Oop's voilà que ça recommençais. Niji avait était repérer encore par quelqu'un de bizarre. Tant qu'à faire. Bon. On reprend depuis le début.

Retour a central pour Niji, des aller retour, un peu de boissons de quoi avoir des sous et elle recommençais a vagabonder dans les rues. L'hiver approchait a grand pas. Dans les rue les arbres perdait leur feuilles couvrant le sol d'un tapis rouge oranger. La température montait et chaque matin a chaque fois que le soleil ce levait elle savait que tout serait froid. Elle avait plus de sous et maintenant elle recommençais a ne plus manger et a faire ce qu'elle faisait si bien. Des petits boulot a droite a gauche.

Elle avait, entre guillemet, élu domicile au parc. Ce jour là, le soleil était présent. Installer prés de lac elle barboter tranquillement ses petits pieds dans un buissons. Puis, ça commença. Des gens qui passe qui la regarde avec pitié, une fille si jolie mais si sale. Ses long cheveux rose était attaché en une queue de cheval haute, mais il était sale, on y trouvait des brin d'herbe et des feuilles sécher, ses vêtement était grisé par la poussière. Seules ses yeux était rester fidèle a eux même. D'une couleur océan si profonde que jamais personne n'y touchait le fond et son visage, doux long et fin était imprégner de mélancolie. Lentement la petite rosée leva la tête vers le ciel comme pour faire une prière silencieuse. La tiédeur de l'après midi ne l’empêchait pas d'avoir froid et de formée un buée a la sortie de ses lèvres gercée.

Puis elle en eu marre des regards des gens des choses de la vie. Si seulement elle avait une vie. Alors Niji ravala ses larmes et partie dans un buissons. Et elle resta là. Elle ne sus combien de temps mais elle y resta, la main fermement serrer sur le manche de son sabre de la blancheur de la neige, elle pallissait a vu d'oeil. Elle était simplement en train de tomber malade, comme si le poids des années tomber sur elle. Pas de chance. Puis elle bougea. Pâle comme la mort pour elle qui était déjà d'une blancheur de neige. Et elle se mit a trembler ses dents claquant et ses muscles pris de petit spasme. Merde. Allée t- elle mourir ici.

Elle fit un mouvement un peu brusque, comme pour ce relever et c'est là qu'elle l'entendit, un «  T'es qui toi  » d'une rare violence qui la fit frissonner un peu plus.

Elle ouvrit la bouche pour parler et marmonna son prénoms : «  Niji  »
Et a nouveau elle ravala ses larmes.

- Fille de personne. Vagabonde et malade. Soyez polie un peu bordel.

Combien de temps c'tait dur a dire. Elle avait fuis de chez son maître, a qui elle avait était vendu. Merci papa et maman. Elle leurs en voulait. Elle l'avait pas cherché. Elle avait pas chercher a être chez un fou qui avait jouer avec elle qui l'avait sali. C'pour ça qu'elle avait appris a ce battre. Apres, est-ce qu'elle s'en servait beaucoup. Ça c'était un autre histoire. Niji était plus le genre doux et gentil. Sauf ci, sauf ci on la chercher vraiment ou qu'un jour elle trouvait une raison de ce battre. Pour l'instant elle était malade et elle pensait en savoir la cause: surement une putain de crise d'hypoglycémie.

Combien de temps. Elle avait eu un foyer quelque temps, qui l'avait aider, qui l'avait venger parce que elle, elle était trop en manque d'oxygène, parce qu'il l'avait étrangler quant elle était revenu. parce que, elle c'était perdu et n'arrivait malgré tout ses rêves et ses pensées a le faire, a lever la main sur son maître et le tuer. Et puis, cette homme avait fait d'elle quelque. Avec des papier et un foyer. Mais finalement au fond, elle aimait vagabonder. Elle étira un sourire. Un vrai sourire. Un de ces rares sourire qui semble dire " Hey, j'existe tu me vois " un sourire doux et chaleureux, un sourire mélancolique tandis que, ses yeux ce perdait dans le ciel illuminer de centaines d'étoile. Le monde était si vaste. Dommage qu'elle n'ai pas le sens de l'orientation, elle aurait tellement voulu l'explorer.

- Combien de temps hein ... Plus de jours qu'il n'y a de doigts et dés que j'ai pu quitter l'enfer dans lequel on m'avait jeter. Je dis l'enfer car je ne connais d'autre mot qui pourrait le décrire. Le monde est si vaste. Pourquoi pas. Par contre, ce qui est plus ... dur c'est de ne pas avoir assez d'argent. La vie serait alors plus simple.

" Et sans attache " avait t-elle envie de dire, envie de rajouter. Elle était ... disons trop coeur d'artichaud pour ce permettre des attache, facilement en train de voir la bonté des gens, facilement a tombé amoureuse, a vouloir rendre service. Elle voulait apprendre le monde, elle voulait decouvrir de nouvelle personnalité mais elle n'avait pas de sous faisant d'elle une femme sans domicile, une pauvre un SDF que les gens regarder avec pitié.

Son sourire disparut, sa mâchoire se crispas.

Venir. Ah ! Quel idée, ce mot était étrange, remplie de promesse. Est-ce qu'elle pouvait vraiment ? Lui il voulait tout. Mais elle se promit qu'il ne l'aurait pas elle. Dû moins si son pauvre petit cœur d’artichaut ne tombait pas effarouchement amoureuse de lui. Ça, c'était une autre paire de manche bien sur. Elle était tellement différente de tout ces autre fille. Elle aimerais tellement, tellement le suivre et faire valser les lois. Elle vagabondait. La petite fille au cheveux rose vagabondait au gré du vents et des envie. Envie. Oui, voilà … des envie . Sans sous et maintenant en pleine crise d'hypoglycémie. Fuck the world.

Durant toute ces mois passés dehors elle avait vu des chose que personne ne remarque. Les gens qui s'embrassent, ceux qui pleure sur les banc sous les arbres, ceux qui font la manche, ceux qui meurent et agonise. A côté elle avait beaucoup de chance et Niji le savait. Elle n'était peut être pas la mieux lotis dans tout ça, mais elle était au mieux de certaine personne et elle avait une chance de changer encore une fois. Et si elle laissait tomber le masque, le caractère de la petite fille qui était en elle et qu'elle devenait une ''femme'' ?

Elle regarda son interlocuteur, elle avait froid, elle avait faim. Rester tel quel et suivre des idéaux stupide ou suivre un fou qui n'atteindrais peut être jamais son but mais a tout miser sur lui, a vivre une vie a fond, avec des sous a manger de l’adrénaline et mettre ça vie en jeu au lieu d'attendre que la vie quitte son corps. Il y avait un choix. Un étrange choix bien sur mais il était tout vu de son côté.

- C'est tout vu.

Elle eu un étrange sourire, la jeune fille au cheveux rose. Oui, la jeune fille, parce que cette fois pour de bon, pour de vrai elle avait grandis. Pas physiquement, c'était trop tard pour ça comment voulez vous qu'elle grandisse du haut de son mètre cinquante ? Mais elle avait pris une décision, un choix de vie a l’extrême opposé de ce qu'elle était maintenant. Presque, trop facile . Mais Niji savait. Elle savait que le contre coup viendrait après, que un jour elle regrettera son choix, que peut être même elle pleurera mais c'était pas aujourd'hui et ça ne serait peut être pas demain. Mais demain est un autre jour n'est-ce pas ?

- C'est d'accord.