L'armée tirée par les fils [PV Moth & Roy Mustang]



 
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MessageSujet: L'armée tirée par les fils [PV Moth & Roy Mustang]   L'armée tirée par les fils [PV Moth & Roy Mustang] Icon_minitimeSam 18 Déc - 21:07

Le temps était pluvieux et les derniers rayons de soleil disparaissaient à l’horizon lorsque Riza sortie du QG de Central City. Après avoir déposé un tas de document sur le bureau de son supérieur, la jeune femme ramassa ses affaires et sortit respirer l’air hivernal de l’extérieur. Toujours en sa compagnie, son fidèle compagnon à quatre pattes, Black Hayate. Le petit chien marchait d’un pas léger sur la mince couche de neige recouvrant le sol. Riza ouvrit son parapluie pour se protéger des gouttes d’eau ainsi que de petits flocons tombant allégrement du ciel. C’était un beau mélange tout ça. La légère brise hivernale vint même mettre son grain de sel. Le vent frais fit claquer le manteau de la femme. Cette dernière avait bien hâte de rentrer chez elle, bien au chaud. La journée avait été longue et pénible. Il y a des jours, comme ça, qui plombe le moral. Aujourd’hui était l’un de ses jours où le Lieutenant n’avait envie que d’une chose : dormir. Ses derniers jours de travail acharné l’avait épuisée. Elle avait passé les dernières journées à se rendre d’un bout à l’autre du bâtiment de l’armée, apportant toujours plus de travail à son Colonel. La femme pouvait noter une légère hausse de la criminalité dans la ville. Même en sachant ça, malgré le soleil qui venait de disparaitre pour laisser place à la Lune, Riza n’éprouvait pas une once de crainte. Elle savait se défendre. Et puis, qui s’en prendrait à un militaire au milieu de cette grande rue ?

Le lieutenant regardait droit devant elle, tenant fermement son parapluie de peur qu’il ne s’envole. Perdue dans un flot de pensées, elle ne remarqua pas tout de suite que Black Hayate ne marchait plus à ses côtés. Lorsqu’elle fut consciente que son petit compagnon avait emprunté un tout autre chemin, elle tourna les talons et revient sur ses pas. La neige fondait rapidement dès qu’elle touchait le sol, mais il y avait toujours une mince couche de cette poudre blanche au sol. Les empruntes du cabot étaient toujours visibles. Il ne s’éloignait pas ainsi habituellement, ce qui inquiéta légèrement la femme. En fait, elle ne s’inquiétait pas trop pour son ami, mais plutôt sur ce qui l’avait poussé à s’éloigner. Après tout, il ne faisait pas cela très souvent. Il devait avoir découvert quelque chose qui avait attiré son attention et poussé à suivre une autre piste. Heureusement pour Riza, les jappements du lui permit de le retrouver en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire. Elle s’arrêta dans une rue adjacente, plus étroite et plus sombre. C’est là qu’elle retrouva son compagnon à quatre pattes. Par contre, il n’était pas seul…

Devant elle se trouvait une bouche d’égout ouverte, donc accessible à quiconque souhaiterait faire une petite visite des souterrains de Central. Cependant, ce n’était pas le plus horrifiant. C’était plutôt le corps atrocement mutilé et recouvert d’un liquide carmin sur lequel se posait délicatement les flocons de neige. Riza ferma son parapluie et approcha lentement du corps. Elle posa un genou au sol en déposant l’objet qu’elle tenait en main à ses côtés. Les yeux horrifiés de l’homme gisant au sol la fixait avec effroi, comme s’il avait vu pire que la mort. Son regard glaçait le sang de quiconque fixant ses prunelles maintenant éteintes. La moitiée de son visage était couvert de sang, probablement le sien. La femme nota qu’il portait l’uniforme de l’armée. Était-il en service lorsqu’il fut tué ? Il était bien évident qu’il s’agissait d’un meurtre. Il était complètement désarticuler, tel un pantin auquel on aurait coupé les ficelles. L’un de ses bras était manquant peut-être emporter par l’assassin en guise de trophée de chasse. De plus, elle remarqua une grande incision au niveau du torse de l’homme, comme si on avait voulu lui sortir les trips. Riza n’avait pas besoin de prendre son pouls ou de vérifier sa respiration pour savoir qu’il était décédé. Sa mort ne semblait pas remonter à bien longtemps, quelques heures, tout au plus. Elle devait en avertir le QG pour qu’il envoie des hommes s’occuper de cette affaire.

Le lieutenant se remit sur pied et adressa un regard à son chien. Ce genre de regard qui signifiait qu’il avait fait du bon travail et qui signifiait qu’il avait su se rendre utile. Black Hayate avait beau n’être qu’un animal, il pouvait tout de même être en mesure de comprendre les signes que lui envoyait son maitre, autant positif que négatif. Le cabot s’assit sagement dans la neige froide et attendit un mouvement de sa maitresse avant de faire quoi que ce soit. C’est fou comment Riza avait pu faire de ce petit animal, un véritable chien de garde, pouvant toujours l’aider en cas de problème. Il était bien discipliné et ne manquait pas d’attention de la part de sa maitresse qui ne le négligeait jamais. Un véritable lien s’était créé entre eux. Une relation de confiance, aussi stupide que ça pouvait paraitre, régnait entre ces deux êtres. Après tout, la confiance ne devait-elle pas être la base de toute relation saine ?

Un cri étouffé retentit jusqu’aux fines oreilles du militaire. Aussitôt, Riza dégaina son arme à feu, prête à intervenir. Elle écouta attentivement le cri qui provenait de la bouche d’égout. Quelqu’un se trouvait en difficulté. Était-ce un militaire ou un simple civil ? Faisant signe à Black Hayate de rester près du corps et d’attendre son retour, le lieutenant prit rapidement la décision de descendre dans les égouts, où elle apercevait un faible jais de lumière. Rapidement, Riza se retrouva les deux pieds sur une surface bétonnée. À quelques pas d’elle se trouvait l’eau sale des égouts, où elle tentera d’éviter une baignade.
La femme se dirigea rapidement vers le rayon lumineux qu’elle avait aperçu de la surface. Il provenait d’une lampe de poche probablement laissée là par le défunt militaire. L’objet était couvert de sang, mais elle ne s’en soucia guère. Il y avait plus important pour le moment. Elle s’avança donc dans les souterrains, tentant de repérer la source du cri. Elle avançait prudemment, lampe de poche d’une main et arme à feu de l’autre, toujours pointés dans la même direction. De nombreuses et volumineuses tâches carmines tachaient le sol crasseux et permettait à la femme de se diriger dans ce véritable labyrinthe. Ne valait-il pas mieux retourner à la surface et aller chercher du renfort ? Après tout, elle ne savait pas sur quoi elle allait tomber en ces lieux sombres. Cependant, elle était trop loin pour se permettre de reculer. Plus elle avançait, plus les tâches devenaient grosses, signe que des gens avaient été blessés ou tués à proximité. De plus, ces tâches ne semblaient pas dater de bien longtemps, une heure tout au plus. Combien étaient-ils à être descendus ? Combien d’entre eux avait survécu ? Qui était le mystérieux meurtrier ? Bien des questions se bousculèrent dans l’esprit de Riza, mais elle les repoussa rapidement, souhaitant rester concentrée sur la situation présente.

***

Pendant ce temps, Black Hayate faisait le chien de garde devant la bouche d’égout, jappant férocement lorsqu’un civil s’approchait un peu trop près. Des militaires ne tardèrent pas à passer dans le coin et le cabot attira leur attention sur le corps. D’ailleurs, l’un de ces bleusailles reconnu le chien du Lieutenant Hawkeye. Il ne savait où celle-ci était passée, mais il déduit rapidement qu’elle avait dû descendre dans les égouts. Rapidement, le QG fût contacté et les civils entourèrent la scène de crime. L’animal restait près de la bouche d’égout, attendant patiemment le retour de sa chère maitresse.
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MessageSujet: Re: L'armée tirée par les fils [PV Moth & Roy Mustang]   L'armée tirée par les fils [PV Moth & Roy Mustang] Icon_minitimeJeu 23 Déc - 16:22

Les râles moribonds du subordonné s’espaçaient au fur et à mesure que son espérance de vie diminuait. Ses respirations saccadées chantaient au rythme du pouls de son cœur, leader de l’organisme dont le sang s’évidait comme une passoire depuis les viscères de ses hanches, maculant son officiel uniforme de l’armée. Le visage souillé de sueurs et de plasma poisseux, ses paupières tremblaient de spasme et de convulsions, à demi-conscient de son piteux état. A ses cotés, de façon accroupie, huit pattes acérés en carapace ébène remuait la chair du mourant paralysé au cœur de ses vertèbres fêlées. Les mains griffues de l’homonculus cisaillait chaque veines, chaque boyaux, chaque entrailles, chaque tripes du transit intestinal de l’homme qui s’égosillait les cordes vocales, authentifiant de la barbarie du châtiment qui lui paraissait éternel. Devant tant de torture, il décéda dans un dernier braillement bestial, comme si toute cette douleur l’avait rétrogradé à l’état d’instinct animal, tandis que la gorgone limait une ultime artère. La joue du militaire baigna progressivement dans une flaque de bile mêlée au fluide vermeil frais, dont l’odeur ne tarda pas à se répandre jusqu’aux canalisations rouillés et farcis de toiles d'arachnides, excitant la jovialité et la satisfaction personnelle à Moth de martyriser ses proies. Alors qu’elle lapait de tout de go le nectar vermillon du cadavre neuf, elle perçut les échos de naissants pas se conduisant dans sa direction. Formidable humains. Elle avait beau les dévorer, il en venait toujours plus.

La créature sécha de son coude les taches de sang lui encrassant les lèvres d’un geste lent de réflexion. A ce rythme, sa puissance en sera décuplée. Plus elle accumulait de la viande, plus sa vigueur évolue de manière considérable. Et bientôt pourra-t-elle quitter ces insalubres égouts afin d’affronter le monde extérieure pour combler sa soif de cruauté.
L’homonculus se saisit du bras droit de sa victime récemment assassinée pour le démembrer de façon à détacher le membre de son tout, déligaturant l’épiderme en des éclaboussures succinctes qui mouchetèrent davantage le sol déjà bien coloré. Sur ce, elle rejoignit la résonnance de son invité tout en tétant la moelle de l’os radius maintenu dans ses serres.
De la pénombre surgirent les ergots du céphalothorax de la veuve noire, incitant le convive à braquer son magnum vers le danger surnaturel.
Moth grimaça un sourire truffé de sous-entendus. Une ravissante officière blonde étonnamment athlétique, positionnée solennellement en situation de défense, le regard dur et implacable, son arme brandie dangereusement vers le thorax livide de la gorgone.
La créature mesurait quelques mètres de plus que la jeune femme, la surplombant de toute sa carrure de monstre. Amusée, Moth hissa ses mains en l’air en signe de soumission, ses mandibules imitant la même gestuelle, comme pour narguer cette inconsciente de son grade.
Un instant de silence pesant s’écourta lorsque l’homonculus prit la parole, un rictus avide de tueries dessiné sur sa mâchoire, l’œil brillant :


« ...En combien de temps crois-tu pouvoir rejoindre la sortie sans égratignures ?... » Ajouta-t-elle, prête à bondir à la moindre inattention.

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Malheureusement pour elle, le lieutenant la fusilla d’avance, sans aucun état d’âme, comme programmée pour tirer à vue et sans sentiments. Moth qui comptait jouer sur la frayeur pour l’immobiliser, c’était mal parti. Et bien, elle choisirait la manière brutale, la manière vandale, son activité favorite.
Ses songes furent interrompus par les nombreuses balles qui se logèrent contre sa poitrine, ou au centre de son front. Diable, cette femme n’avait vraiment pas froid aux yeux. Elle en avait connu, des martyrs la décimant à corps et âmes, sans vains succès, mais peu avec autant de tenue. La plupart vociféraient durant l’assaut, jusqu’au moment d’être achevés. Hélas pour cette petite, bien qu’audacieuse, ces projectiles restent insuffisants pour parvenir à bout d’un suppôt de Père.

Le militaire fut peu après à court de munitions, le minois se déridant légèrement mais raisonnablement pour y lire la novice panique qui s’emparait de son esprit. Ce fut le moment stratégique idéal pour Moth de s’élancer pour lui empoigner le mollet, lui provoquant une perte d’équilibre si bien qu’elle chuta lourdement au sol, dans un laconique gémissement étouffé. Son agresseur usa d’élan pour la brutaliser sur les parois visqueuses et parallèles des cloaques, lui traumatisant le crâne et quelques autres membres. Pendant une dizaine de seconde, Moth se divertissait à frapper le lieutenant de façon cruelle sans la moindre douceur, compassion ou temps de pause. L’idée était de l’assommer violemment, comme anesthésiée, pour la meurtrir ensuite dans les pires supplices qui soient.

Un enchaînement de glapissements d’affliction s’ensuivit jusqu’à que le corps inerte de la jeune femme blonde devienne muet. Ravie de son calvaire, Moth remorqua vers elle les jambes de celle-ci, débutant soigneusement le ligotage qui formera un cocon parfait, chose très pratique pour conserver les dépouilles jusqu’au lendemain. N’ayant plus vraiment d’appétit présentement, elle la consumera le soir même, prenant soin de serrer férocement les fils de soie adhésifs. Enfin, elle récupéra la main du précédent macchabé oubliée pour la ronger, tout en finalisant l’enveloppe de sa future pitance.
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MessageSujet: Re: L'armée tirée par les fils [PV Moth & Roy Mustang]   L'armée tirée par les fils [PV Moth & Roy Mustang] Icon_minitimeSam 25 Juin - 11:14

Le téléphone avait sonné lorsque la nuit commençait à tomber sur Central. Riza avait déposé un énième rapport sur le bureau de ce cher Colonel. Il avait soupiré. La paperasse ça n’était vraiment pas, mais alors vraiment pas son truc. Bon, il avait de la chance, il avait la moitié des secrétaires du QG qui désiraient dîner avec lui, et il jouait de ça pour qu’elles l’aident à finir tous ces dossiers. De plus il devait les rendre demain matin à la première heure dans le bureau du fuhrer.
« Il pourrait prendre des vacances avec sa femme et son fils, ça changerai un peu ».
Mais le téléphone sonna et cela le sortit de ses pensées. C’était le centre d’appel de téléphonique de l’armée. On le prévenait d’un meurtre commis dans le centre de la ville. Tant mieux, cela lui donnerait de l’action. Parce que l’action de faire des papiers, quelle plaie !
Mais lorsqu’il demanda qui avait découvert l’accident, on lui répondit qu’il s’agissait du lieutenant Riza Hawkeye. Il bondit de son siège et répondit au soldat qu’il arrivait.

Des habitants, curieux de la situation était rassemblé autour de la scène de crime. A peine était t’il arrivé qu’un policer se dirigea vers lui et lui exposa la situation : C’était un homme, le corps avait été désarticulé, il lui manquait un bras, et une grande incision aurait été faites au niveau du torse de l’homme. De plus, la mort remontait à quelques heures seulement.
Lorsque Roy demanda où était le lieutenant Hawkeye on lui répondit que personne ne le savait. Ils avaient été prévenus par téléphone, rien de plus.
Le Colonel inspecta rapidement le corps et ordonna qu’on l’emmène. Soudain, il entendit aboyer. Mais cet aboiement n’était pas un aboiement comme les autres, il lui était familier. Il se dirigea vers la source du cri et découvrit Black Hayate, le fidèle chien de Riza !
Le petit chien essaya de lui faire comprendre qu’elle était descendue dans les égouts. Bon, soyons honnête, il fallut pas plus d’une minute pour que le brun le comprenne. Il donna l’ordre qu’on lui ramène une lampe torche ainsi qu’une lanterne et malgré les recommandations de la police de ne pas y aller, il descendit quand même, leur répondant « Que l’autorité et lui était comme dieu et le diable : incompatible ».

Roy descendit l’échelle qui menait directement aux égouts. Il faisait très sombre et une seule lampe torche ne suffisait pas à l’éclairer. Il se servit donc de son alchimie pour allumer la lanterne.
Il avança dans ses immenses souterrains dans lesquels on pouvait très facilement se perdre… Cependant, des traces de sang de plus en plus grandes, le guidèrent comme Riza précédemment.
Alors qu’il continuait de s’avancer, il se rendit compte qu’il avait marché sur un objet assez gros. Il le ramassa et constata qu’il s’agissait d’une balle de révolver. Quelqu’un avait donc essayé de se défendre. Mais en l’analysant plus attentivement, il se rendit compte que cette balle provenait d’une des armes d’Hawkeye.
« Lieutenant Hawkeye, pourquoi ? »
Mais il ne fallait pas s’arrêter en si bon chemin. Il continua de marcher et entendit du bruit. Mais lorsqu’il vit l’hideuse créature, il laissa tomber sa lanterne. Non ça n’était pas cette créature qui lui faisait rage, mais ce qu’il avait fait de sa fidèle amie !
Ses yeux se changèrent en un regard de haine et sans perdre de temps, il lança une attaque de feu qui toucha l’homonculus.
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