans la gare de central, les pierres en briques se dessinait de plus en plus, la vapeur se cola sur les vitres sortant de la cheminée de tous les trains présent. Le train termina sa course et une voix demanda de sortir par les portes droites du wagon. Aaron se leva mis son manteau, attrapa sa valise sur le portant au dessus de lui et posa le journal sous son bras pour se diriger vers la sortie la plus proche. A la sortie, il y avait deux militaires qui contrôlaient les papiers d’identités pour pouvoir rentrer à l’intérieur de la ville. La file d’attente se fit un peu plus longue que prévus, se fut enfin le tour de l’alchimiste, il attrapa rapidement l’une des cinq carte d’identité qu’il possédait dans sa poche et la montra a l’homme à sa gauche et le laissa passer sans problème. Il y avait bien longtemps qu’il était venu ici, la dernière fois qu’il avait vus ces pavés, c’était lors de son départ pour l’armée. Il s’avança à travers la population et eu un frisson qui passa dans son corps, il se rappela de ses gants, les avaient-ils changeait avant de rentrer dans le train. Il leva sa main gauche l’autre étant prise et fut soulagé, il les avait bien changé avant de monter dans le train. Il réajusta sa valise et le journal et se dirigea vers le centre-ville, les civils grouillaient de partout, rentrant et sortant des magasins avec des sacs énormes comme leur propre corpulence. Aaron passa dans quelques petites rues qu’il connaissait bien et bifurqua dans une autre allée et rentra dans une grande demeure blanche avec une porte en bois et fer forgé. La pièce était sombre et au fond de celle-ci, il y avait un comptoir où était installé de petits pieds habillés de pantoufle noir. Aaron se dirigea vers le comptoir, il posa sa valise et toussa pour prévenir de son arrivée. Le journal se baissa et laissa apparaitre un vieil homme dégarnies avec de petite lunette et une pipe allumée dans la bouche. Il releva ses jambes, le descendit sur le sol et se releva. Il essuya son tablier plein de farine et sortit un vieux livre poussiéreux qui n’avait pas d’eut servir depuis longtemps. Il se gratta la tête, chercha à tâtons sous le comptoir, fit tomber une boite et ramassa un stylo. Il regarda Aaron de ses petits yeux.

° Votre nom, votre prénom, combien de temps vous allez rester et votre moyens de payement liquidable seulement maintenant pour une nuit de 50 °


~ Ike Zertone (Aaron ici change son prénom et son nom pour ne pas être reconnu si les registres sont regardés par l'armée), je pense rester une bonne semaine et je paye maintenant en liquide, si cela ne vous dérange pas. ~

Aaron passa sa main dans son manteau, en sortit une liasse de billet et glissa sept billets d’une valeur respective de 50. Les yeux du petit homme scintillèrent et se jeta sur les billets qu’il s’empressa de les mettre dans la caisse, il passa derrière le comptoir, leva la valise et fit monter Aaron derrière lui vers les escaliers. Ils traversèrent un petit couloir remplis de babioles et de tableaux plus laids les uns que les autres, l’homme s’arrêta devant une porte, sortit une clé de sa poche, la rentra dans la serrure et ouvrit la porte. Il présenta rapidement la chambre et s’en alla aussi vite qu’il était rentré laissant Aaron seule dans sa chambre. Il posa sa valise sur le rebord droit du lit et se posa quelques instants. Il passa sa main sur la baie vitrée derrière lui et l’ouvrit en grand, le bruit de la rue étouffa les pas de l’homme dans les escaliers. Il avait une vue directe sur les remparts de Central, il se leva et marcha vers le balcon, à peine avait-il posé son pied, qu’une explosion retentissais, il fut projeté en arrière et se cogna le dos contre le mur, le mur du balcon avait littéralement explosé devant ses yeux, il s’essuya la bouche pleine de sang et se releva, et marcha d’un pas abrupt vers le rebord, il y avait là un bas une dizaine de militaire armée et en visée sur lui. Entre eux, il y avait une personne qu’il avait déjà vus mais où ? Cette personne était…….

# Aaron vous êtes en état d’arrestation pour le meurtre de dizaine de militaires et désertion pendant et après la guerre d’Ishbal. #

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MessageSujet: Re: Un retour fracassant à Central [Aaron Ziquial, Shoyo Ogawa & Daisuke Kuroda]   Un retour fracassant à Central [Aaron Ziquial, Shoyo Ogawa & Daisuke Kuroda] Icon_minitimeMer 12 Mai - 15:52

Sho faisait depuis plusieurs jours des petites missions de routine, des patrouilles, des contrôles, des petites arrestations de voleurs d'étalages etc.
Et aujourd'hui, s'était la même chose, au programme: patrouille au marché le matin, contrôle d'identité à la gare et, de la papraserie.
Déjà midi, suite à sa pause déjéuné, Sho commença ses contrôles à la gare.
Déjà deux heures et la répétition de "Bonjours, carte d'identité s'il vous plait" commençait vraiment à l'agacer. Il ne regardait même plus le visage des gens qu'il contrôlait.
La gare était pleine à craquer, des gens courraient pour ne pas rater leurs trains, des enfants criaient et pleuraient. Des grincements de trains résonnaient partout sur les quais et des hommes fumaient tranquillement leurs cigarettes tout en lisant leur journal.
Le jeune alchimiste reçevit un appel qui provenait des batiments de l'armé.
Sho n'eu même pas le temps de dire "Allo" ou "Bonjours" qu'on le coupa et qu'on lui cria dessus:

- Mais que faites vous! Vous avez laissez passez Mr.Ziquial! Aaron Ziquial, déserteur de la guerre d'Ishbal et meurtrier de plusieurs de vos confrères! Vous etes completement irresponsable! Ce type est très dangereux, vous savez que j'ai le pouvoir de vous faire renvoyez pour ça! cria l'homme au téléphone sans même se présenté.

- Euh, je connais Aaron Ziquial, j'en ai déjà entendu parler, et croyez moi, si j'avais vu Mr. Ziquial, je l'aurais arreté! Je n'ai vu aucune carte de ce nom, alors pas la peine de s'enerver! Dites moi où il est et j'irais le rattraper. repondit Sho.

- D'après nos informations, il serait dans un petit hôtel. Le patron de cette hôtel nous aurait donné une description physique qui cole au malfrat! Alors bougez vous le c*l et rattraper moi ce type! Je vous envoye des renforts.


Puis l'homme racrocha juste après avoir donné une adresse. Sho retourna à son poste pour informer le militaire qui l'accompagné, il lui anonça qu'il ne pourrait pas assurer la suite du contrôle et qu'il devait continuer seul. Le militaire acquiesa et lui souhaita bonne chance.
Après avoir fait un petit "topo" de la situation aux renforts qui n'étaient pas au courrant de la situation, ils partirent tous vers la direction du motel.
Une fois arrivé, Sho, qui vu son grade d'alchimiste d'Etat commendait l'équipe alla parlait au patron. Le patron lui indiqua l'étage et le numéro de l'appartement où se situait le fugitif.
Shoyo ressortit et alla préparait un plan avec ses hommes. Ils n'eurent pas le temps de finir un plan que l'homme ouvrit sa porte fenêtre. Sho surprit, décida de claquait dans ses mains, de les plaquait contre le mur et de s'arrêter à la deuxième étape d'une transmutation. La déstruction. Des éclaires partirent des mains de l'alchimiste et montèrent sur le mur jusque niveau du balcon qui lui, éxplosa. Aaron fut propulsé en arrière. Quelques secondes plus tard, Aaron réaparut, du sang au niveau de lèvres et, il nous regarda.
Sho décida de la faire très officiel et sortit:


- Aaron vous êtes en état d’arrestation pour le meurtre de dizaine de militaires et désertion pendant et après la guerre d’Ishbal..

Il attendit quelques secondes et reprit:

- Veulliez ne pas bouger, des hommes vont venir vous passez les menottes. Si vous montrez une forme de résistance quelqu'elle soit, nous serions dans l'obligation d'utiliser la force.
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MessageSujet: Re: Un retour fracassant à Central [Aaron Ziquial, Shoyo Ogawa & Daisuke Kuroda]   Un retour fracassant à Central [Aaron Ziquial, Shoyo Ogawa & Daisuke Kuroda] Icon_minitimeMer 12 Mai - 17:26

Ce devait être une drôle de tronche que tirait en ce moment le jeune Kuroda, celui-ci regardant à gauche et à droite sans trouver aucun appuis ou poser son regard entouré de ces militaires dont les visages ne lui disait strictement rien. Être envoyer en renfort le plus rapidement possible pour l’arrestation d’un alchimiste hyper dangereux tendit que son colonel était partie… Il ne savait trop ou… Courant peut-être un grand danger, qui sait. Pourquoi ce monde était-il si cruel avec lui? Et dire qu’il aurait pu être à ses côtés, et bien non il devait se retrouver avec n’importe qui, les premiers venus autrement dit! Cette journée s’annonçait longue et pénible pour ce cher Daisuke. Elle avait mal débuté avec une horrible séance de la douche et un gentil monologue avec lui-même sur les bien fait fondé de se laver à tout les jours ou qu’on contraire il était sur de ne pas tant puer que cela. Malheureusement la première partie l’aillant remporté, il avait très mal débuté sa matinée, de plus qu'il avait failli être en retard au boulot avec tout le temps que se préparer lui demandait chaque matin, tant au niveau des cheveux à entretenir que le maquillage, les vêtements à bien placer, tout cela pour que l'illusion soit parfaite. Si cette aventure se déroulait mal, il pourrait classer cette journée comme étant une des pire depuis un bon moment, ces temps-ci ses journées étant plutôt tranquille au bureau. Dire que son supérieur était à peine un grade plus haut que lui, alchimiste d’état lui proférant le grade de commandant. Ce n’était pas du jeu! Sa supérieur, elle, elle avait pu se rendre colonel même étant alchimiste d’état. Mais on sait bien, ce n’est pas tout le monde qui se donne la peine de travailler! Bon, autant en apprendre davantage sur le gars bizarre aux cheveux blancs, et rendre un petit résumer vite fait à sa jolie supérieure quand il la reverrait. Enfin, jolie selon ce qu’il en pensait, cet opinion ne restant pas partager. Depuis le temps Daisuke ne débattait même plus sur le sujet avec certains mâles venant l’aborder durant ses poses, sachant déjà quel en serait le résultat final. Il ne pouvait pas gagner contre ces obstinés surtout sur un sujet aussi grotesque que les femmes. Non, ce sujet, pour une raison inconnu de tous, ne lui inspirait pas grand-chose aussi il aimait mieux ne pas donner son opinion.

Maintenant entouré d’une dizaine de militaire qu’il ne connaissait pas vraiment avec un autre alchimiste d’état, c’était d’un ennui mortel ici et ce fut là son opinion depuis son arrivé à la gare. On lui fit un bref topo de la situation en arrivant et ils se dirigèrent rapidement vers l’hôtel que cet homme dont il était question avait emprunté. Aaron, non? Daisuke avait une mémoire d’enfer pour toutes les petites choses et les plus importantes ils les notaient, mais il n’avait rien écrit encore sur ce sujet. C’était une bonne occasion. Mais le jeune garçon, si on pouvait le nommer ainsi, savait déjà comment tout cela allait se terminer. En combat d’alchimiste si il ne se rendait pas, et comme il n’y a que deux alchimiste les autres devraient battre en retraite s’ils n’étaient pas assez forts. Et il n’était pas alchimiste et n’y prendrait pas part pour rien, non mais! C’est pas comme si ce mec aux cheveux blanc était réellement important, du moins pour l’instant c’est l’impression qu’il lui donnait.

En arrivant sur les lieux, le commandant et alchimiste d’état utilisa son alchimie contre le mur de l’hôtel et fit littéralement exploser le balcon, voila qui promettait enfin! Ce n’était que de l’alchimie apparemment, sans spécialité tel le feu ou la foudre. Dans un sens totalement dénudé d’intérêt. Celui-ci sortit finalement, les regardant. Cependant Daisuke arborait un regard détaché face à tout ceci, se contentant d’avoir sortit son arme, tenant l’ennemi en joue, tendis que les autres alentour de lui semblait un peu craintif de devoir faire face à un tel homme. Quand on se tien avec l’alchimiste de foudre, plus rien ne nous fait peur, comme on dit.

« Aaron vous êtes en état d’arrestation pour le meurtre de dizaine de militaires et désertion pendant et après la guerre d’Ishbal, Veuillez ne pas bouger, des hommes vont venir vous passez les menottes. Si vous montrez une forme de résistance quelqu'elle soit, nous serions dans l'obligation d'utiliser la force. »

Un peu trop formel en apparence quand on viens littéralement de faire exploser un balcon et de faire saigner le gars en question, mais c’était une méthode qui lui était assez familière; On agis, on parleras ensuite et plus il y a de blessés le mieux s’est. Les mots lui sonnèrent cependant étrange. Des hommes qui vont aller le chercher en haut? Ah non, pas lui! Franchement, pourquoi le ferait-il? Pour les beaux yeux de celui-ci ou pour son grade? Hiii, non merci! Déjà que sa matinée avait mal débutée, inutile de gâcher le reste de sa journée. C’était risquer pour rien, aussi roula-t-il des yeux. Malheureusement s’était soit cela ou lui sommer de descendre par ses propres moyens, ce qui serait bien pire. Pourquoi ne pas laisser les autres y aller? Et bien inutile de le faire, certains partirent d’eux-mêmes. Bien sur puisqu’il était lieutenant, il pouvait aussi donner des ordres aux moins gradés que lui, mais l’abus de pouvoir c’était pas son truc, quoi qu’auparavant il aurait bien voulu devenir généralissime. Restait à savoir si l’homme allait bien réagir. Sûrement pas. Une prise d’otage s’en venait sûrement. Pourquoi diable imaginait-il toujours le pire des scénario? Bon, valait mieux le tenir en ligne de tir et se préparer à tirer. Et bien sûr attendre les ordres, la partie la moins intéressante de cette histoire, n'aillant aucune envie d'obéir à quiconque qui ne s'appellerait pas Aisya. Étant dans l'armée, avait-il cependant le choix? Non, et cela il le savait bien.
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