Il écouta la blague de la jeune femme, il la trouva drôle. Il se voyait bien réparateur de trou dans les rues. Même si lui et Edward avaient souvent fait des dommages colatéraux quand ils se sont battuent contre Scar ou quand ils ont rencontré les homonculus.
Mustang avait souvent été quelque peu désespèrer des techniques de combat qui détruisait la moitié de la ville en quelques minutes. Un vent froid soufflait mais sa n'affectait aucunement Alphonse alors il ne c'était pas aperçu que la température baissait rapidement.
La jeune fille avait sûrement très froid, pendant quelques instants il pue voir un malaise. Mais bon c'est vrai que lui aussi ne serait pas très à l'aise avec une armure Géante qui parle.
Et surtout si c'est un jeune garçon plus jeune que lui et qui est sûrement immature. Encore une fois il soupira intérieurement. Alors il vue finalement que la jeune femme avait terriblement froid.
Et qu'elle avait décider de se ranger dans la ruelle ou le chat c'était enfuit plutôt. Il fut content de voir que la jeune femme voulait toujours parler avec lui et qu'elle n'avait pas prit peur et qu'elle n'était pas tout simplement partie avec un malaise qui n'aurait guère aider la situation de solitude d'Alphonse. Il se rangea à ses côtés dans la ruelle c'est alors que la jeune femme affirma qu'il faisait bien un froid glacial.Il soupira.

- Désoler,Je ne m'aperçois pas vraiment du changement de température. Vous devez être glacé, si vous voulez retourner chez vous. Je ne vous en empêche aucunement. Mais je peux vous demander ce que vous faites à cette heure seule a l'extérieur ? Ce n'est aucunement sécuritaire pour une jeune femme de ce promenner seule la nuit.

Dit il, il ne voulait pas non plus que la jeune femme attrape un rhume ou encore pire des engelures. Et il ne voulait pas non plus qu'elle se sente effrayer et qu'elle pense que Alphonse la retient contre son gré.Et aussi il se demandait bien ce que une jeune femme faisait à cette heure a l'extérieur quand tout le monde dormait. Habituellement il ne voyait personne seulement des chats ou des animaux qui erraient comme lui dans le centre-ville.

Combien de fois ai-je entendus cette phrase: "Ce n'est aucunement sécuritaire pour une jeune femme de ce promener seule la nuit."? Trop de fois. Je n'aimais pas cette remarque qui, étrangement, s'adressait la plus part du temps aux jeunes filles comme moi. Ce que monsieur devant moi ne savait guère était que je pouvais descendre n'importe qui en un éclair... avec une jolie arme... Bon, malgré le fait que j'ai mis fin à mes activités de tueuse, je garde toujours une arme sur moi, question de sécurité. Avec mes périples dans les couvertures de la nuit j'ai appris que l'absence de soleil ne signifiait pas la sortie des plus grands criminels qui agressait les premiers venus pour voler leur argent ou pour le plaisir de se battre. Non, parfois la nuit était calme et paisible, permettant de réfléchir et de faire le point dans une ambiance unique. Souvent, il arrivait que des attaques survenaient, mais lorsqu'elle se portaient contre moi, les agresseurs se voyait offrir un aller simple vers l'hôpital. Je détestais ceux qui s'en prenaient aux autres pour s'amuser. En quelque sorte, je me détestais pour les crimes que j'avais commis. Non, je me haïssais. Je devais vivre avec ça sur la conscience et acceptais les conséquences de mes actes.

-J'ai l'habitude de me promener seule le soir. J'aime bien l'ambiance.

Je regardais autour de moi. Plus loin, provenant du bout de la ruelle, un homme marchait, ou plutôt titubait, sans trop savoir où il allait. À voir comment il se comportait, il devait être saoul. Il tomba à quelques reprises, renversant des poubelles, se relevant par la suite. Le chat de tout à l'heure sortit de l'une d'entre elles et l'homme ne se gêna pas pour lui donner un coup de pied, ne voulant visiblement pas l'avoir dans les pattes. Le chat vola un peu plus loin, mais tomba sans problèmes sur ses pattes avant de s'enfuir dans la direction opposée.

-Non mais ! fis-je sans avoir voulu m'exprimer à haute voix.

L'inconnu me fixa un instant dans les yeux avant d'avancer vers nous, toujours en zigzaguant de gauche à droite. Plus il avançait, plus on pouvait sentir l'alcool.

Alphonse qu'il ne pouvait savoir qu'il avait vexé la jeune fille fut ravit de savoir qu'il n'était pas seul à aimer l'ambiance de la nuit. Alphonse qui c'était habitué à cette ambiance depuis que son âme était attaché à cette armure. Il savait qu'il ne devait pas dire a personne qu'il était une âme attaché à une armure. Il soupira intérieurement et il se dit en lui même que tout le monde avaient ses petits secrets. Même son frère en avait, le monde était fait de secret et de mensonge. Il se demandait si un jour quelqu'un d"autre qui ne fait pas partie de son périple pour trouver la Pierre avec son frère pour retrouver son corps comprendrait sa souffrance de ne pas pouvoir dormir ou manger... Il se sentait emprisonner dans cette armure comme un chat emprisonner dans une poubelle. Quand il vue finalement l'homme qui titubait dans la ruelle il l'avait vue a cause du bruit qu'il avait causé aussi non Alphonse n'aurait jamais fait attention à lui. Quand il vue le pauvre chat sortir d'une poubelle puit part après l'étranger fit un geste. Le seul geste au Monde qui pouvait faire monter le taux de frustration en Alphonse. Quand il vue que la jeune femme elle aussi c'était indigner de voir le geste de l'homme. Quand il vue que l'homme saoul avait décidé de ce diriger vers Alphonse et la jeune femme. Alphonse décida de lui donner une leçon de vie, même si il était saoul sa justifiait aucunement ses gestes. Alphonse alla à sa rencontre, quand Alphonse arriva devant l'homme. L'homme le va la tête pour bien voir à qui il avait affaire. Il pue voir que ce n'était vraiment pas un gringalet qu'il y avait dans l'armure mais l'homme saoul n'avait aucune penser logique. Alors l'homme dit à Alphonse entre deux hoquets.- Qu'est que vous me voulez monsieur l'armure ?

Dit il en donnant un coup sur l'armure d'Alphonse essayant de le pousser mais Alphonse ne bougea pas de quelques centimètres. Alphonse prit l'homme part le collet et dit alors avec une voix sérieuse et qui pouvait laisser quelque fois voir que Alphonse n'était pas vraiment content de la réaction comme l'homme a eu avec le chat.

- Voudriez vous subir la même chose que vous avez fait subir à ce Chat ?

Alphonse qui savait ce que c'était de ce faire maltraité part un plus vieux. Alphonse et Edward n'était pas les meilleurs amis quand il était jeune. En faites Edward n'arrêtait pas de frapper Alphonse quand il était jeune. Mais avec les années se comportement changea pour devennir un vrai sens de la camaraderie. L'homme qui tremblait de peur gloussa et répondit.

- Euh.... je suis désoler ?

Alphonse trouvait que l'homme devait beaucoup plus à ce chat que de simple excuse. Alphonse qui n'était pas satifait eu une brillante idée. Il proposa quelque chose à l'homme.

- J'ai une idée soit vous ammennez le chat chez vous et il devient votre animal de compagnie ou je vous botte les fesses comme vous l'avez fait à ce chat ?

L'homme stupéfait alors venait de voir le signe que Alphonse avait sur son armure. Qui ne savait pas qu'elle était la signification de ce signe. Alors l'homme gloussa encore une fois et il répondit.

- D'accord j'ai compris je vais rammenner ce chat chez moi.

Alphonse lâcha l'homme qui était tout a coup moins saoul, en faites l'homme faisait de gros effort pour ne pas parraître saoul devant un chien à la botte de l'armée. Il s'avait très bien que Alphonse pourrait l'arrêter si il le voulait mais Alphonse n'était pas du genre d'utilisé ses pouvoir au sein de l'armée comme son frère. Alors Alphonse se pencha et alors le chat qui avait suivit la scène depuis le haut d'un toit d'une petite maison de Central. Sauta et tomba sur ses pattes et il approcha tranquilement sans trop s'approcher de l'homme de peur d'être encore attaquer part l'homme. Alphonse le prit dans ses bras et se retourna vers l'homme. Et il lui dit.

- Je vais envoyer quelqu'un chaque jour pour voir si le chat va bien. Si il ne va bien vous serez emprisonné.

Même si l'homme n'était pas sûr si Alphonse avait ce pouvoir, il accepta sans rien dire. Il prit le chat et rapidement se dirigea vers son chez lui se promettant de ne plus sortir de la nuit. Finalement Alphonse se retourna vers la jeune femme. Alphonse avait un peu mentit sur ce qu'il venait de dire à l'homme il n'avait aucun pouvoir au sein de l'armée en faites il n'avait que planter les graines de l'amitié entre l'homme et le chat. Et il c'était assurer que l'homme fasse attention au chat en le menaçant d'envoyer des hommes voir si le chat allait bien. Mais encore une fois Alphonse avait mentit il n'avait personne sous les ordres d'Alphonse sauf peut-être son frère quelque fois. FInalement il arriva devant la jeune femme et dit.

- Je n'ai jamais aimé les personnes qui maltraitait les plus petits.

Finit il espèrant que la jeune femme n'aille pas peur de lui en voyant ce qu'il avait fait à l'homme.

Alors que l'homme s'approcha de nous, je me préparais à une éventuelle provocation. Je ne détesterais pas lui donner une petite leçon. Par contre, ce n'est pas moi qui se chargea de cette tâche. Ce cher monsieur Armure s'approcha de l'homme qui tenta en vain de le pousser. Je restais adossé contre le mur et regardais la scène se déroulant devant mes yeux avec un certain intérêt. Si quelque chose dégénère avec ce saoulons, ce qui m'étonnerais vue comment ça se déroulait, je lui en colle une.

Comme de fait, l'homme s'enfuit, amenant le chat avec lui. Je m'aurais attendu à quelque chose d'autre, mais ce déroulement inattendu m'intéressais fortement. C'était une idée, mais très loin de ce que j'aurais penser. Pour confirmer certaines de mes pensées, l'inconnu me dit qu'il n'aimait pas ceux qui maltraitait les plus petits. Je compris, dès lors, qu'on avait une vision différente des choses et ça me plaisais bien. Je levais la tête vers le ciel nuageux et réfléchis pensivement avant de poser mes yeux sur l'armure de métal devant moi.

-Dans la société, il y en a toujours un pour écraser les autres. C'est malheureux, mais c'est ainsi.

En disant cela, je repensais au passé. Je regardais autour de moi pendant que le vent continuait de souffler. Je cherchait un endroit où nous pourrions nous réchauffer. Il n'y en avait pas dans le coin, mais je savais qu'il y avait de petits restaurant ouverts durant la nuit. Je commençais à marcher vers la sortie de la ruelle et me retournais, continuant de marcher de reculons.

-Et si on trouvait un endroit où se réchauffer? proposais-je.

Alphonse qui avait vue que la phrase qu'il venait de prononcer n'était pas stupide. Mais bon c'était sa philosophie des choses. Quand la jeune femme lui dit que Il y avait toujours quelqu'un qui écrasait les autres. Alphonse y pensa quelque seconde avant de voir que sur sa main gauche il y avait un peu de givre. Alors il se dit que il devait faire très froid. Alors quand la jeune femme proposa d'aller se réchauffer. Alphonse se dit que ce ne serait pas une mauvaise chose surtout pour la jeune femme. Alphonse qui se disait que même si un écrase les autres. Les autres comme elle disait pouvait se serrer les coudes et renverser celui qui les écrasait pour que celui qui les écrasait tombe de très haut mais bon. Alphonse n'allait pas contredire la philosophie de la jeune femme tout le monde avait une vision particulière du monde. Alors il décida de sortir de ses pensés nébuleuses et il répondit à la jeune femme qui avait l'air d'avoir vraiment froid. La jeune fille qui s'éloignait Alphonse s'exclama assez fort pour qu'elle puisse l'entendre.

- Oui sa serait une bonne idée. Mais je viens de me rendre compte que on ne c'était pas encore présenter.

Dit il avec sa voix enfantine qui résonnait dans l'armure et en suivant la jeune femme, qui sortait de la ruelle. Alphonse se sentait réconforter de savoir qu'il allait passer quelques temps de la nuit moins seul. Il espèrait pouvoir rencontrer un peu plus de gens comme la jeune femme. Alors qu'il était au côté de la jeune femme tout en la suivant Alphonse se présenta de lui même.

- Je me présente je suis Alphonse Elric.

Dit il modeste il n'aimait pas comme son frère se présenter comme un Alchimiste.

Alphonse qui fut surprit de voir que la jeune femme ne partait pas en courant comme toute les autres jeunes filles qui avaient rencontrer son frère faisaient. Plusieurs le surnomait même le diable rouge au cheveux blonds. Il était si agressif et énergétique quelques fois que Alphonse devait le retenir de ce battre avec des gens. Les deux seules personnes capable de retenir Edward c'était bien Alphonse et Winry.

Mais bon, quand la jeune femme lui dit qu'il était énergétique et qu'il possédait un fort caractère. Alphonse retourna dans son passé se rappela les moments ou lui et Edward se battait pour des détails. Il se rappelait que sa mère lui avait dit que quand il était petit Edward l'avait maltraité pendant un moment pensant que il prennait la place qu'il avait envers sa mère. Mais sa mère lui avait expliquer la situation. Depuis que leur mère était partit ils étaient encore plus souder ensemble.

Alors qu'il allait confimer l'affirmation de la jeune femme. Elle lui demanda une question, si lui il avait le même caractère que lui. Sa serait sûrement la fin du monde. En faites Alphonse pouvait trouver une bonne chose d'avoir cette armure, le fait qu'il peut retenir son frère plus facilement. Son frère qui avait un caractère bouillant, contrairement à lui qui était patient, passif, courtois. Un vrai chevalier blanc en faites. Alors Alphonse répondit.

- Non heureusement pour nous tous je suis plutôt celui qui veille que son grand frère ne devienne pas un vrai démon.

Dit il en riant intérieurement, son frère était un vrai petit monstre. Il se demandait si il devait pas l'inscrire a un cour de courtoisie.

Alphonse et Edward devaient former un duo de choc. Le Ying et le Yang. La Lune et le Soleil. Les deux côtés d'une même médaille. Ils semblaient à la fois si semblables et si différents. Pour autant que je saches, ils avaient une très bonne relation et étaient très proches. J'ai toujours été pour l'amitié fraternel et encourager ça. J'ai aussi souvent jalouser certaines personnes qui avait la possibilité de cotoyer leur frère ou leur soeur chaque jour. Ma soeur, elle, avait disparue depuis plus de six ans. Sa disparition me fait moins mal que les premiers jours, mais la douleur est toujours présente.

-Vous êtes comme Ange et Démon, dis-je. Le petit Diablottin à toujours son gardien pour réparer ses bêtises.

Le vent redoubla de force et c'est à peine si mes pieds touchaient encore le sol. Je protegeais mon visage de la poussière avec mes bras. Je cessais d'avancer, n'étant capable de faire un pas de plus. Il fallait trouver un endroit où s'habriter au plus vite. Sinon, je crois que le vent va me porter avec lui dans les bras de la nuit. Personnellement, un voyage aérien ne m'attraiyais pas du tout.

Une fois que le vent se fut calmer, je me mis à marcher un peu plus rapidement, prêtant constament attention à Alphonse pour m'assurer qu'il me suivait sans problème. Toute les boutiques étaient plongées dans le noir et n'ouvrirais qu'au petit matin. Je connaissais un endroit pas très loin, un petit restaurant ouvert durant la nuit. C'est là que je souhaitais me rendre.

Après quelques minutes de marche, je sentis quelques gouttes d'eau atteindre ma peau. L'une sur mon poignet à découvert, l'autre sur ma joue et une dernière qui se posa sur ma main lorsque j'essuyais les autres. Il ne manquait plus que ça ! De la pluie. Je soupirais, découragée. Au moins, j'avais de la bonne compagnie. C'est ce qui faisait que la soirée était agréable. Je m'arrêteais, me rendant conpte que j'avais un peu trop devancé Alphonse alors que j'étais prisonnière de mes pensées. Je m'excusais d'avoir marcher si rapidement et ralentit le pas pour pouvoir continuer mon chemin à ses côtés.

Alphonse qui avait quelques flash-back dans sa tête se rappellait les moments ou lui et son frère s'amusait dans l'herbes quelques fois avec Winry. Quelques fois devant la table à manger de Pinako, quand Edward refusait obstinément de boire son lait, ou quand ils ont utilisé pour la première fois l'alchimie ensemble comme deux vrais frères. Il se rappela le sourir de sa mère qui était si majestueux quand elle avait vue que Edward et Alphonse avait apprit d'eux même à utilisé l'alchimie. Alphonse ne c'était jamais imaginé petit que ce si beau rêve allait devenir un enfer... pour lui et son frère... Après la mort de sa mère les évennements s'enchainèrent. La perte des bras d'Edward, la perte du corps d'Alphonse. Le long périple qu'il avait du faire ensemble pour que Edward s'habitue a utiliser son bras et sa jambe qui avait été remplacé part Pinako. Alphonse revoyait toute ses images dans sa tête comme un film il avait même oublier Ayame. Il pouvait revoir dans les yeux d'Edward la volonté de corriger ses erreurs passé. Une volonté sans fin, comme si rien ne pouvait l'empêcher de trouver la réponse. Qui était en faites de trouver cette pierre.. qui était une lueur d'espèrance dans leur vie de frère. Alors il fut rammener à la réalité quand elle Ayame s'exclama.

-Vous êtes comme Ange et Démon, dis-je. Le petit Diablottin à toujours son gardien pour réparer ses bêtises.

Alors qu'il allait répondre Alphonse pue voir un soupçon de tristesse dans les yeux d'Ayame mais il ne dit rien. Si elle ne disait rien elle voulait sûrement ne pas en parler. Quand il vue que le vent s'intensifiait et que Ayame avançait toujours. Il venait de se rendre compte que la jeune femme avait quelque chose de commun avec Edward leur volonté de ne jamais s'arrêter. Même si la jeune femme n'avait rien dit Alphonse pouvait le voir dans ses actions. Il suiva Ayame, il pue voir que elle commençait à marcher de plus en plus rapidement. Quand finalement on aurait dit qu'elle sortait de ses pensés elle ralentit pour attendre Alphonse. Alors Alphonse pue voir que quelques goutes d'eau tombaient. Alors il dit.

- Est-ce que vous permettez que je vous prenne dans mes bras pour que on arrive plus rapidement au Café pour éviter que vous soyez tremper jusqu'à l'os ?

Dit il avec politesse, il voulait empêcher que la jeune femme soit tremper. Parce que il espèrait pouvoir en savoir plus sur elle. Pour une fois qu'il pourrait avoir une bonne amie peut-être ?

Quand Ayame lui répondit Alphonse n'était pas du tout surprit de sa réponse. Ayame ressemblait beaucoup plus à son frère qu'il le pensait. Elle aussi était indépendante et avait sûrement le même orgueil que son frère. Sa lui envoya une vague de nostalgie dans le coeur d'Alphonse. Même si son coeur n'était pas là physiquement il pouvait sentir cette nostalgie. Il suiva sans dire un mot Ayame, qui finalement arriva devant la porte d'un café qui avait un air très modeste. Alphonse aimait déjà cette place qui était paisible et modeste. Elle lui ressemblait en quelques sortes, il fut surprit de voir que Ayame venait dans ce genre de place. On pouvait dire que Ayame était une version à la fois commune et contraire de son frère. Comme si elle était une version de lui et de son frère mais en une seule personne.

Alphonse entra avec Ayame dans le café. La femme que Ayame avait l'air d'appeler Isa, apportait en lui des sentiments que seulement sa mère lui apportait autrefois. Il se demandait si son frère aurait sentit les mêmes choses, si il aurait été là. Mais bon il resta silencieux et suiva Ayame. Il faisait attention de ne rien frapper, il y avait quelques désavantages a cause de son armure. C'étais bien que sa rendait Alphone très maladroit, quelques fois il frappait quelques fois des objets et son frère devait toujours les réparer à l'aide de l'alchimie. Mais bon, quand Ayame lui fit signe de venir s'assir avec elle. Alphonse fit bien attention de ne rien heurter, et quand il prennait place sur le petit banc pour ne pas le briser. Alors il ne dit rien. Alphonse ne savait pas trop quoi dire, il se demandait ce que la femme qui se prénommait Isa devait penser de lui. Une grosse armure géante qui entre dans son café qui pourrait facilement tout briser. Finalement Alphonse s'exclama, toujours avec sa voix enfantine qui résonnait dans son armure.

- Vous avez un très beau café madame..

Dit il un peu malaise à cause de la taille de son armure qui faisait peur a toute le monde.

Je notais la surprise d'Isa en voyant enter Alphonse. Il y avait plusieurs facteur qui causait cette surprise. Premièrement, il était rare de voir une armure se promener dans la rue et c'était encore plus rare d'en voir dans un café au milieu de la nuit. Ensuite, il y avait le fait que jamais avant je n'étais venue en compagnie de quelqu'un. J'étais toujours seule, je ne parlais de personne ce qui lui portait à croire que je n'avais pas d'amis -ce qui était vrai jusqu'à il y a quelques mois. Bien vite, la dame se ressaisie. Elle ne dévisagea pas Alphonse, ne posa pas de question comme à son habitude. Elle nous souri d'un sourire empreint de sincérité.

-Bonjour, dit-elle à Alphonse.

Elle le remercia pour le compliment. On voyait bien que ça lui faisait plaisir. Je la voyais plus rayonnante que lors de ma dernière visite. Elle déposa son torchon et plaça une assiette à sa place avant de revenir à nous. Elle nous demanda si nous voulions quelque chose à manger ou bien à boire. Comme à mon habitude, je lui demandais un café. Elle se tourna par la suite vers Alphonse.

-Désire tu quelque chose ?

En même temps que de prêter une oreille attentive à Alphonse, elle me servit mon café avec lait et sucre. Elle savait comment je le prenais et n'avait plus besoin de me le demander. Je bu une gorgée et le breuvage me brûla la gorge et la chaleur de la tasse réchauffa mes mains glacées.

Alphonse qui avait vue que après quelques instants la femme avait reprit ses actions comme si de rien. Alphonse se rappela comment sa mère n'avait jamais eu aucun préjuger envers les autres. Et elle avait essayer ardement d'inculquer ses valeurs à ses deux enfants. Elle n'avait même jamais été frustrer envers son père qui n'avait jamais été présent envers eux.

Sa mère était une sorte d'ange, et la femme qui était devant Alphonse à ce moment lui rappelait beaucoup sa mère. Il soupira intérieurement. Quand la femme qui se nommait Isa décida de servir Ayame. Alphonse se disait que Ayame devait souvent venir ici, vue que la femme qui se nommait Isa, savait déjà ce que Ayame voulait dans son café.

Quand la femme demanda ce que Alphonse voulait à manger ou à boire. Alphonse soupira intérieurement la dernière fois qu'il avait manger ou bue quelque chose. Il ne savait pas trop quoi répondre pour l'instant il hésita et s'exclama toujours avec sa voix enfantine qui résonnait dans son armure.

- Merci quand même.. mais je ne prend rien.

Dit il encore une fois en soupirant intérieurement, il baissa son regard vers le plancher quelques instants. Personne ne pouvait vraiment savoir ce que c'était de ne pas pouvoir manger ou de boire quelque chose ou de tout simplement dormir en rêvant à des choses si belle. Alphonse s'ennuyait de beaucoup de chose. Alors il s'exclama.

- Je peux voir que vous devez sûrement venir souvent ici.

Dit il en sortant de ses pensés déprimantes, il tourna son regard vers Ayame.

Je souris à Alphonse. Il n'avait pas tort, je venais régulièrement ici.. Cet endroit me plaisait énormément et j' étais attaché. Il faut dire que la gentille d'Isa y était pour beaucoup. Une femme extraordinaire. J'avais appris à la connaitre avec le temps. Elle m'avait souvent parler de sa vie. J'ai pu remarquer au cours de ses récits qu'elle était une femme forte et courageuse.

-Oui...

C'était dans un murmure que j'avais répondu, perdu dans mes pensées. Ce n'est que peu après que je me rendis compte que je ne prêtais plus attention à se qui se déroulait autour de moi. Je chassais mes pensées et m'excusais d'être si inattentive. Je lui répondis par la suite, un peu plus fort.

Isa alla s'occuper de d'autres clients. Elle faisait des aller-retour de son comptoir à leur table. Je continuais de boire tranquillement mon café à la regardant s'activer au travail. Je pouvais voir que c'était quelqu'un qui aimait ce qu'elle faisait. Je souris pour mon même et me tournais vers Alphonse.

-Cet endroit de te plait ? demandais-je.

Je regardais à l'extérieur où la pluie s'abattait violemment sur la ville. La vent n'aidait pas à la situation en faisait voler tout objet léger pour les jeter plus loin. Par moment le vent se calmait, mais c'était toujours pour reprendre de plus belle.