Quelle matinée... (Privé : Niji)



 
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MessageSujet: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeSam 25 Juin - 11:45

La matinée de ce cher Colonel avait été chargée en émotions.
D’abord, son meilleur ami Maes l’avait réveillé en l’arrosant d’eau glacée. Et bien sur, vous connaissez donc l’immobilité légendaire de notre cher Colonel lorsqu’il est pris au piège par l’eau.
Sur ce, après ce petit incident, il avait pris sa douche et avait été boire un café, tout en prenant soin de dénicher une secrétaire avec qui il dinera ce soir.
Ensuite, la deuxième mauvaise nouvelle de la journée tomba : il avait tous ces rapports à recommencer. En effet, la secrétaire du führer avait jugé qu’ils étaient incomplets. Pour qui elle se prenait celle-là ? Ce n’est pas parce qu’elle était secrétaire du grand chef qu’elle avait tous les pouvoirs…C’est ainsi qu’il devait tout recommencer, le retour du démon papier, quel beau programme...
C’est ainsi qu’il s’y replongea, tout en faisant des allers/retours au bureau des secrétaires afin de se donner du courage. Selon lui, voir des jolies femmes l’aidait.
Décidément, ce Colonel… Puis prit de fatigue, il s’endormit. Une nouvelle sieste légendaire… Et c’est ainsi que son rêve si étrange débuta. D’abord, il était sur une ile tropicale. On l’appelait Colonel Reyel. Puis, il aperçut Riza et se dirigea vers elle et sans savoir pourquoi il lui chanta une chanson se nommant « Toutes les nuits », une déclaration.
Cette paperasse le faisait devenir cinglé. Le téléphone sonna, il s’agissait de Hughes qui lui parla pour la vingtième fois de la journée de sa fille Elyssia et de sa femme Gracia. Au passage, celui-ci lui proposa de venir dîner le lendemain soir, ce qu’il accepta par amitié.

Puis, contre toute attente, Havoc frappa et le Colonel lui ordonna d’entrer. Celui-ci lui annonça l’arrivée d’une jeune femme qui désirait le voir. Mais lorsqu’il lui demanda la raison, son homme d’arme lui répondit qu’elle n’avait pas voulu le dire mais avait insisté dur comme fer pour le voir.
Roy accepta, curieux de savoir ce que lui voulait cette femme…
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeSam 25 Juin - 12:42

Comme d'habitude la journée avait débuter dans un parc ou elle c'était endormis la veuille, oui, elle n'avait pas de maison et malgré sa fuite intempestive de sa "maison'' en faite, ce n'était pas vraiment une maison, plutôt son enfer personnelle là ou mainte fois elle avait était torturé, là ou bien sur aussi elle avait était battu. Elle avait tout simplement était vendu la petite rose, simplement, même si a cause de ça elle avait gacher sa vie .

Mais bref, au premiere lueur du soleil tombant sur son visage fin dans le parc, les yeux bleu océan de la petite rose se mirent a papilloner et elle se leva, c'est a ce moment là, qu'elle vu une scène qu'elle n'aurait peut être pas dû voir, un homme d'une quarantaine d'année venait de transpercer un gosse d'un sabre et partie laissant le cadavre plein de sang gisant au sol . Un haut le coeur, la pris, voir ce genre de scène des le matin n'était pas des plus sympathique . Puis, se redant compte de la situation, elle se leva d'un bond et se dirigea vers l'enfant . oh bien sur, elle connaisait quelque petit truc pour soigner, donc, avec attention elle pris son poul, se couvrant peu a peu de sang et ne vis rien et remarqué qu'il était trop tard .

Merde

C'était le seul mot qui lui traverser l'esprit ...

Merde


Ce levant elle paniqua et se souvient d'un truc des livres d'histoire qu'elle avait empreinter une fois a lma bibliothèque et de ce qu'avait dit les demoiselle, a partir du moment ou on est belle, le colonnel Mustang aider n'importe quel femme . Si elle allait le voir, il allait l'aidé alors ? Il la croirait ... sans lui demander son nom et son prénom ?

Officiellement, elle n'était personne, elle dormait dans la rue, abandonné, elle n'avait pas de parent, pas de famille pas d'amis, elle avait était acheter, elle avait pas de papier d'identité, mais elle pouvait pas gardé ce meurtre tout ça vie sur sa consience, même si elle avait essayer de l'aider, c'était pas possible, pas ... possible .

Partant en courant elle se dirigea vers le centre, elle passa devant la maison d'Élianna, elle évita les plaque d'égout et elle courut, courut, ainsi a en predre haleine, a en avoir des point de côté, ses outils autour de sa taille lui pesant sur le dos, et enfin, elle pensa a s'arrêter un fois dans le bâtiment . Rougissant de gêne elle entra et parla a l'acceuil.

- Je voudrais parler a Monsieur Mustang ...
- Il est occupé, donnez moi votre nom et votre adresse
- Non ! Je-Je dois lui parlez !

La femme soupira et un autre homme vient, il se présenta, même si il semblait que sa tenu le dérange un peu, car a chaque foi il éviter les yeux de la jeune fille, bleu et intense, il était au moins sur d'une chose elle était sincère, mais elle ne semblait pas consiente de a qui elle allait parler et surtout dans sa tenu, et avec le sang qu'elle avait sur elle .

La porte s'ourit et elle pénétra dans la pièce, elle resta un instant sur le seuil, regardant autour d'elle et détailla l'homme en face d'elle, il était plutôt beau, des cheveux noir ébéne pas coiffer et des yeux de la même couleur brillant d'u éclat que Niji n'avait vu elle le trouvait plus attirant, mais là n'était pas le but de sa visite. Gigottant ses main dans son dos, habiller de son habituelle haut de maillot de bain blanc et se sa mini-jupe courte elle était en ce jour couverte de sang, son haut était rouge, son ventre plat et quelque peu musclé était taché aussi et ses genoux était sale d'herbe et de boue, on voyait qu'elle venait du dehors, d'un dehors dangereux, mais il n'y avait pas que ça . Ses cheveux rose, avait encore des feuilles morte de là ou elle avait dormis .

Enfin, elle rouvrit sa bouche et laissa sa voix, quelque peu paniqué et enrouer de parler si peu traverser ses lèvres laissant voir tout de même une parcelle de douceur qui se refleter aussi dans ses yeux bleu océan, toujours doux avec une immense tristesse dans le regard, mais au fond, cette tristesse elle était justifié .

- Monsieur Mustang ? Je .. Je suis Niji obuto

Poussant un soupir et par politesse comme elle l'avait appris et comme le voulait son ancienne condition de domestique elle s'inclina humblement montrant le respect et l'humilité qu'elle accordé a son supérieur mais bien sur, son geste ne reste pas simple, ses atouts féminin furent mis en avant, puis se redressant elle reprit la parole, toujours légérement bégaiyant .

- J'ai .. y'a ... un enfant, mort ... dehors ...

Elle n'arriva pas a aller plus loin et par ce faite, baissa la tête laissant ses cheveux rose tomber sur les côtés de sa nuque, laissant son dos derière elle, horné d'un grande cicatrice partant de son épaule droite, zébrant son dos en diagonale et tombant sur sa hanche droite, a découvert .

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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeSam 25 Juin - 13:06

- Monsieur Mustang ? Je .. Je suis Niji obuto
La jeune femme était couverte de boue et ses vêtements étaient tâchés de sang. Ses yeux bleu dégageaient une réelle détresse. Il ne fallut pas plus d’un instant pour que Roy le comprenne.
Niji l’avait salué très poliment. Il en conclut donc que même si elle venait de dehors, elle était civilisée et avait reçu une éducation correcte.

- J'ai .. y'a ... un enfant, mort ... dehors ...

Les cheveux roses de l’adolescente tombèrent sur sa nuque laissant au Colonel apercevoir les cicatrices qui marquait son dos.
Dans l’instant, cela lui rappela alors le moment où il avait brûlé le dos de Riza où résidait les secrets de l’alchimie de flamme. Mais peu importe, ça n’était pas le moment ni le lieu pour y penser.
Il se leva et fit signe à Niji de venir vers elle et de prendre sa place sur son fauteuil. Il avait un regard ferme mais doux en même temps.
Puis, notre cher Colonel se dirigea vers la porte de son bureau qu’il ouvrit. Havoc était juste devant et veillait à ce qu’on ne vienne pas les déranger.
- Ramenez-lui des vêtements propres et de quoi manger.
Le militaire acquiesça. Puis, une dizaine de minutes plus tard, il revint avec ce que lui avait demandé le Colonel.
- Je suis désolé, mon homme n’a trouvé que cela.
Les seuls vêtements qu’ils avaient à disposition étaient les uniformes des secrétaires composés d’une jupe et d’une veste, le tout de la couleur bleu. Les couleurs de l’armée d’Amestris quoi.
Puis, il posa un plat composé de viande et de riz chaud sur le bureau avec des couverts.
Il quitta le bureau le temps que la jeune femme se change et mange. Il ne savait pas ce qu’elle voulait réellement, mais il ne pouvait pas nier le fait qu’il s’était bel et bien passé quelque chose.
Il ordonna à Havoc d’aller porter les vêtements de la jeune femme pour les faire analyser.

Une petite demi-heure, il rentra à nouveau dans le bureau puis se dirigea vers sa fenêtre de laquelle il y avait une vue imprenable sur Central.
- Dites-moi… Ce qu’il s’est passé.
Il restait cependant d’un calme légendaire. Après tout, les meurtres, ils en voyaient tous les jours. Mais celui d’un enfant, avait le don pour le provoquer, cependant il ne laissait jamais ses émotions paraitre au grand jour.
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeSam 25 Juin - 14:12

Elle regardait l'homme devant elle et soupira devant cette gentilesse et soupirant elle s'avança du haut de son petit mètre cinquante et s'assis sur un des deux fauteille et fermant les yeux elle repsirant calmement, le temps qu'il parle a son subordonné, mais des qu'elle fermé les yeux, la scène de se petit enfant blesser lui revenait en tête, c'était horrible et elle n'avait qu'une envie c'était de pleurer, pourquoi lui et pas elle ? Pensait-elle dans sa tête et retenant un sanglot dans sa voix elle vu quelque minute plus tard un repas chaud sur le bureau auquel du face elle était assise et des vêtements, bleu marine, presque comme ses yeux, des vêtements de soldat mais elle l'était pas n'est-ce pas ? Qu'importe, poussant un autre soupir elle enfila la veste par dessus son haut et tournant le dos a l'homme se doutant qu'il ne la regardait pas enleva sa jupe noir et rouge a tandance punks, de toute façon, la veste trop grande pour elle cachait un partie de ses forme et surtout les deux dague dans ses porte jarretel qu'elle avait gardé puis l'enfila, facilement, elle aussi était trop grande pour son trente cinq kilos, mais a nouveau qu'importe. Pilant sa jupe elle la pila et la posa par terre délicatement et remonta les manches de la veste qui cachait ses mains le tout sans un mot, sans un soupir seul le bruit des vêtements qu'on froisse avait rompu le silence .

- Je vous remercie ... beaucoup

A nouveau elle s'assiya et regarda le repas son ventre se mit a grondait, sonore et fortement voilà quelque jour qu'elle n'avait pas mangé mais elle n'osait touché au repas de peur de se trahir même le meurtre de ce matin ne l'empecher pas d'avoir faim . Mais en se trahissant elle avait peur qu'on découvre qui elle était même si elle n'avait pas d'identié propre mais plutôt, elle avait peur, qu'on la renvoit chez elle, ou chez lui, chez lui qui la battait tout les jours un peu plus et qui avait fait d'elle un monstre fuyant et ayant peur de tout . Secouant la tête elle leva son bras pour passé une mains dans ses cheveux et les attaché en chignon haut, laissant sa nuque blanche a découvert et l'ourelet de sa manche se défaire a nouveau, laissant sa main disparaitre derrière un manteau bleu .

Puis lentement l'homme se dirigea a la fênetre ouverte et elle l'observa de ses yeux, bleu, mit un peu plus en avant par cette coiffure et toujours aussi profond, et doux . Même si il en restait triste de part son passé . Enfin, avec plus de calme cette fois elle dit en prenant le temps de choisir ses mots, d'articuler, pour ne pas begaiyer .

- Ce matin au parc, un homme d'une quarantaine d'année a tuer un enfant, j'ai .. vu .... et

Elle ne pus aller plus loin cette fois une larme coula le long de sa joue, l'humidifiant lentement et s'échoua sur ses lèvres fine et rose, laissant un arrière gout salé et amer et reprenant de son mis sa respiration elle tenta de continuer.

- D'un coup de sabre, il la percer son ventre et la ouvert .

Elle retint lentement un haut le coeur et posa une main sur ses lèvre et ferma les yeux se penchant lègerement en avant pour se calmer et pris un temps monstre pour faire partir le tout, et puis enfin, sa voix s'éleva a nouveau dans les airs .

- Et ... Et quand je me suis rendu compte de ce qui se passé et que ... et que je voulais aller voir, l'homme ... l'homme il était loin et je voulais le ... l'enfant mais ... il mort ... dans .... sang .

Cette fois d'autre larme coulèrent de ses yeux bleu incapable de les arrêter ou de dire quoique ce soit, chacune coulant le long de ses joue blanche, devenu plus pâle encore a ce souvenir laissant des trainer blanche tout du long et finissant par s'échouer sur ses lèvre ou son menton pour tombé au sol, tandis que ses mains, cahcé sous la veste bleu se serrer fortement en poing au point d'en saigné .
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeSam 25 Juin - 14:59

- Ce matin au parc, un homme d'une quarantaine d'année a tuer un enfant, j'ai .. vu .... et D'un coup de sabre, il la percer son ventre et la ouvert .
Et ... Et quand je me suis rendu compte de ce qui se passé et que ... et que je voulais aller voir, l'homme ... l'homme il était loin et je voulais le ... l'enfant mais ... il mort ... dans .... sang .

Roy n’avait pas le choix. Malheureusement, il n’avait d’autre choix que de l’interroger.
Tout-à-l’heure, il avait demandé à Havoc d’enquêter sur la jeune femme. Il n’aimait pas ses méthodes, mais il n’avait pas le choix et devait respecter sa hiérarchie si il voulait parvenir à ses buts.
Mais en même temps, il y avait la morale et cette jeune femme. Il n’allait quand même pas la laisser dans cette situation.
On frappa à la porte et Roy donna l’ordre d’entrer. Havoc lui apporta une pochette ou était inscrites les données civiles de Niji.
Il les consulta tout en posant son regard sur la jeune femme.
Alors comme ça, elle aurait été adoptée. Mais en voyant le nom de son « père », il eut comme un choc : Le type qui était mentionné, avait été poursuivi pour avoir infligé des coups et blessures à des femmes.
Niji en faisait-elle partie ? Mais ça n’était pas tout. Il trouva un mot de Hughes lui indiquant qu’elle aurait été achetée au marché noir. Elle n’avait donc pas de papier ?

- Je sais que cela va être difficile mais il va falloir me décrire ce meurtrier. Il est possible qu’il soit un homme que nous recherchons actuellement.

Roy regardait toujours par la fenêtre.
- Mais avant, parlons plutôt de votre situation… Le rapport que j’ai entre mes mains indique que vous êtes comment dire ? Orpheline. L’homme qui vous a adopté a déjà été poursuivi pour avoir battu des jeunes femmes, mais à en juger par l’état de vos vêtements, vous veniez de la rue. Vous avez donc fui, mais sachez que vous ne tiendrez pas longtemps… Les contrôles de papier sont fréquents surtout à cette époque de l’année. Mais grâce à mon poste, je peux peut-être vous aider à obtenir des papiers et un logement.
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeSam 25 Juin - 15:56

Elle avait finit de pleurer, reprenant son calme et son air neutre et doux, comme d'habitude, la blancheur de neige de sa peau brillait maintenant sous le rayon du soleil qui filtrer de la fênetre, enfin, quelqu'un rentra quand la pièce et tendis un dossier a l'homme d'on elle ne connaisait toujours que le noms et il continua de parler l'air de rien et lui demanda une descritpion de l'homme, elle le ferais sans problème mais soudain, il leva les yeux du dossier et lui parla d'elle, elle n'avait pas de papier, pas d'état civil, pas d'âge, elle avait pas de papier et il lui dit qu'elle tiendrait pas longtemps et a la fin de sa phrase elle se recreoquevilla sur elle même ramenant ses genoux sous sa poitrine, et les entourant de ses bras elle pris une grande inspiration, d'un coup et encore plus lentement que quand elle comptait les faits elle dit :

- Vous ne savez pas ce que c'est ... être là dehors ... Soit je fuiyez ... soit je mourrais ... mes parents, ils m'on vendu, j'étais un tite' gamine qui demander rien a personne, et ce type, ce "Emil Obuto'' Il m'as acheter et il a fait un papier d'adoption, tout le monde la cru, qu'il n'avait adopter comme ça . J'étais sa bonne, son jouet, M'sieur Mustang, toute les femmes qui l'as frapper, j'l'ai connait toute, ces pauvre femme qui lui avait donné son coeur, il les frappé, ça le faisait rire ...

Pour la première fois de sa vie elle disait, elle parlait, elle avait presque jamais parler autant de toute sa vie, dans ses paroles couler une profonde sincèrité, une certaine détresse caché, quelque chose qui était beaucoup plus lourd que n'importe quel blessure, que n'importe quel mort, c'était son fantôme c'était ses douleurs, elle avait besoin, pour la première fois de sa vie, de se confier, malgré le faite qu'elle, qu'elle avait mal et qu'elle s'inquièter plus pour toute les autres femmes que pour sa propre situation . Pour la première fois de sa vie elle éprouvait le besoin de se confier, alors lentement elle se leva et lui fit face faisant glisser sa veste pendant qu'elle continuer son réçit, les larmes coulant de ses yeux alors qu'un sourire amer se dessiner sur ses lèvres .

- Mais les femmes adultes c'était moins marrent qu'une gosse de 13- 14 ans toute petite avec les cheveux rose, que sa soit a frapper ou a baiser et puis, un jour on comprend qu'on l'mérite pas et qu'on a le droit de vivre on se rebelle.

A nouveau elle imterompit son réçit, essayant d'essuyer les larmes trop nombreuse coulant le long de ses joues mais elle tomber lentement, tel un déluge immondant ses yeux, flouant sa vu et fermant les yeux poussant un rire ridiculement amer et acide elle lui tourna le dos, et se mis a genoux posa sa tête sur le sol les épaules secouer de spasme .

- Mais vous savez ce que c'est vous d'être éduquer chez quelqu'un qui passe votre temps a vous frappez même si vous voyez que lui et des domestiques ? Il vous promet le paradis et vcus donne l'enfer mais quand on a 14-15 ans on y crois, dur comme fer, parce que on veut esperer, mais lui il tape il vous touche parce qu'il a simplement envie

A présent, dans la même position elle laissait voir son dos marqué, la plus grande des cicatrices partant de son épaule droite et traverser tout son dos en diagonale pour finir sur sa hanche gauche, d'on une bonne partie, qui normalement descender sur sa cuisse a l'arrière et disparaissait a cette endroit, puis a celle -ci d'autre s'ajoute plus petite, plus fine, mais plus régulière repartie sur tout le dos et maintenant qu'elle comptait elle parler et se mordait les lèvres au point ou elle en saigner, et elle serrer les poings, jusqu'à en saigner a nouveau aussi et elle avait le front contre le sol alors qu'elle était a genoux et son regard était fixer sur le sol, oui, c'était cette position là qu'elle adapter quand elle se faisait frapper, quand elle sentait le cuir du fouet ou de la lame de son maître ecrocher sa peau

- Et il vous frappe jour après jour et une fois trop fort, beaucoup trop fort, avec une de ses invention, un fouet avec en guise de lamelle de cuir, une lame, souple et sa vous écorche et sa fait mal et vous voyez aucun médecin, vous faite les points de sutur tout seul parce que vous avez pas le choix et vous regrettez vous attendez la mort .

Elle était si crispé et chacun de ses mots lui faisait mal, lui faisait revoir la scène elle entendait a nouveau ses cris dans ses oreilles resonner dans une pièce noir et humide ou les cris était des échos .

- J'avais jamais vu autre chose que son visage, je connais rien au code et a la politique je sais juste cuisiner et faire de la mécanique me défendre avec un sabre aussi, j'ai pas de vêtements pas d'ami & sa fait 6 mois que je suis dehors, j'ai pas mangé depuis quelque jour, peut être même quelque semaine, mais quitte a crever comme un chien je veux plus jamais entendre parlé de lui ...

Elle tenta de se relever mais elle était a bout de force,a bout d'envie, a bout de but, elle ferma les yeux et se laissa tomber mollement au sol, les larmes coulant toujours de ses yeux bleu et des spasme la secouant encore, un peu d'affection, sans mauvaise attention, un rêve quel voulait atteindre un jour .
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeDim 26 Juin - 14:29

- Vous ne savez pas ce que c'est ... être là dehors ... Soit je fuiyez ... soit je mourrais ... mes parents, ils m'on vendu, j'étais un tite' gamine qui demander rien a personne, et ce type, ce "Emil Obuto'' Il m'as acheter et il a fait un papier d'adoption, tout le monde la cru, qu'il n'avait adopter comme ça . J'étais sa bonne, son jouet, M'sieur Mustang, toute les femmes qui l'as frapper, j'l'ai connait toute, ces pauvre femme qui lui avait donné son coeur, il les frappé, ça le faisait rire ...
Roy restait en retrait afin que la jeune femme puisse exprimer librement ce qu’elle avait à dire. Apparement, vu comment démarrait son récit, elle ne s’était pas confiée depuis un certain moment, voir jamais… Mais quand on vit dans la rue comment trouver quelqu’un de confiance ?
Il remarqua cependant qu’elle commençait à se dévetir de sa veste. Même si la vue était tentente, il ne regarda pas et la laissa continuer.

- Mais les femmes adultes c'était moins marrent qu'une gosse de 13- 14 ans toute petite avec les cheveux rose, que sa soit a frapper ou a baiser et puis, un jour on comprend qu'on l'mérite pas et qu'on a le droit de vivre on se rebelle.

Alors les informations qu’avaient l’armée étaient vrai… Ce type, en plus de les battre, les violait, de tout ce qu’il pouvait voir, les violeurs faisaient parties des affaires qu’ils traitaient avec le plus de violence.
Ces types ne méritaient pas de vivre. Dommage qu’il ne pouvait pas les bruler sur place.
Ça ferait du bien aux femmes et des vacances à la terre.

- Mais vous savez ce que c'est vous d'être éduquer chez quelqu'un qui passe votre temps a vous frappez même si vous voyez que lui et des domestiques ? Il vous promet le paradis et vcus donne l'enfer mais quand on a 14-15 ans on y crois, dur comme fer, parce que on veut esperer, mais lui il tape il vous touche parce qu'il a simplement envie

La jeune femme lui fit dos et s’agenouilla au sol et lui montra alors ces immenses cicatrices marquant son dos. Comment ce type avait-t-il osé faire cela à cette jeune femme ?
Il serra son poing de colère. Il valait mieux rester calme et prendre parti de Niji. La violence, elle avait assez vu, non ce qu’il lui fallait c’est avoir un foyer avec quelqu’un de droit et de stable.
Quelqu’un qui l’aiderait à se faire une situation et à supporter le poid de son passé. Quelqu’un sur qui elle pourrait compter simplement.

- Et il vous frappe jour après jour et une fois trop fort, beaucoup trop fort, avec une de ses invention, un fouet avec en guise de lamelle de cuir, une lame, souple et sa vous écorche et sa fait mal et vous voyez aucun médecin, vous faite les points de sutur tout seul parce que vous avez pas le choix et vous regrettez vous attendez la mort .
- J'avais jamais vu autre chose que son visage, je connais rien au code et a la politique je sais juste cuisiner et faire de la mécanique me défendre avec un sabre aussi, j'ai pas de vêtements pas d'ami & sa fait 6 mois que je suis dehors, j'ai pas mangé depuis quelque jour, peut être même quelque semaine, mais quitte a crever comme un chien je veux plus jamais entendre parlé de lui ...

Les yeux bleus de la jeune Niji se mirent à déverser des larmes. Roy s’agenouilla auprès d’elle et la regarda d’un air rassurant.
- Il ne vous fera plus jamais de mal, je vous le promets. Nous allons procéder à l’arrestation de ce type macabre dès aujourd’hui.Quant à moi, je vais me débrouiller pour qu’on vous obtienne des papiers rapidement mais pour ce qu’il est de votre logement, vous n’avez pas de travail, pas d’argent… Cela risque d’être difficile.

Bon d’accord, ses paroles n’étaient pas totalement rassurantes, mais après tout, il vivait seul chez lui et l’appartement était assez grand pour eux trois.
Oui eux trois, car récemment, Roy avait acquis un bébé berger allemand de six mois. Cela ferait de la compagnie à Niji en plus.
- J’ai peut-être une idée mais cela est à vous de décider. Mon appartement est assez grand pour nous deux. Je peux vous loger le temps de finaliser votre situation.
Vous n’aurez qu’à prendre ma chambre et je prendrai le canapé.
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeDim 26 Juin - 15:48

Elle ne savait pas quoi dire, elle était bloqué là, sans rien dire, sans rien, faire elle savait pas quoi dire, elle était traumatisé, est-ce possible de fournir autant de gentilesse d'une seule fois ? Il en était peu sur, après tout, le monde extérieur était tout ce qu'il y a de plus inconnu, comme un petit enfant, qui apprend a marché, mais ce qu'elle savait c'est qu'elle n'avait pas vu de regard plus sincère et plus doux depuis, depuis quelque année déjà, alors sans avoir pourquoi, elle se jetta dans ses bras, nouant ses bras autour de son cou et s'y mit a pleurer, laissant des spasme lui parcourir l'échine mais dans tout les cas, aucun son ne sortait de sa bouche, aucun sanglottement, aucun bruit . Cela, sans non moins choqué quelqu'un était simplement dû au faite que elle ne devait pas faire de bruit la nuit quand elle pleurer, elle se demander, pour les papier quel informartion elle devait donné .

Enfin, voyant son geste elle le lâcha et recula quelque peu, recupererant, la beste donné et le serra dans ses mains fermenent, nerveusement tandis qu'elle la remettait sur le dos cachant a nouveau ses cicatrices, les marques d'un passé blessant, puis elle se leva et a nouveau s'assieya sur la chaise, attrapant un pan de la jupe avec nervosité et le serrer de toute ses forces, maigre force a présent . Puis soudain, sur le côté du bureau elle vu un petit calendrier et y regarda et y lu la date, 14 mai ... fermant les yeux elle soupira, 14 Mai, elle ne savait pas si elle devait aimer ou détester cette date, 14 main c'éait, son anniversaire, c'était ... c'était le jour qui certifié que 365jour de plus c'était écouler depuis sa naissace, depuis combien de temps était elle sur terre maintenant ... dix-sept ans ? Non, dix-huit ans ? Oui. dix huit longue année et elle avait fuis qu'au bout de dix-sept ans, elle en avait presque honte, elle en aurait presque pleurer, sauf qu'elle avait déjà trop pleurer, et puis, son attention fut soudain a nouvea reporté, vivre chez lui. Elle avait ... peur, et pourtant elle voulait accrodé sa confiance a ce type, juste les acte de maintenant compte n'est-ce pas ? Si seulement ... si seulement ces actes ne sont pas regretter, par le futur peut être qu'elle en aura peur mais pour le moment .

- D'accord

Sa main tremblotter, signe de fatigue, signe de faiblesse, d'incertitude ou d'amertune, toute était là, réuni, elle reprenait doucement un air, serain, avec ses yeux habituellement bleu océan ou régner une profonde tristessen a présent, rouge et quelque peu gonfler, ses cheveux rose était comme a son habitude depuis qu'elle était dehors, ils était poussièreux et certaine feuille morte c'était coincé dedans, et papiollement de ses yeux qui lui bruler elle regarda dehors, dix-huit ans et personne pour le lui souhaiter, c'était tout de même triste n'est-ce pas .

A nouveau son ventre gronda, elle n'avait toujours pas touché au repas qu'on lui avait préparer, peut être devrait elle ... ? Non, non, elle n'osait pas, puis elle leva son regard doux vers le noir profond de Roy elle ne savait plus quoi, elle était fatiguée, c'était bien la première fois qu'elle parlait autant, d'habitude elle se contenter de lâcher deux trois phrase a droite et a gauche, pour changer de sujet, mais là, elle était, a court de mot, d'envie, juste .. juste, rien, peut être un bain chaud .

- Que voulez-vous ... savoir d'autre ?
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeDim 26 Juin - 16:14

Niji se jeta dans ses bras, passant ses bras autour de son cou. Elle pleura en silence.
Il lui rappelait son passé d’orphelin. Il n’avait jamais connu ses vrais parents, d’ailleurs il ne sait pas qui ils sont, ni s’il a des frères ou sœurs.
Heureusement qu’il était tombé sur Mme Chrismas. Mais l’heure n’était pas à penser à son passé, il devait se concentrer sur la femme qui avait besoin de son aide.
Quelques secondes plus tard, elle relâcha son geste, surement par gêne.
Mais ne comptez pas sur ce cher Colonel pour profiter de la situation. Bien qu’il aime les femmes, ils n’étaient pas du genre à chercher la facilité, ni à protéger de la situation.

La jeune adolescente se rhabilla alors et Roy ne la regarda pas. Elle se rassit et il remarqua qu’elle avait jeté un œil sur son calendrier.
Nous étions le 14 mai… Etait-ce une date importante pour elle ? Peu importe, pour le moment, il s’agissait de ne pas la brusquer.
- D'accord
Elle acceptait donc de vivre chez lui. Hum, elle prenait la bonne décision. Elle aurait tout le temps pour réapprendre à vivre et de toute façon il n’était presque jamais là…
Bon, fini de ramener une femme tous les soirs. Mais il préférait l’aider plutôt que de changer de lit quotidiennement, cela devenait épuisant, à force…
Il remarqua qu’elle n’avait rien mangé et qu’elle mourrait de faim. De l’ironie ?

- Que voulez-vous ... savoir d'autre ?
- Je ne veux rien savoir, pour le moment… Cependant si tu désires savoir des choses sur moi, je te laisse me poser toutes les questions que tu voudras. Mais seulement à la condition que tu manges ton assiette. Après, si tu le désires, nous irons en ville t’acheter des affaires. Tu ne me devras rien, je fais tout cela de ma propre initiative.
Oui, Roy voulait sincèrement l’aider. Parce qu’elle le touchait et parce qu’elle ne méritait pas tout ce qu’elle avait vécu.
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeDim 26 Juin - 16:57

Avec instance elle regardait l'assiette, dans les deux cas elle ne savait pas quoi faire ou pas quoi dire, mais pour une fois elle écouta son ventre, prenant délicatement ses couvert de ses longue main fine elle commença doucement a couper la viande morceau par morceau et a la morceau et a la manger, c'était bon, c'était très bon, voir trop bon, sa faisait tellement qu'elle n'en avait pas mangé, depuis Éliana ? Mais sa date quand même un peu, une ou deux semaine, en faite, elle ne savais même pas combien cela faisait t-il de temps qu'elle n'avait pas mangé, c'était confus, mais sa faisait tellement longtemps que son estomac avait du se rétrécir et a peine eu t-il finis de mangé sa viande, qu'elle savait qu'elle ne pourrait pas tout manger, dommage, c'était vraiment bon, elle pensa tout de même a mangé un peu de légume et mangea un des carré de chocolat en guise de désert, bien que cela était très génant de manger devant quelqu'un, elle en avait fnit par, par quoi ? Par manger doucement, delicatement et ne manger que la moitié de son assiette, manque d'appétit, elle ne savait pas vivre, elle avait oublié ? Oublier ou, on ne lui avait jamais appris . A porter de vu, elle était mieux éléver que la plupart des jeunes gens que l'on croise elle disait bonjour, ne couper jamais la parole, l'a prenait même que quand on lui autorisé, pareillement pour ce qui était de partir de venir, ou même simplement de s'assoir, elle demander toujours l'autorisation de partir parfois a l'extrém des jours chez mon "maître'' elle demandait l'autorisation de dormir. Petit a petit, elle considérait cela comme un passé résolus ...

- Des question ... euto ... pourquoi vous voulez m'aidez autant ? ... C'est la politique ?

Aie, aie, aie, elle avait des cours a prendre aussi, sur la politique, et l'oganisation du pays, parce que, cette jeune fille était perdu, Elle avait pris un livre d'histoire une fois mais sans plus, elle était surtout préocuper ce jour là par le faite de savoir si elle allait être retrouvé ou pas, en faite, elle avait peur de sa réaction face a lui, elle pouvait très bien se défendre, elle avait son sabre après tout, sabre qu'elle avait dû laisser a l'entrée de la fraterie de l'armée, il était maintenant sous bonne mains d'une des femmes de l'acceuil, elle avait dû le laisser pour prouver sa bonne fois avec ses outils et ses dagues rester plus que sa clé a molette dans sa botte, de toute façon, elle aimait pas mentir, sa servait a rien, sa faisait pas avancer les choses .

Poussant un soupir elle joua avec ses doigts, encore gener, et puis il lui avait proposer d'aller lui acheter des vêtements, elle devait dire oui ou non alors ? Mais elle savait pas, elle dirait jamais oui de son propre grés, elle était trop timide, pourtant elle savait ne pas l'être parfois elle jouer de ses charmes pour pas grand chose mais elle en jouer, le banlanger le soir avant qu'il ferme pour avoir un gâteau, ou quand elle avait besoin de matériel pour ses androide qui marche en faisant 'pop' comme sont surnoms, c'était un domestique en cuisine qui c'était mit a l'appeler comme ça, c'était son ami, son seul ami vrai dire et le seul homme, il c'était jamais fait taper lui et puis, elle se souvient, y'a trois ans, il y avait offret un trousse a outil pour son anniver .. elle secoua la tête chassant ses pensées, c'était normal d'y pensé apparament, mais pas le moment .

Elle soupira, ne répondant pas a sa dernière phrase .

- Alors les gentils existe hein ?

C'était une remarque en l'air, peut être même des pensées a voix haute enfantine mais réaliste c'était la deuxième personne a la sortir de son enfer .
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeDim 26 Juin - 17:20

- Des question ... euto ... pourquoi vous voulez m'aidez autant ? ... C'est la politique ?
La grande question… Mais elle avait tenu parole et manger son assiette, dégustant doucement la viande. Cela le fit sourire de la voir, ainsi. De la voir manger.
Au moins, cela lui prouvait qu’elle lui faisait, malgré son douloureux passé, un tout petit peu confiance. Ça n’était pas grand-chose, mais cela était un bon début.
Mais il ne fallait pas en demander trop. Il lui laissera le temps, peu importe ce qu’il faudra faire, et puis, il avait son fidèle lieutenant en cas de problème.
- Je vous aide parce que j’ai ai simplement envie. Pas parce que ma hiérarchie m’y oblige. Je pourrais très bien vous laisser entre leur main et vous serez immédiatement expulsé. Mais vous ne méritez pas ça, vous méritez le bonheur et si je peux aider à l’obtenir, je le ferai.
- Alors les gentils existe hein ?
- Calmez-vous, vous ne retournerez plus jamais là-bas et je m’occuperai personnellement des questions d’avenir de ces employés. Ils auront une situation régularisée, je vous le promets.
Mais pour le moment, il faut penser à vous.

Il partit quelques instants de son bureau et ramena à nouveau le même plat que Niji venait de manger.
- Mangez, vous en avez besoin et si vous en revoulez, demandez-moi.
Le Colonel repartit à la fenêtre et regarda Central. Décidément cette capitale pouvait être bonheur comme malheur, paradis ou enfer.
Il se souvint alors d’une boutique que tenait Vanessa, une de ses nombreuses ex, elle faisait dans le chic et dans tous les styles à des bons prix.
- Je connais quelqu’un qui tient une boutique de vêtements en ville. Il y en a pour tous les styles. Terminez de manger et nous allons y aller. Et si vous voulez, ce soir, je vous emmène manger dans un restaurant. A moins que vous ne préféreriez aller voir mon appartement avant. Quant à vos papiers, c’est vous qui décidez lorsque vous serez prête à me donner des renseignements sur vous, je ne veux pas vous brusquez. Je veux juste que vous me fassiez confiance même si cela est difficile… Je sais que cela prendra du temps, certes. Mais sachez qu’il existe des bonnes personnes dans ce bas monde, il en existe peu mais il en existe.
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeMar 28 Juin - 9:26

Elle écoutait avec attention ses paroles, comme quelqu'un qui était passioner, elle le fixait simplement, dans les yeux, avec respect, sa façon de le remercier, elle avait pas grand chose a dire, elle parlait rarement, pourtant beaucoup de gens la considèrer comme bavarde, avec le peu de parole a dire, en faite, il n'y a qu'une chose ou elle parlait c'est quand il s'agissait de sa passion, la mécanique, elle aimait bien parlait de ça, elle était très douer, c'est bien la seule chose que son "maître" avait accepter de lui payer des études, elle avait travailler sur toute sorte de métaux, les automail n'avait aucun secret pour elle mais ce qu'elle préfèrait faire c'était les petit androide qui marche, ça met longtemps a faire, mais il y avait un beau resultat finale. Mais je mégare, la question n'était pas là c'était surtout de savoir si elle pouvait le croire au non, non elle en était même plus là, elle le croyait, sinon elle aurait dit, oui, lire dans les yeux desgens, c'était simple, quand les gens mente, il y a une petite flamme qui s'éteint.

Elle regardait l'homme partir vers la fenêtre elle savait toujours pas son prénoms et elle aimait bien ses vêtements, sa petit haut de maillot de bain blanc, et sa mini jupe punks avec ses deux porte jaretelle ou elle y coincer ses dagues, avec pour chaussure ses new-rock, bien dur, dans lesquelle elle pouvait caché facilement une arme . Certes en hiver elle avait froid pas qu'un peu, une année elle était devenu bleu, ce qui en soit était assez étrange et quand le soleil taper trop fort, elle devenait rouge, oui, en faite changer de vêtements ne serait pas de refus, mais avec la couleur de ces cheveux il valait mieux prendre quelque chose d'unis et de sombre . Mais bref elle en était pas là, des informations sur elle alors hein ? Poussant un soupir elle lâcha d'une traite, de sa petite voix fluette et timide .

- Niji Obuto, née le 14 mai 1892 ( si on est en 1910 ) lieu de naissance inconnu et euh, la taille peut être, 1mètre 50 pour 35 kilose .

Elle soupira, dis comme ça elle était maigre, on pourrait la prendre pour une anoresique, non, elle était juste mal nourris elle pouvait manger parfois une fois par semaine, et se qui rétrecissait son estomac et qui faisait qu'a cette instant elle ne mangeait pas le deuxième plateau, un deuxième soupir passa ses lèvres alors qu'elle regardait la silhouette a la fenetre de l'homme, elle devait choisir, elle n'aimait pas choisir, elle ne voulait pas choisir, il fallait qu'il la pousse un peu si il voulait quelque chose d'elle. Elle était comme ça parce qu'elle avait peur ? Peut d'être décut a nouveau ? Peut être qui sais. Ce qui était sur c'est qu'elle aimait bien cette homme, pas au point de lui accroder toute sa confiance tout de suite, mais assez pour laissé un faible sourire passer ses lèvres a ce moment là .

Niji a ce moment là, au moment ou elle sourit qu'il y avait des gens bien étrange dans ce monde prét a aider une étrange parce qu'elle venait d'abord juste parler d'un meurtre, c'était touchant, assez pour qu'elle ai a nouveau envis de pleurer alors qu'un mince sourire rester sur son visage, Parfois quand elle était seul dehors, il lui arrivait de ferme les yeux et de se demander ce qu'aurait était sa vie si elle n'avait pas était vendu, ou si ses parents avait eu des sous, ce qu'il se serait passé, jour après jour dans ce genre de situation elle aurait était une petite fille, une petite rose nourris, elle ferais surment trois kilos de plus, sa tête serait peut être quelque chose remplie de rayon de soleil, l'espoir, l'envis , l'amour & l'amitié elle y croirait surement .

Oui elle avait finit par toute oublier, toute abandonnée dans cette vie, loins d'être paisible, dehors le monde et dur, parce qu'elle ne le connaisait pas et qu'on lacher une petite souris dans une cage a fauve,

- Vous faite partie de ses gens gentil monsieur Mustang .
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeMar 28 Juin - 9:41

- Niji Obuto, née le 14 mai 1892 ( si on est en 1910 ) lieu de naissance inconnu et euh, la taille peut être, 1mètre 50 pour 35 kilos.
Roy sourit. Elle en était déjà à lui livrer les informations ? Eh bien… Il les nota sur un calepin puis fit venir son sous-lieutenant Breda, à qui il ordonna d’aller donner ce message à Maes afin qu’il fasse le nécessaire.
Le soldat s’exécuta rapidement, saluant au passage la jeune femme aux cheveux roses.
Le Colonel remarqua également qu’elle n’avait pas touché à son assiette, mais à la regarder, on comprenait bien vite qu’elle était anorexique. Il l’emmènerait également voir un médecin. Et un médecin de l’armée, pas un de ces hommes qui se prétendent spécialistes en ville.
Niji esquissa alors un sourire. Il la trouvait belle lorsqu’elle souriait, enfin encore plus belle que lorsqu’elle regardait ailleurs. Parce que pour lui, cette fille venait d’ailleurs.

- Vous faite partie de ses gens gentil monsieur Mustang .
- Vous pouvez m’appeler Roy. Et me tutoyer aussi, si cela ne vous gêne pas, bien entendu.
A son tour, l’homme lui sourit.
- Alors comme ça vous avez 18 ans ? Souriez, la jeunesse ne passe qu’une fois. Je sais que vous avez vécu des épreuves dures mais si vous ne vivez pas maintenant, quand le ferez-vous ? Lorsqu’il sera trop tard ? Je vais vous dire quelque chose de peu de personnes savent. Je suis orphelin, je ne connais pas mes parents, d’ailleurs je ne sais pas si j’ai des frères ou des sœurs. Mais contrairement à vous je suis bien tombé. Mais peu importe, aujourd’hui j’ai promis que je vous aiderai et je tiendrai ma parole.
On frappa à nouveau à la porte. Il s’agissait de ce cher Breda qui revenait avec un message du lieutenant-colonel Hughes, lui disant qu’il prenait l’affaire en main et qu’il préparait un dossier pour elle.
- Eh bien, les bonnes nouvelles s’enchainent, le lieutenant-colonel Hughes s’est déjà mis à travailler sur votre dossier et croyez-moi avec lui, on a des résultats rapides…
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeMar 28 Juin - 16:50

Roy, c'était un jolie non ça, Roy, aussi Jolie que l'homme qui l'était, mais ça on s'en fiche un peu non, et puis il lui parlait de ses dix huit ans, il fallait vivre ? C'est dur de vivre avec un passé aussi gros, quand elle était la-bas jour après jour elle avauit envie de mourir, oh oui, bien sur, elle l'attendait, elle est peut être folle maso, et dépressive Niji mais pas suicidaire, elle avait jamais fait une seule tentative, elle voulait que sa soit son maître qui la tue, qui la tue pourquoi ? Pour qu'elle arrête de souffrir et qu'elle cesse de le considere comme son père, mais aujourd'hui elle avait réussi, du moins un peu, et puis lui aussi il parla un peu de lui. Orphelin, triste histoire, a partir du moment ou on a pas de parent, on est sans le vouloir un peu triste, parce que, qui nous a mis au monde, qui a pas voulu de nous, est-ce qu'on est un monstre, les questions elle, elle se bouscule dans le tête, a bas la vie, juste les question, les remord et les ressentiments qui nous ronge, alors oui, il devait avoir mal .

Quelqu'un entra dans la pièce et la salua, Niji, alors par politesse souris a son tour et le salua, sourire forçais qui faisait vrai, trop vrai, pourtant elle avait jamais fait de théatre, c'est comme ça, c'est tout, on cherche pas a comprendre, c'est la ... vie ? Si l'on veut. La vie, c'était la seule chose que Niji haissait, haissait au point, de d'en vouloir mourir, Elle était comme ça la petite rose, et je ne sais pas moi même si l'on peu la changer, mais, peut de personne la connaise, parce que elle a pas d'ami, enfin, si l'on veut, une gamine de neuf ans, mais elle l'aimait bien et puis Èlianna, même si, c'est une autre histoire . L'homme partie après, tant mieux ? Presque Niji elle était pas très sociale, pourtant, elle était douce, elle était gentille elle était, un petite ange, oui c'est ça, un petit ange au aile arracher ou un chaton abandonner, les gens l'aime ou la déteste, l'aime parce que elle est mignone et elle est douce, facile a manipuler et la déteste parce que, justement, elle est douce elle es toute seule et facile a manipuler, cible parfait des méchants, pourtant, elle savait aussi être méchante, je le jure, elle le sait, seulement quand il le faut, pourquoi sinon serait-elle aussi bien armée ?

Souvent elle était comme ça la petite rose, rêveuse, pensive, les yeux dans le vague, comme une écolière en vacances, comme un chat qui dort, c'est mignon, et ses yeux bleu se perdait, son visage prenait un autre visage, une douceur sans borgne qui semblait dire a tout le monde " viens je t'écoute " et les hommes sont attiré par ça, non pas par la gentilesse mais par la beauté et ça lui faisait mal comment avoir des amis dans ses circonstance .

L'homme a nouveau rentra et apporta un dossier a a Roy Mustang et repartie a nouveau, elle était toujours perdu dans la comtemplation de son verre, verre de lait, elle le prit et le bu, elle avait soif, le lait c'est bon et puis, sa voix la sortie de ses pensées levant la tête vers lui elle l'écouta .

Bonne nouvelle alors, chouette, d'une certaine façon et puis, cette joie qui l'envahissait, qui prenait place dans son coeur et dans son âme c'était quoi ? C'était doux et tendre, c'était comme le toucher d'un rayon de soleil sur sa peau c'était ...

- Merci ...

Les seules mots qu'elle prononçait en baissant la tête .
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeMer 29 Juin - 9:09

- Ne me remerciez pas. Remercier plutôt mon ami le Lieutenant-colonel Hughes.
Il remarqua alors qu’elle avait bu tout son verre de lait. Tant mieux, cela prouvait qu’elle reprenait un peu confiance en elle et peut-être en lui, du moins un petit peu.
Puis soudain, la porte s’ouvrit brusquement. Il s’agissait du commandant Alex Louis Armstrong, qui salua très respectueusement la jeune femme et se présenta à elle, comme le successeur de la famille Armstrong.

Puis, il tourna la tête vers moi et me demanda de le suivre dans le couloir. Je m’exécutai puis il me parla du dossier qu’il avait en main, celui qui concernait son maître.
Apparemment, il s’agissait d’un pervers qui restait très malin. Il fallait donc l’appâter mais pour cela il aurait besoin de quelqu’un et alors, la tête de ami pris un air triste.
Je lui criai de me dire où il voulait en venir. Il m’annonça alors qu’il avait été décidé par les supérieurs d’utiliser Niji comme appât.
Bien sur, le discours habituel fut le même : nous serons derrière et au moindre problème nous interviendrons.
Et si ce type la tuait ? Il y avait pensé à ça, les supérieurs ? Non, comme d’habitude en fait.
Je promis au commandant d’en parler à la jeune femme. Mais cette idée ne me plaisait pas. Je ne voulais pas qu’il lui arrive quelque chose.

Je rentrai dans le bureau et à nouveau, je me dirigeai vers la fenêtre et mon air était devenu sombre, Niji l’avait bien remarqué.
- Je dois vous demander une chose. Une chose dure. Les hauts dirigeants de l’armée ont ordonné d’arrêter votre maître comme je vous l’avais promis. Cependant, je ne vais pas vous mentir, ils veulent que vous serviez d’appât. Même si nous serons derrière, il pourra vous arriver quelque chose. J’ignore si ce type sera capable de vous tuer, mais je le pense fortement. J’ai donc pensé à une autre solution, si vous êtes d’accord. Selon nos renseignements, vous êtes une excellente mécanicienne n’est-ce pas ? Je pourrai très bien aller voir votre maître et prétendre avoir besoin de vous au plus vite. Je n’aurai qu’à lui proposer une grosse somme d’argent. Et avec des techniques que vous n’avez pas besoin de savoir, je le ferai parler et alors là, je pourrai l’arrêter. Mais je ferai cela uniquement avec votre accord. C’est à vous de décider.

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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeLun 4 Juil - 15:34

Seule dans le bureau elle attendait que Roy Mustang revienne, elle était patiente très patiente, douce et gentille aussi, mais briser, oui, son âme était quelque chose de triste et de briser et l'aura qui l'entourais laisser bercer n'importe qui dans l'illusion non, dans une réelle douceur qui lui était propre, elle aimait rendre service elle n'avait pas trop de limite, elle était une petite poupée, surtout quand il s'agissait de son maître, alors elle allait les aidé, parce que c'était ainsi . Alors elle avait vu cette homme son ange gardien comme elle se plaiser a le considérer, rentré a nouveau dans la pièce l'air sombre et renfermé, surement quelque chose ne lui avait pas plus et alors, surement lui qui avait crier ainsi , la sortant précédament et profondement de ses pensées, puis soudain il se mit a parlé, il y avait un étrange rage dans son regard. Lentement, et au fur est a meusure de ses paroles, les yeux de Niji se tintérent de quelque chose qu'elle redouter, quelque chose d'étrange plutôt une étrange lueur sombre, et son regard brillant et noir, changea, devenant plus sombre plus renfermer tandis que ses lèvres se pincèrent et se mirent a tremblotter, elle devait les aidé, les aidé a l'arrêter, oui, c'est ça .

Sans dire mot et lentement Niji se leva, retirant la veste qu'elle avait laissant a nouveau juste son haut de maillot de bain sur elle et remis sa mini jupe punks, se décoiffant les cheveux les laissant tomber en casacade dans son dos, lentement, laissant la rivière rose reprendre place, laissant sa mèche rose couvrir ses yeux, ne laissant transparaitre aucune émotion et elle se dirigea vers Roy lui attrapant la main et le tira doucement, puis plus fermenent en dehors de la pièce sortant du bureau et longeant le couloir, les diverse regard tourné vers elle, surprise et étrangeté d'autre personne les suivirent du regard un moment avant de repartir travailler l'air de rien et enfin, a l'acceuil elle demanda ses effets et on lui rendis, son long sabre dans un fourreau blanc, qu'elle remit avec une certaine douceur dans son dos puis ses outils dans une ceinture en cuir marrons, qu'elle replaça autour de ses hanches, enfin, deux dague sans fourreau qu'elle remit dans ses porte jarretel en faisant attention a ne pas se couper et pour finir une arme a feu, un vieux modèle de silex, un fusil a roulette, 6 balle, dans laquel il n'en rester qu'une, elle allait le ranger, puis d'un coup elle se retourna vers le colonelle et lui mis dans les mains, là ou son arme de service était aussi .

Elle ouvrit la bouche pour parler pour lui expliquer pourquoi elle lui laisser, pourquoi il ne rester qu'une balle mais aucun son ne sortie alors elle referma la bouche, lui repris la main et sortie du bâtiment, se dirigeant vers le nord elle marcha un long moment, sans défaillir sans lâcher la mains de Roy, la serrant même de plus en plus qu'elle avancer son ventre se tordais de rage et de douleur enfin, au loin, on pus apperçevoir un manoir et s'arrêtant elle alla coller son dos contre un arbre et pila les genoux, posant les main dessus et courbant le dos, son souffle court, les souvenir envahissant un a un sa mémoire, les coups et la douleur revenant dans sa tête .

Fermant lentement les yeux elle repris son souffle et enleva a nouveau son sabre le laissant au sol et fit de même pour ses dague et enfin, enlevant sa botte droite elle retira la clé a molette a l'intérieur. A présent entirement desarmé elle tourna son regard pleine de tristesse vers Roy et lui sourit comme un adieu, et dit une dernière fois étrangement .

- Regardez juste, vous aurez vos preuve après .

Elle lui tourna le dos et commença a aller au devant, faisant un pas devant elle puis un large sourire s'étira sur ses lèvres, étange sourire que peut de personne pouvait un jour aperçevoir et ainsi, se retournant elle posa furtivement ses lèvres sur celle du colonelle et partie cette fois droit devant elle, peut être allait elle mourir, peut être pas, mais au moins, elle aurait marqué ce jeune homme, elle lui aurait montré la dernière facette de sa personnalité en l'embrassant, sa perversité .

Là ou elle avait laisser l'homme était l'endroit le plus stratégique du manoir, il laissait voir tout le chemin suineux qui mener a la porte d'entré qui se trouvé a 200 mètre devant, mais ne laissait par contre pas entendreles conversation.

Enfin, elle arriva a la porte, ce fut rapide et elle toqua, bientôt quelqu'un vint lui ouvrir, le majordome qui la regarda gentiment avant de la prendre dans ses bras et de lui sourire tristement, lui aussi il savait, la porte s'ouvrit en grand laissant le palier d'une grande maison vide ouverte et pendant se temps Niji mit un genoux au sol et baissa la tête restant dans cette position jusqu'à ce que ce que son maître apparaisse .

On aurait pus dire qu'il s'agissait d'un vieux pervers comme la plupart des fous où des pédophiles mais il n'en était rien, le maître de Niji, Émil Obuto était une homme de grande taille beau, plus que beau même, il était un grand blond au cheveux agréablement mis en pagaille, et au grand yeux bleu profond, il avait une apparance froide et des vêtements blanc, on aurait pu le comparé a un ange, mais a nouveau il n'en était rien, nombre de femme tombé sous son jaug furent bien souvent battu, mais l'amour qu'elle lui porter empecher chacune d'elle de porter plainte, mais leurs amis, chaque fois s'inquiete et toute finirent par le quitter. Niji, elle était ... ça fille, sa domestique, son esclave, il était riche il était beau et personne se devait de le contredire. La jeune fille n'avait connu que lui et pour lui elle avait toujours tout fait, mais parfois certaine limite son atteinte et enfin, elle était partie, elle voulait connaitre le monde d'elle même .

Lui, a la porte baissa la tête vers la la petite rose alors que dans la main du grand blond se tenait une arme, un étrange fouet tandis qu'a la place de la lanière en cuir habituelle se tenait une lame de metale souple, un sourire étrange apparut sur les lèvres de l'ange blond et ses lèvre remurent pour parler, mais a part Niji personne ne pus entendre.

- Redresse toi .

Obeissante et yeux baisser elle se redressa, se leant et lui faisant face, la tête et les yeux basse quand la grande main blond de son maître s'abbatie violent sur son visage, laissant déjà une trace rouge apparaitre sur sa joue et la faisant tanguer et tomber allonger sol, mais n'ayant reçut aucun ordre elle resta ainsi sans bouger, al respiration toujours calme et aucune larme ne coulant de ses yeux .

- J'ai dit redresse toi

A nouveau elle se redressa et a nouveau elle se pris une gifle, la faisant a nouveau tombé et a nouveau il lui donna l'ordre de se relever. Puis enfin, il porta sa douce et grande main sur gorge de la petite rose si douce et si grâcile, se mettant a la caresser doucement, l'air de rien pensif, cherchant surement un moyen doux de la punir puis il dit .

- Ma fille, ma chère fille a toi que j'ai tout donné regarde moi

Elle leva ses yeux se contenta de regarder ses lèvre n'ayant aucun droit de le regarder dans les yeux, les siens a elle, bleu et profond était juste triste et éteint, comme si une chandelle venait de se fermer, elle était si petite du haut de ses 1m50 et lui ... si grand du haut de ses 1m80 et il était si musclé.

La main autour de sa gorge commença a la serrer lentement, faisait duré un certain supplice, la faisant d'abord haleter, puis lui coupant complètement la respiration, et lentement on la souleva du sol sans difficulté ambiante, la faisant voler, la mettant un mètre au dessus du sol, les jambes dans le vide, ce n'était pas dur me dirais vous quand on fait trente cinq kilos . Et lui la seule réflection qu'il trouva a dire fut .

- Tu as grossi ma fille .

Une sale moue s'étira sur son visage tandis qu'il enssera un peu plus sa gorge et que la deuxième main de l'homme se leva lâchant l'arme fabriquation maison et se mit a se balader sur son corps, caressant l'intérieur de sa cuisse et montant encore jusqu'à caresser son entre-jambe, toujours elle ne dit rien et son souffle déjà couper se mit a se faire rare, lentement elle tourner de l'oeil, elle aurait voulu se débattre mais les régles rester les régles elle ne devait pas toucher son maître elle ne leva pas la main, même quand elle tomba dans une semi inconsience et qu'autour d'elle elle n'entendait que très vaguement les bruits ...

Son maître regarda le corps de la jeune fille a présent dans une inconsience certaine et la lâchant, la regardant s'écraser au sol, et ne dit rien, se contentant de sourire puis il se tourna vers son majordome et montra du doigt la jeune fille .

- Emmène mon jouet a l'intérieur
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeLun 4 Juil - 20:44

Niji retira l’uniforme que l’armée lui avait donné pour remettre ses vêtements qu’elle portait à son arrivée.
Bien sûr, cela ne me plaisait en aucun cas de lui demander son aide, j’aurai largement préféré qu’elle reste ici, en lieu sûr, auprès de mon lieutenant par exemple ou encore du commandant Alex Louis Armstrong.
Malheureusement, les ordres étaient les ordres et aujourd’hui, personne n’était là pour le couvrir et il devait donc protéger seul Niji. Peu importe les moyens, si il devait brûler cet homme, il le fera.
J’avais promis à Niji de l’aider et je tenais toujours parole.
Nous quittions le bureau et marchions maintenant dans le couloir. Beaucoup de mes collègues nous regardaient, très surpris. Au début, je n’avais pas compris pourquoi mais bientôt, je sentis une sensation à ma main gauche, en effet la jeune femme avait mis sa main dans la mienne et plus nous avancions, plus elle la serrait fort, cela me donna à penser qu’elle était morte de peur.
Je les dévisageai d’un regard noir et les soldats repartirent à leur poste.

Nous étions maintenant à l’accueil et la secrétaire rendit à Niji toutes ces affaires. Son sabre, sa ceinture, ses deux dagues et une arme à feu, qu’après quelques secondes à avoir hésité, me remit.
Sur le coup, je ne compris pas pourquoi. Elle avait voulu m’expliquer mais aucun son n’était sortie de ses magnifiques lèvres. Mais il est dur d’expliquer ces choses-là, alors je ne lui demandai rien et me contentai de la suivre, la laissant guider mes pas.

Plus nous avancions et plus je la sentais faiblir… Si ça n’en tenait qu’à moi, je lui aurai fait faire demi-tour et l’aurai mis en lieu sûr. Mais sans preuve, je ne pouvais rien faire et si il serait difficile d’expliquer à King Bradley pourquoi j’avais tué cet homme… Surtout un homme riche…
Qui sait, si j’avais l’occasion de le bruler, je le ferai sans hésitation et qui sait, peut-être que Niji serait soulagé et qu’elle pourra enfin vivre en paix ?

Nous continuons de marcher et la jeune femme s’arrêta près d’un arbre contre lequel elle se cala. Elle délaissa ses armes et se replia sur elle-même. Tout son passé lui revenait -il en tête ?
Je l’ignorai. Mais je la voyais triste et je me sentais coupable. Niji posa son regard dans le mien et me sourit, cela ressemblait à un adieu.
- Regardez juste, vous aurez vos preuve après .
Elle se laissa aller à s’élancer devant moi, d’un geste déterminé. Puis brusquement, elle se retourna et déposa ses lèvres sur les miennes. Je ne su comment réagir… Oui moi, le Colonel qui fait la cour à chaque femme qui passe… Mais cette fille était différente, elle n’était pas comme les autres.
Mais je n’allai pas profiter de la situation… Je la laissai faire sans intervenir.
C’est ainsi qu’elle partit loin devant moi et me laissa seul, mais je compris vite que ça n’était pas un hasard. De là où j’étais, je pouvais voir tout ce qui se passait dans la maison.
A même pas deux cent mètres, elle frappa et un majordome lui ouvrit et la serra dans ses bras, mais quelques secondes plus tard, une silhouette imposante fit son apparition.

De ma cachette, je compris qu’il s’agissait de cet homme si macabre. Mon regard devint noir… Mais je ne devais pas intervenir maintenant, il fallait que j’attende.
Il était blond, portait des vetements blancs très distingués mais restait très mal coiffé selon moi. Il s’avançait de plus en plus vers Niji et moi ma rage montait.
Je remarquai qu’il tenait un fouet dans sa main… LE SALOP.
Il cria et Niji était à terre. Il se mit à la caresser doucement, puis lui empoigna la gorge et ceci fut mon signal, je n’allais pas tarder à intervenir.
Il continua ses caresse et moi, je me dissimulai dans le jardin tout en me rapprochant de l’entrée, je vis Niji, s’écroulée à bout de force. Tant mieux, elle ne verra pas le carnage.
Je vis que le domestique m’avait vu mais qu’il ne disait rien.

J’étais maintenant assez prêt lorsque l’homme ordonna qu’on emmène « son jouet ». Je provoque une étincelle qui éloigna le riche de sa victime et le majordome se chargea de la récupérer.
Je marchai quelques mètres puis me retrouva en face du salop.
A nouveau je provoquai des flammes qui commencèrent par bruler ses jambes et l’immobiliser. Il tomba à terre et hurla de douleur.
Mon regard devint haineux, je ne me contrôlai plus. Je brulai ses bras et il hurla comme un fou.
Puis, je sortis l’arme que m’avais donné Niji.
- C’est de la part de Niji. Crève Salop !
Je lui tirai une balle en pleine tête. Il s’écroula. Va dire bonjour à l'enfer.
Bon les leçons de tirs avec Riza avait porté ces fruits. Elle sera heureuse de l’apprendre. Maintenant, elle n’avait plus rien à craindre.

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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeMar 5 Juil - 7:15

La petite rose rester inconsiente au sol, sans bouger, avec une respiration difficile, sur sa gorge blanche et gracile s'étendait a présent une grande marque de main rouge s'étaler toute autour,, puis remontant sur son visage, deux marque de gifle, violente et a un endroit, l'ongle ayant froler la joue une égratinure s'étendait et du sang couler, il en était de même pour sa lèvre fendu qui saigner d'avoir ainsi était mordu pour éviter de crier . Alors que le corps du maître des lieu tomber, le majordome a la porte rester fixe et diverse sentiments passé sur son visage, le remerciment, le soulagement, puis le regard sage et brun de l'homme ce posa sur la jeune fille, son expression changea allant vers l'inquiètude, puis sans attendre ni sans plus de respect, il enjamba le corps dans vie de ce qui fut son maître et se mit a genoux vers la jeune fille, passant ses doigts sur sa groge, verifiant si elle respirait et enfin, la pris dans ses bras, la soulevant du sol, enfin, avec délicatesse et enfin, une fois cela fait se tourna vers Roy Mustang .

- Monsieur, avec toute ma gratitude je vous remercie d'avoir pris soin d'elle, je vous demanderais un dernier service, emenez-là loin de cette maison .

Sans même attendre de réponse il tandis les bras, tendant ainsi le corps inconsient de la jeune fille vers l'homme en souriant, pour qu'il puisse ainsi la prendre dans ses bras sans rien dire, un sourire apparaissant sur ses lèvre, laissant se creuser deux petite ride au coin des lèvres, laissant briller un certain éclat dans ses yeux, a cette vu on aurait pus croire qu'il était bien rare quand il souriait ce qui était vrai en un sens .

- Il faudrait qu'elle ne vois plus cette maison pour que son sourire reste vrai, c'est une brave petite elle ne mérite pas ça , personne ne le mérite, et elle n'a jamais rien dit, elle ne c'est jamais plaint et n'a jamais pleurer devant personne, si un jour elle le fait, prenait là dans vos bras pour lui montré que vous êtes là

Il se tus, baissant le regard vers la jeune fille et s'éloigna plus loin, vers l'arbre et les buissons là ou elle avait laisser ses armes et là déposa au sol, l'allongeant doucement et soudain, elle se mit a tousser et dans un mouvement de panique elle posa une main sur sa gorge en ouvrant grand la bouche, mais aucun son ne sortie, son maître avait dû appuyer sur les corde vocale ce qui n'était pas forcement bon, elle serait privé de sa voix un moment .

Elle leva les yeux et enfin, regarda les deux hommes face a elle, un civile et un militaire et leur sourit tout deux leur montrant qu'elle va bien, puis elle passa sa main sur sa joue essuyant le sang qui en coula et porta son doigt a ses lèvre, le sucant quelque peu, puis soupira en toussant . Lentement elle tenta de se relever en s'accrochant a l'arbre mais peine perdu, un fois debout ses jambes la lâcheèrent et elle se mit a tomber devant elle sur l'un des deux hommes, contre une torse musclé contre Roy quoi. Du mieux qu'elle pu malgré sa voix elle souffla un pardon .

- Allons bon, lâcha le vieux majordome, partez maintenant, vu que monsieur et de l'armée il pourra faire venir d'autre personne maintenant ?

Ainsi poser, elle continua de s'accrocher a Roy pour pouvoir tenir debout .
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeMar 5 Juil - 7:51

Ca y es, tout était fini. Elle allait pouvoir vivre tranquillement. Le serviteur enjamba le corps de l’homme mort et s’agenouilla près de Niji et contrôla qu’elle respirait encore.
Bien que le fou l’ait sévèrement amoché, elle était vivante.
Il l’a prit dans ses bras et se tourna vers moi.
- Monsieur, avec toute ma gratitude je vous remercie d'avoir pris soin d'elle, je vous demanderais un dernier service, emenez-là loin de cette maison .
Il me tendit le corps et je le pris dans mes bras.
- Il faudrait qu'elle ne vois plus cette maison pour que son sourire reste vrai, c'est une brave petite elle ne mérite pas ça , personne ne le mérite, et elle n'a jamais rien dit, elle ne c'est jamais plaint et n'a jamais pleurer devant personne, si un jour elle le fait, prenait là dans vos bras pour lui montré que vous êtes là
Je remarquai qu’il avait esquissé un sourire. Tant mieux, j’avais aidé des gens, bien que ce soit mon travail j’étais heureux.
Je pris Niji dans mes bras.
- Elle va venir vivre chez moi pour le moment. Je devrais lui obtenir des papiers d’identité rapidement et je m’occuperai d’elle comme il faudra, même si je sais que ça ne sera pas facile qu’elle m’accorde sa confiance.
Il déposa ensuite le corps de Niji, près de l’arbre ou elle avait laissé ses armes. La jeune femme ouvrit enfin les yeux mais aucun son ne sortit de sa gorge, amochée par l’homme.
- Je vais l’enmener voir un médecin. Et au restaurant aussi. Dis-je au majordome.
- - Allons bon, lâcha le vieux majordome, partez maintenant, vu que monsieur et de l'armée il pourra faire venir d'autre personne maintenant ?
- Je vais m’occuper de faire venir mes hommes. Ils feront un rapport et je m’occuperai personnellement que vous ayez de quoi vivre manger et vous loger.[/b
]Niji continua de s’accrocher à moi. Je demandai au majordome de me laisser téléphoner, ce qu’il fit. Je demandai au commandant Armstrong de venir s’occuper de l’affaire et de me laisser une voiture ç disposition.
Une petite vingtaine de minute, cela fut exécuté et je montai, aidant Niji s’installer à côté de moi.
Je démarrai et prenais le chemin d’un médecin que je connaissais bien.
[b]- Je t’emmène chez le médecin. Ensuite, nous irons où tu veux.
Je tâchai de la regarder d’un air rassurant, lui disant que c’était terminé et qu’elle maintenant elle pouvait s’autoriser à vivre. Fini l’enfer, bonjour le paradis.
Roy allait prendre soin d’elle, elle pouvait en être sûr. Hughes ne tardera pas à obtenir ces papiers et elle sera libre, tout n’était que question de temps.
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeMar 5 Juil - 9:26

Dans la voiture elle regarder par la fenêtre l'air de rien, les yeux dans le vague, elle ne voulait plus penser a rien, elle était perdu dans la comtenplation bleu du ciel, sans nuage, brillant, pourquoi était-elle triste ? La souffrance ou la mort, ou simplement, la violence ? Rien de cela, son maître était un point de son passé, son maître son père, il était celui qui l'avait élever, même si, battu et toucher il était dans son esprit et son point de répère, c'est a cause de ses actes qu'elle avait appris la diffèrence entre le bien et le mal, et maintenant, il était plus ... C'était étrange de pensé ça, c'était un tout et un rien. Lentement elle ferma les yeux, laissant le néant l'envahir, oh non, elle était pas fatiguée ça certes plutôt, non, plutôt vidé, vidé de toute envie, alors, elle se contenta de serrer la main de Roy qu'elle garder toujours dans la sienne si petite, si frèle, son sabre était au sol, avec ses outils et ses dagues, plus par amour et amitié pour eu que par utilité a présent, quand elle était partie, de chez elle c'est tout ce qu'elle avait emporter, même pas de vêtement, ni même de la nourriture.

De ses yeux fermé et de ses lèvres rose entrouverte un doux soupir fendu les airs, tandis que ses yeux papillonèrent, tandis qu'un rayon de soleil passa la vitre de la voiture se déposant sur sa peau blanche faisant resortir son extrèm pâleur et ses yeux bleu océan aussi profond que celle ci se mirent a briller avec l'éclat du soleil, seul ses joues lègerement gonfler a présent et sa gorge était rouge . A nouveau elle toussa, prenant enfin, une nouvelle respiration profonde.

Elle tourna la tête vers Roy, l'écoutant parler, lui parlant d'un médecin, d'un médecin, ça faisant longtemps qu'elle n'en avait pas vu, voir jamais, il serait ravis de voir l'état de son dos de sa gorge et ses joue, délicatement elle posa sa main froide sur sa nuque endolorie, et grimça, sa faisait mal, elle avait oublier la goût de cette douleur, quand vous ne pouvez plus respirer, elle aurait bien aimé ce défendre a ce moment là mais, elle avait pas bouger pas sciller, ensuite, elle monta sa main sur ses joue gonfler, surement aurait-elle des bleus, de belle hématome, enfin, elle laissa son bras tomber le long de son corps, et désposa sa mains sur son ventre tout le temps dénuder, elle passa ses doigt le long de ses côtes qui resortait quelque peu elle était fine voir maigre, elle avait la corpulance d'une enfant de 15ans et pourtant elle en avait dix-huit, tanpis n'est-ce pas .

Elle tourna la tête vers Roy et lui dit un sourire qui se voulait rassurant, même si sourire aussi était douleureux mais peu importe, elle l'aimait bien Roy, O'ops elle avait pensé Roy elle se donna une gifle mentale et se repris, Monsieur Mustang, elle l'aimait bien, pourtant elle prenait des distances oui, comme toujours avec les gens, on le vois a comment elle nomme les gens étrane hein ? Mais elle savait pourquoi Niji c'est une Miss coeur d'artichaud, pauvre chéris déjà bien déçut par d'autre chose elle ne pensait plus a ce genre de chose.

Sa petite voix fluète et presque inaudible répondis a la question de l'homme.

- Juste un endroit calme, avec pas trop de monde .... s'il vous plait Monsieur Mustang

Et ainsi la voiture s'arrêta
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeMar 5 Juil - 10:20

- Juste un endroit calme, avec pas trop de monde .... s'il vous plait Monsieur Mustang.

La voiture s’arrêta. Nous étions devant chez le médecin. Je le connaissais bien. Non, il ne s’agissait pas du docteur Marco, mais un médecin que j’avais rencontré lors de la guerre d’Ishval.
Il avait quitté l’armée quelques mois après la fin de la guerre pour ouvrir son cabinet en ville et dès que nous avions des blessures « pas très légales » nous allions chez lui pour qu’il nous guérisse.

- Un endroit calme ? Hum… Je pourrais te proposer de t’emmener au cinéma ou manger une glace au parc enfin, si tu as une idée dis-moi, j’avoue que je préférerai que tu choisisses l’endroit, je ne veux pas te forcer la main…
Et sache que tu peux m’appeler Roy, je te l’ai déjà dit…

Je lui souris, puis nous descendons de la voiture. Je sonne au portail de la maison.
Mon ami vivait dans une maison à un étage au style contemporain. Il y avait un petit jardin aussi, qui donnait sur le derrière.
La secrétaire vint nous ouvrir et nous demanda de nous installer dans la salle d’attente. Il y avait un grand canapé et quelques chaises autour duquel était une petite table avec des vieux magazines posés dessus.

- Veux-tu que je t’accompagne pendant la consultation ou que je t’attende ici ?
Bon, d’accord, la question était un peu maladroite, mais si elle avait peur des gens en général, peut-être sa présence la rassurera-t-elle ?
- C’est un très bon ami à moi. Un bon médecin, je suis sur qu’il te fera vite remettre sur pieds. Maintenant qu’il est mort, tu peux penser à toi et à ton avenir. Et comme je te l’ai promis, je serai là à tes côtés.
Oui l’avenir, un grand mot, parfois inquiétant. Mais elle n’était pas seule, il l’aiderait, l’écouterait, serait là pour l’aider quand elle aurait besoin de lui.
Il ressortit un mot que Hughes avait donné à la jeune femme de l’accueil pour qu’elle lui remette.
- Nous avons rendez-vous demain matin pour tes papiers. Tiens, regarde.
Je lui donnai la feuille de papier pour qu’elle puisse constater que je disais la vérité.

Pendant ce temps, le porte du cabinet s’ouvrir et j’allai saluer mon ami lui expliquant la situation de Niji, évitant les détails un peu trop gênant. Il me répondit qu’il allait s’occuper d’elle.
- Viens Niji, le médecin va te recevoir.
C’est ainsi qu’ils entrèrent dans le bureau.
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeMar 5 Juil - 11:24

A nouveau un sourire fendis ses lèvre tandis qu'elle l'écouter parler, oui mais elle n'aimait pas choisir, elle irait ou il voulait mais qu'on ne la laisse pas choisir c'était, compliqué ? On va dire, elle n'avait pas l'habitude. L'habitude quel drôle de chose, vraiment. Même si elle savait qu'il faut savoir changer les habitude il était dur de s'y résoudre, dur, comme les coups, comme la vie, dur, son sourire fana quelque peu a ses pensées et elle se donna un claque mentale, encore, pourquoi ? Parce qu'elle pensait encore, si seulement on pouvait ne plus pensée sa serait bien, si pratique, doux ? On aurait plus de passé plus de futur aussi mais les deux aide n'est-ce pas .

- Je ne peux pas choisir Monsieur Mustang et .. je ne peux pas vous appelez comme vous le voudriez .

Il allait surement demander pourquoi ou alors il n'aurait pas le temps, la voiture venait de s'arrêter, sauvé pas ... le médecin, drôle d'idée, étrange même. Poussant un soupir de soulagement, elle ouvrit la portière, sortant de la voiture, se cognant la tête au passage, peu habituer a sortir d'un voiture, habituer au voyage a pied mais ce n'est qu'un détail, frotant sa tête elle finit par fermer la portière et elle avait finit pas ... lâcher la main a Roy, sa faisait étrange, sa main de suite redevint froide, sa main éatit toujours froide et elle était blanche aussi, mais c'est pas grave, ça ne la deranger pas elle en avait l'habitude, encore ce mot, encore des détails inutile . Puis elle se mit a suivre Roy sans rien dire, regardant les alentours, non elle n'avait pas peur des gens plutôt de leur mensonge, plutôt de s'accrocher a un rêve éphémere, oui en faite elle avait peur, pas au sens propre, être en leur présence était quelque chose de normal, les toucher les saluer leur parler peut importe, mais leur amitié ou leur amour, c'est ça qui faisait peur :: Les sentiments .

La salle d'attente était une grande pièce blanche, censé détentre les gens, censé parce que le blanc était ... une couleur très moche, oui Niji n'aimait pas le blanc, c'était terne sans couleur sans envie, pourquoi pas rouge ou beige ? Bref, nous dision, la salle d'attente est une grande pièce blanche formé en cude, en son cente une petite table basse en verre ou de vieux journeau et magazine trainer dessus, certaine couverture était même a moitié déchiré, preuve qu'il avait servis nombre de fois et que nombre de main malade et stresser avait pris ses magazine, perdant leur yeux dans les lignes alligner faite pour lire et se détendre . Contre le mur troner un grand canapé en cuir usé ce tenait encore droit et fière, encore assez en forme pour que cinq ou six personne puisse s'y asseoir et enfin, faisant le tour de la pièce des chaises, blanc cassé assortie a la pièce en plastique était alligné, d'on seul quelque une se tenaiit remplie ou les gens dessus assis tenait un magazine fermement entre leur main la jambe au pied a moitié posé au sol trembler . Pourquoi diable tout le monde stresser ... c'était don si horrible ?

A nouveau un soupir passa ses lèvre tendis que ses lèvres se tordirent dans une grimace . Puis Roy pardon .... Monsieur Mustang pris la parole et, a ce moment là elle tourna la tête vers lui, papiollant des yeux a ses paroles les assismillant, elle le croyait, il l'avait aidé oui ? Donc, elle pouvait le croire, son regard n'était pas comme ceux des gens qui mentent, il était vrai, il était, comme .. comme quoi ? Elle avait oublier sa phrase et alors quand il lui remit un papier entre les mains elle baissa rapidement ses yeux, examinant la feuille de papier blanche, noircis par une écriture masculine, virile, la sienne ? Ou un de ses collègue ? Aucune idée il n'empeche qu'il écrivait bien, mais là n'était pas là question . A cette vu elle se fendit d'un petit rire, comme elle pus malgré sa gorge endorlorie et lui sourit joyeusement .

- Je vous crois et je vais y aller toute seule, en soit ce ne sont pas les gens qui me font peur ... je vous expliquerais un jour

Se levant lorsqu'on l'appela elle regarda Roy au regard surpris, oui c'est vrai que Niji était étrange et lui rendis la feuille en s'inclinant doucement et déposa un baiser sur sa joue, gentiment, Niji était une jeune fille gentille, peut être trop comme certain lui disait parfois, être trop gentille, c'était étrange n'est-ce pas ? Pourtant c'était bien vrai . E

Passant la porte du médecin elle fit rapidement le tour de la pièce du regard tandis qu'il l'examina, et enfin, en resortie au bout d'une quinzaine de minute tandis que Monsieur Mustang aller voir son ami pour les résultats
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeMer 6 Juil - 13:04

Je rentrai dans le bureau de mon ami et il ferma la porte.
Il m’expliqua alors que Niji était beaucoup trop maigre et qu’elle devait rapidement reprendre du poids si elle souhaitait que sa vie ne soit pas en danger. Il lui annonça également que sa croissance avait particulièrement été perturbée par les coups de son « père » et qu’il fallait qu’elle fasse régulièrement des examens à l’hôpital.
- Je ne lui ai rien dit, je vous souhaite le lui annoncer. Me dit-il.
- Bien, je te remercie.
Je le saluai, puis Niji et moi quittions la maison pour reprendre la voiture.

Elle s’installa devant à côté de moi.
- Il faut que je te parle de tes résultats. Pour le moment, tout va bien mais il va falloir absolument que tu reprennes du poids si tu ne veux pas avoir de problème. Et malheureusement, ce sale type à endommagé ta croissance. Il faudra que tu ailles régulièrement à l’hopital de Central.
J’étais en colère en disant ça. Quel plaisir les gens ont t-ils à briser des vies ? A être con ? A être des enfoirés ? La violence et l’argent étaient peut-être les deux seuls maîtres mots de ce pays.

La voiture continuait de rouler. Une question me hantait : Pourquoi m’avait t-elle embrassée tout à l’heure ? Etait-ce une façon de me dire merci ? Où en avait t-elle vraiment envie ?
Moi qui pensais tout savoir des femmes, je pouvais repasser… Pourtant j’étais sorti avec un paquet de femmes…
Mais elle, je la trouvais différente. Elle n’était pas comme toutes ces filles avec qui je passais une nuit et où je partais avant le lever du soleil…
- Niji, pourquoi m’as-tu embrassé tout à l’heure, pas lorsque nous étions chez le médecin mais un peu avant la mort de, enfin tu vois.

Je rougis. J’avais vraiment l’air d’un con. Bravo, Roy !
J’avais peur, peur de sa réponse. Allait t-elle me dire que c’était parce qu’elle pensait mourir, parce qu’elle voulait savoir ce que c’était d’embrasser un homme avant de partir ?
J’imagine qu’elle en a eu pas mal dans sa vie, et rien qu’à cette pensée, je suis jaloux !
Roy, tu déconnes là… Serais-ce le début d’une nouvelle vie ?
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeMer 6 Juil - 13:49

Le temps filer tandis qu'à nouveau assise, le coude sur l'accoudoir et la paume ouvert elle avait posé la tête dans sa main, se laissant bercé par le rythme lent de la voiture, regardant le paysage défiler a une vitesse douce, les arbres au feuille verte se succedaient, les maisons au mur blanc et les immeubles aussi, les gens marchaient tous calme et doux d'un pas lent ou présser a l'heure actuelle beaucoup rentré chez eux. Les jeunes couples marchaient se tenant la main et parfois on croisé une petite famille avec un enfant, un parent de chaque côté tenant la main du petit, le faisant voler alors qu'ils riaient au éclat . Elle, la petite rose était perdu dans ses pensées, hôpitale, grossir et sa gorge qui la faisait encore souffrir. Elle poussa un soupir, les yeux dans le vague, l'esprit perdu, ne pensant a rien, juste ... a rien .

Sa mains droite poser sur son ventre elle se soulevait timidement au rythme lent de sa respiration a chaque inspiration sa mains en était en haut, et on en voyait plus ses os, alors que quand elle était basse, on pouvait facilement voir les os de ses côtes resortir de façon triste, si il était petite c'était la faute de son maître, si elle était maigre, trop maigre c'était la faute de son maître, si elle était triste, c'était la faute de son maître ... Toujours et encore son maître comme une logue lituanie sans fin, et répétitf .

R ... Monsieur Mustang la sortie a peine de ses pensées pour lui demander "pourquoi" . Pourquoi n'est-ce pas ? "Pourquoi" était aussi une question qu'elle se posait souvent, pourquoi ... Une question comme une autre qui parfois était quelque chose qui faisait souffrir, tournant légérement la tête elle le vu rougir se demandant ce qui lui arrivait mais ne fit aucune remarque, elle l'avait gêné ? C'était méchant, elle avait été .. méchante . Baissant ainsi les yeux, elle tourna la tête a nouveau vers la fenêtre les lèvres pincer, presque sans aucune envie de répondre, laissant a nouveau ses pensées se perdre . Pourquoi hein ? Elle n'avait pas de réponse, où plutôt si, plusieurs même n'est-ce pas , mais devait elle vraiment le dire . Pourquoi .... Fermant ses grand yeux bleu elle laissa le néant l'envahir elle laissa sa voix filer hors de sa bouche .

- Parce que ... je pensais mourir et que je voulais choisir quelqu'un parce que j'en avais envis pas parce que l'on m'avait choisis .

Elle rouvirt ses yeux tourné vers l'extérieur tandis qu'un rayon de soleil se déposa sur sa peau froide, ce n'était pas vraiment une réponse, il fallait vraiment la connaitre pour comprendre son raisonement et ses envies. Oui, Niji était une femme a homme, oui, elle en avait vu des tas mais les avait-elle vraiment choisis ? C'était plutôt un tas d'homme en vrac s'intêressant a sa beauté et a son corps qui l'avait un a un pris un a un souiller faisant d'elle une "bombe" mais le voulait-elle vraiment ? Là seule chose qu'elle voulait dans ses moments là c'était oublier ce qu'elle était cette espèce de jouet au service d'un monstre, elle voulait oublier la sensation de "ses" mains sur SON corps. Pour une foi, quelqu'un l'avait comme elle était, une femme triste et sensible, alors non, personne n'avait profité de la situation, c'est elle qui avait profité .

Un triste soupire passa ses lèvre tandis que sa paume posé sur sa joue se déplaçait pour caresser la peau pâle et blessé de sa gorge.
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MessageSujet: Re: Quelle matinée... (Privé : Niji)   Quelle matinée... (Privé : Niji) Icon_minitimeMer 6 Juil - 16:37

- Parce que ... je pensais mourir et que je voulais choisir quelqu'un parce que j'en avais envis pas parce que l'on m'avait choisis
Alors tant mieux, elle ne l’avait pas fait parce qu’elle s’était obligée, comme pour le remercier mais parce qu’elle l’avait choisie.
Comme Niji, Roy en avait connu des femmes, mais était-ce réellement bénéfique pour lui ? A par se tuer au travail, il ne faisait pas grand-chose.
Bien sur, il voulait devenir généralissime mais la route était encore longue et semé d’embuche.
Il survivait pour cela, mais personne ne l’aidait à survivre.

- Puisque le médecin t’as dis que tu devais manger, veux-tu aller un restaurant ? J’en connais un ou on croise peu de gens et où on mange très bien ?
Il s’agissait surtout du bar de sa mère, peu fréquenté, d’ailleurs c’est à se demander comment elle survivait…
En faisant des enquêtes pas très claires, tout simplement. Mais ça, Roy ne s’en mêlait pas… Cette femme l’avait élevé du mieux qu’elle pouvait, lui donnant une éducation et de quoi vivre financièrement.
C’est ainsi qu’il était parti tenter l’examen d’alchimiste qu’il avait obtenu et intégrer l’armée.
Mais a quoi bon tout ça ?

Le courage, c’est tout ce qu’il avait. Parce qu’il était seul, contrairement, à Maes à qui il se compare souvent, lui qui a une femme, des enfants.
Oui ce soir, il craque. Oui mais il ne le montrera pas. Parce que sa faiblesse, Niji ne la verra jamais, car sinon qui l’aidera à reprendre confiance en elle ?
Son père était mort et heureusement et le majordome partirai peut-être de la capitale, mais elle devait bien avoir des amis quelque part, qu’elle avait rencontré, mais ça, ça ne la regardai pas, c’était la vie à Niji, et sa vie, il ne la partageait pas avec elle.
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