Sanji était assis sur son fauteuil, une pile de dossier était déposé sur son bureau, il avait du travaille en retard, tout ça à cause du colonel qui avait prit l'habitude de surchargé ces hommes! De la dictature s'était-il exclamer un jour alors qu'il venait de recevoir une nouvelle pile de travaille de la par de son admirable supérieur. Après plusieurs soupir et autres jurons il s'était remit au travaille, mais aujourd'hui était un jours spéciale, oui cette journée était 'très' spéciale. Le début de journée avait était long et fatiguant, mais plus le temps passé plus son excitation monté. Il regarda l'horloge qui était accroché sur le mur en face de lui pour constaté qu'il était déjà plus de 6h du soir, après s'être étirait, Sanji sortit son paquet de cigarette et son briqué.

Le Lieutenant en sortit une,la mit sur ses lèvres et l'alluma à l'aide de son briqué, en une inspiration il sentait un plaisir fou l'envahir, expulsant doucement la fumé dans un soupir de soulagement Sanji recommença se processus encore une fois. Soudain, dans le silence le bruit d'une porte se fit entendre, il savait la quel, il savait qui se tenait sur accoudoir de la porte, une femme à l'apparence presque angélique, lorsque son regard s'était posé sur elle la premier fois le lieutenant avait crut que son cœur aller explosé et qu'il était entrain de rêver. Depuis plusieurs jours déjà les deux amants se voyait en cachette, expriment leurs amours réciproque d'une manière peu conventionnel à l'armé. Telle Roméo et Juliette, ils étaient obligé de le faire en cachette, mais cela de déplaisait pas du tout à notre Lieutenant, bien au contraire, cela ne fessait qu'a attisé ses ardeurs!

La jeune femme vêtu de son habituelle blouse blanche s'approcha d'un Sanji tout aussi tendu et complètement charmé, il écrasa sa cigarette dans son cendrier. La porte se referma doucement derrière elle , sa démarche souple et légère fessait battre le cœur du jeune homme, mais celui-ci voulait faire duré le plaisir et ne pas le montré, c'est pourquoi il lui fait un sourire charmeur dont-il avait le secret. Clothilde s'avança vers son bureau, ses vêtements rejoignant doucement le sol, le corps de la jeune femme se retrouva bientôt coller au torse du jeune Lieutenant qui la prit doucement par la taille. Sanji approcha son visage de celle de la jeune Amante pour humé son parfum, un parfum qu'il ne connaissait que trop bien et dont-il ne se lasserai surement jamais. Approchant doucement ses lèvres de celle de la belle demoiselle, il les unir en la serrant contre lui, ses mains caressant son dos nue avant de monté vers ses épaules et de redescendre doucement vers son fessier, s'arrêtant juste avant, recommençant se geste. Il voulait faire duré le plaisir.

Après leurs baisé passionné, Sanji était heureux, ce simple baisé le rendait incroyablement heureux, et il n'on connaissait que trop bien la raison de toutes ses émotions. Il ouvrit les yeux et les plongea deux les deux émeraude de l'alchimiste, laissant son regard s'immerger dans ce regard digne de celui d'un ange. Quand Clothilde posa la paume de sa main sur la joue du Lieutenant celui-ci en ressentit un frisson de plaisir, le passage de sa main laissé une trace chaud que Sanji apprécier au plus au point. L'homme répondit au regard tendre de sa bien aimé par un petit sourire. Lorsque Clothilde prit son poignet pour le déposé sur sa poitrine, le Lieutenant ne put retenir un frisson d'excitation devant la douceur de ceux-ci et la voix sensuelle de la jeune femme. Il commença un long massage du buste de celle-ci qui lâcha de temps en temps quelque soupir d'extase, guidait par la main de Clothilde, Sanji fut surprit de la voir s'approchait de son visage pour venir lui mordre la lèvre inférieur. Notre homme sentant son excitation monté d'un cran et une vive chaleur vers son bas-ventre. Lorsqu'il sentit quand le tirait sur le manche, le Lieutenant se laissa guidé par la jeune femme et s'installa dans son fauteuil.

Quel ne fut pas sa surprise lorsque la demoiselle se baissa, genoux à terre, s'approchant du pantalon de Sanji et entreprit doucement de libérait l'entre-jambe de celui-ci, lorsque la fermeture éclaire fut complètement ouverte libérant ainsi une bosse qui du excitait Clothilde car celle-ci s'humidifia les lèvres avec envie avant de délivrai le sexe du Lieutenant de son caleçon. L'homme poussa un soupir d'excitation et d'envie, lorsqu'il sentit les mains douce de la femme, prendre son membre et de le frotté doucement, ce qui eux pour effet de le rendre encore plus vigoureux. Quand la demoiselle leva ses yeux pour les poser sur ceux de Sanji qui l'encourageait de continuer. Clothilde ne se fit pas prier d'avantage et entreprit de prendre le sexe de son amant dans sa bouche, d'abord le gland puis doucement le reste de son membre, quelque coup de langue bien placer fessait frémir Sanji qui poussait de temps à autres des soupir d'extase et faisait tout pour se retenir le plus possible pour profité un maximum de la 'gâterie' qu'elle lui offert. S'agrippant sur son fauteuil le Lieutenant, après plusieurs minutes de supplice mélanger à du plaisir fini par le laissait aller en poussant un râle de satisfaction, son corps fut secouer de petit spasme. Son liquide alla tâcher le sol, notre homme reprit son souffle pendant que Clothilde avait entreprit de nettoyer le sol de sa 'semence'.

Alors que le rythme cardiaque de Sanji reprenait une vitesse normale, la femme se leva pour s'assoir sur le bureau dans une position des plus....Alléchante, rien quand la voyant comme cela, la position et la respiration haletante , le sexe du Lieutenant reprit un peu de vigueur.L'homme se leva et s'approcha doucement de l'alchimiste, il déposa ses lèvres sur son cou pour l'embrasser avant de remonté lentement vers ses lèvres pour de furtive baisé, ses lèvres se baladant vers ses oreilles pour en mordiller doucement le lobe, pendant se temps ses mains ne restait pas inactif. L'une de ses mains s'était approchait de son entre-jambe pour le caresser, ses doigts venait titiller son clitoris et son autre mains venant jouer avec l'une de ses mèches de cheveux . Il voulait la faire attendre, le temps qu'il récupère un peu, mais aussi pour la faire languir, il voulait la voir impatienté et lui demandait de la prendre.