Rappel du premier message :

Comme tout les jours, je me promene dans les rues et regarde tout les magasins d'auto-mail. Je sios comme à mon habitude à la recherche du dernier modèle et il faut aussi que j'achète des morceaux pour mon maître pour confectionner de bon auto-mail. Je salut tout le monde avec un sourire. Sac à la mains je passe devant une vitrine où il y a un auto-mail superbe, je m'arrête et bave devant la vitrine.

-Resaisie toi Taiga! me dis-je en me donnant une claque sur la joue.

Cette claque me sorti de mon monde d'ingénieur, alors je continua mon chemin. Je vis tout sorte de monde avec de vieux auto-mail ou tout simplement endommagé, alors je leur donna la carte d'affaire de mon maître et je leur parlais de cette magnifique boutique.

Je vis au loin une jeune fille avec son petit frère. Mon regard se changea en tristesse, je baissa la tête et des souvenirs me revint. Mon frère et moi... mon petit Sora... pourquoi il fallait qu'il meurt, pourquoi lui? Pourquoi pas moi? Il était si jeune, plein de vie et tellement adorable. Je n'était pas capable de me le sortir de la tête, cela faisait déjà 1 ans qu'il était mort et je souffrais toujours autant. Mais quelqu'un me fonça dans le dos et cela me sorti de mes pensés.

-Ça va. Et puis, j'ai pu réfléchir quelques instants. Vois tu, cet homme est mon père et disons qu'avec lui... Je n'ai pas une très bonne relation avec lui. Ça fait six ans que j'ai quitté le foyer familial et que je vis maintenant à Central City. Je ne veux pas le revoir. Bon passons, je ne veux pas t'ennuyer avec mes problèmes familiaux qui sont plus complexes que tu ne le crois. Alors, ça fait longtemps que tu vis ici?.

Je préférais changer de sujet. Je détestai mon père et je ne voulais pas parler de lui. De plus, je ne connais pas vraiment Taiga, j'aimerai qu'elle me parle un peu d'elle.

-En fait, mon maître ma recueilli quand j'avais à peine 12 ans, car j'étais seule. Ma mère est morte d'une épidémie et mon frère s'est fait tuer. Depuis ce temps je travail ici. Tu vois pourquoi je dis qu'il n'aurait pas le cœur de me jeter à la rue.

Je fouilla dans un des tiroirs qui étaient très fouillis. Je cherchais pendant un instant et je grommelais «où est-elle?!» Après environ 5-7 minutes je trouva enfin ce que je cherchais. Je retournais m'asseoir et je le mis dans le visage d'Ayame.

-Voila, c'est... enfin, je veux dire, c'était lui mon petit frère, Sora.

Je l'a mis sur le comptoir proche de la caisse pour être sûr de pouvoir le voir chaque jours et de plus l'oublier. Il ne fallait pas que je l'oublie, il est ma seul raison de vivre. Si ce n'était que de moi, je me laisserai mourir pour le retrouver au paradis. Mais je suis sûr qu'il est bien mieux en haut et qu'il veille sur moi chaque jours. C'est tellement un petit ange Sora.

Je regardai la photo qu'elle me montrai. Son petit frère. Adorable. Ils avaient les même yeux. Après avoir détaillé la photographie du regard.

-Il est vraiment mignon, lui dis-je. Moi aussi je serais fière d'avoir un frère si adorable.

Je continuai de regarder la photo, le regard perdu dans le vague. Je repensai à ma soeur. Elle me manquait terriblement. Je me suis juré de la retrouver peut importe ce qui se dressera sur mon chemin. C'est presque elle qui m'a élevée. Ma mère est morte il y a longtemps et mon père avait constament le nez des ses documents... Mon père.. l'homme que j'haissais tant.

-Oui, je suis vraiment fière de l'avoir eu, dis-je avec un sourire triste, quelques larmes au yeux.

Je clappa des mains instantanément, j'essuyais mes larmes et je fis un énorme sourire. Il ne fallait pas se pencher sur le passer, sinon j'allais ouvrir un plait qui était presque refermé et il ne fallait pas, sinon j'allais retomber dans la dépression.

-Bon! Il faut pas que je reparle de sa... et toi qu'est-ce que tu fais de bon dans ta vie?

Le magasin commença à se calmer un peu plus, puisque la fermeture de la boutique arrivait, donc il fallait bien qu'on fasse le ménage un jour. Je lâcha un soupir à cette penser... encore du ménage.. pourquoi les clients touchent à tout? Sa ne leur tentent pas de ne rien déplacer et de tout laisser à leur place s'ils ne prennent rien.

Sa question me déstabilisa légèrement. Je n'était pour dire quelque chose du genre: "Eh bien, je suis tueuse professionnelle pour le compte de mon oncle". Ça non. Je devais trouver quelque chose...

-Je fais plein de choses! La vie est courte il faut en profiter tu sais.

Réponse idiote de la par d'une femme idiote. Moi. J'ai répondu le premier truc qui me passait par la tête. Je vis la boutique un peu désordonnée ce qui me donna une perche pour sortir de ce sujet.

-As tu besoin d'aide pour ranger?

Si je pouvais l'aider ça me ferais plaisir. En plus de ça j'avais la possibilité de changer aisément de sujet et de parler d'autre chose. Dans la vie il faut savoir improviser.

-Oui, si ça ne te dérange pas trop, dis-je avec un sourire.

Enfin quelqu'un qui on pourrait dire, me comprend. Je suis bien heureuse de l'avoir rencontrée. Elle veux m'aider pour le ménage, elle m'a acheter une robe et elle m'a suivi dans le magasin d'auto-mail même si elle n'aime pas sa.

J'allais en direction du placard à balais. Je sortais un balais, du désinfectant et une serpillière. Je les déposais sur le bord du comptoir et j'allais verrouiller la porte et tourner la pancarte pour dire que nous étions fermé. Je retournais au comptoir et je prenais le balais. Je commençais et balayer.

-Tu peux laver les comptoirs si tu veux.

-Parfait !

Je pris le produit nettoyant, et un linge. Je commençai ensuite à nettoyer le comptoir avec énergie. J'eus tôt terminer mon travail. Je regardai Taiga travailler de son côté. Elle travaillait dur. Tout ce travail à accomplir soir après soir n'avait pas l'air de la décourager. Malgré les dures épreuves qu'elle à subie, elle continue d'avancer. C'est une belle chose à voir. Ça prouve que même si la vie nous donne parfois l'impression de nous avoir délaisser, il y a toujours un espoir quelque part.

Je regardai le comptoir propre. Je devrais peut-être lui proposé de faire autre chose pour aider? Je ne veux pas rester là à rien faire pendant qu'elle fait le reste du travail. Je n'aimais pas ça. De plus, j'ai besoin de bouger, de dépenser toute mon énergie. Même si c'était la plus simple des tâches, la plus éprouvante, la plus ennuyante, je m'en fichais. Je voulais seulement m'activer, me rendre utile.

-Est-ce que je peux faire autre chose pour t'être utile?

J'avais enfin terminée de passer le foutu balais. Ayame avait terminée depuis un petit moment. J'allais ranger le balais et je revenais. Je tendais la brosse à toilette et le nettoyant.

-Voila, tu peux aller nettoyer les toilettes, dis-je en allant prendre la serpillère.
*C'est peut-être une peu méchant que je lui laisse nettoyer les toilettes... j'espère pour elle qu'il n'y a pas eu de client crade.*

Je trempais la serpillère dans l'eau qui était mélanger avec du savon et je commençais à nettoyer le plancher. Comme d'habitude, pour nettoyer le plancher, je courrais partout jusqu'à ce sa soit fini. Le sol brillait de plus belle comme d'habitude. Je plaçais la pancarte pour dire que le sol était glissant et qu'il fallait faire attention quand on marchait.

Non mais! Je devrais faire attention quand je pense. Quand je me disais que faire n'importe quel ne me dérangeais pas je ne pensais pas à ça. Je pourrais toujours refuser cette tâche mais c'était moi qui lui avait demander.

J'allais me diriger vers les toilettes quand mon regard se posa sur l'horloge de la boutique. C'est pas vrai?! Mon train partait dans dix minutes! C'était le dernier train de la journée, je ne devais pas le manquer! Je me tournais rapidement vers Taiga.

-Désolée, commençais-je, je ne veux pas t'abandonner comme ça mais mon train par dans dix minutes et je ne doit pas le manquer.

Je déposais ce que j'avais dans mes mains sur le comptoir et pris mes sacs. Avant de franchir la porte de la boutique je me tournais vers Taiga.

-Au revoir. J'espère que nous nous reverrons un jour.

Puis, je sortis de la boutique, marchant rapidement vers la gare. Si je manquais mon train, je serais obligée de rester ici pour la nuit. C'est une fois à la gare que je ralentis le pas. Avant de monter dans le train je regardais le ciel. Je contemplais un magnifique couché de soleil. Demain sera un autre jour. Je ne sais de quoi il sera fait mais j'avancerais encore et encore. Je ferais de nouvelles rencontres, je franchirais de nouvelles barrières, j'affronterais de nouveaux défis. Et oui! Ainsi va la vie. Qu'elle soit douce ou cruelle on ne peux y échapper. Personne n'est à l'abri du destin. Je montais sur cette pensée dans le train en direction de Central City.

Je commençais à asticoter les auto-mails démonstrateurs quand Ayame revenait aussitôt et me dit qu'elle devait quitter absolument pour prendre son train.
*Ah merde! Je me sauve pas du nettoyage des toilettes..*

Je lui faisait signe de la main avec un sourire. J'étais contente de l'avoir rencontrer. Sa m'avait fait du bien de parler avec quelqu'un d'autre que mon maître. Je retournais à mes tâches de fermeture.

*J'espère moi aussi qu'on va se revoir... Ayame.*

J'asticotais avec un sourire et je fredonnais une petite mélodie que j'avais l'habitude de chanter à mon petit frère pour qu'il s'endorme.

[Terminé]