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Ces temps-ci, il n’était pas sûr de rester trop longtemps dans la capitale. Pourquoi ? ... Lorsque l’on a toutes les autorités de Central aux trousses, on évite de se faire remarquer, d’accord ? Lorsque l’on a toutes les autorités de Central aux trousses, on improvise, on se déguise, on se cache, on esquive, on se fond dans la masse ... Théodore était habitué à tout ça ... Il avait été fait pour ça. Pour s’adapter aux situations qui se dressaient pour la plupart menaçantes, devant lui. Livré à lui-même, il n’hésitait pas à créer des alliances, puis trahir, se faire oublier, faire parler de lui. Du jour au lendemain, il pouvait disparaître de la communication. Bon, après s’être évadé de la prison, se faire oublier s’avérait plus difficile qu’à l’ordinaire. Il opta donc pour l’option de s’éloigner le plus possible de Central, trouver refuge dans une ville sans histoire ... Youswell à l’Est de la ville semblait correspondre à ses attentes.



T-Bag était donc à présent affalé sur une banquette pourpre du train filant à toute allure pour l’Est. Il avait troqué ses habits miteux contre un ensemble beige discret et un chapeau assorti. Enfin, sur son nez était perchée une paire de lunettes de soleil. Car un soleil régnait constamment sur la ville minière. Ce fut d’ailleurs grâce au changement brutal de température que le criminel sut qu’il était arrivé. En passant dans l’allée centrale, il remarqua avec stupeur son portrait imprimé sur l’une des pages qu’un touriste lisait avec attention. Il baissa la tête et sortit du wagon sans un mot. Il aurait presque pu passer pour une personne normale s’il n’avait pas fait la une de ce journal. Cependant, dans les rues bruyantes de la ville, aucune trace de sa frimousse dans les kiosques. Pour le moment ... Mais il profiterait de ce temps de répit pour se mettre les idées au clair quant à son avenir ... Si avenir il y avait, bien entendu.



Le soleil déclina mais les températures restaient agréables. Théodore avait trouvé une chambre dans une auberge et s’était installé sur la terrasse de l’établissement, son regard fourbe aux aguets dissimulé habilement derrière les verres fumés de ses lunettes ... Hors de question de baisser la garde en si bon chemin ...

Lust avait reçu un ordre très clair ; Retrouver Théodore, qui s'était évadé de la prison. C,est avec un haussement d'épaule qu'elle avait accepté la mission...
On avait l'appercevoir en direction de Youswell au matin...
La luxure pris donc un train se qu'elle detestait puisque tout le monde la regardait au moins
avait-elle pris la précaution de couvrir tous signes d'orobouros...

*Mouais pourquoi aller dansun coin si reculé ? Il n'aurait pas pu aller se cacher non loin d'ici ?!*

Mais bon c'était son doute éspérer trop d'un criminel...
Une fois arrivé elle chercha quelques temps dans les rues, sondant les gens étrange de son regard mauve... Puis c'est alors qu'elle l'apercu, un sourir de victoire étira ses lèvres... Une fois devant lui, elle posa une main sur sa hanche et se regarda les ongles de l'autre...

''Vous avez fait bon voyage ? Murmura-t-elle en jetant un coup d'oeil vers Théodore''

Impossible qu'il n'aie pas remarqué sa rpréscence puisqu'elle cachait le soleil....

Même pour un criminel, sentir de l’air chaud sur son visage est quelque chose d’agréable. Il existe des petites choses qui, aux yeux de tous, sont accueillies comme des moments plaisants qui rendent la vie un peu plus facile à vivre. Car il ne faut pas oublier que même le pire des meurtriers reste un être humain. Et que tout être humain qui se respecte aime avoir au moins une fois dans sa vie, un instant de répit. Aussi court soit-il, aussi discret soit-il. Surtout quand l’être humain en question est recherché dans presque tout le pays où il réside.

C’est ainsi que Théodore se sentait tranquille, le visage levé vers le soleil, les idées ailleurs. Mais à quoi peut penser un tueur en série ? A des projets pas très nets sans aucun doute. Surtout lorsqu’il s’agit de T-Bag. Il devait être l’un des pires dans le genre pensées perverses et vicieuses. Il suffisait simplement de prendre connaissance de ses crimes : 6 viols suivit de meurtres sur mineurs, il y avait de quoi s’inquiéter. Allons seulement lire son dossier, on en perdait le sommeil pendant plusieurs jours. Enfin, c’est ce qu’avait prétendu le personnel de la prison qui avait parcouru la vie de Théodore dans ces quelques pages.

Une silhouette s’arrêta devant le soleil, faisant de l’ombre à l’homme en fuite. Il leva une main qu’il posa sur son front afin de mieux discerner l’inconnue derrière ses lunettes noires. C’était une belle femme. Une très belle femme. Le genre pulpeuse avec les formes là où il fallait. Et elle avait un regard ... qui vous transperçait mais que vous ne pouviez détourner. T-Bag se recula un peu dans son siège, comme pour mieux l’admirer. Il se passa instinctivement la langue sur les lèvres. C’était un mauvais signe. Pour elle. Elle lui demanda d’une voix magnifique s’il avait fait bon voyage. Etait-il censé la connaître ? Il fit appel à sa mémoire et répondit :

-« Vous aurais-je déjà rencontré quelque part ? Hmm ... Vous n’êtes pas le genre de femme que j’oublierai si facilement. Oui c’est ça, il me semble vous avoir aperçu depuis ma cellule. Vous faites partie des gens en noir qui venaient prendre des prisonniers qu’on ne revoyait plus. Alors dites-moi ... »

Il se redressa, ôta ses lunettes dont il commença à mordiller l’une des branches.

-« ... Vous êtes venus me chercher ? C’est Central qui vous envoie, n’est-ce pas ? »

Aucune crainte dans sa voix mielleuse. Il tentait juste de voir plus clair dans le jeu de cette femme dont il ignorait jusqu’au nom ...

Lust rigola d'un rire claire... Cet homme il connaissait son regard... Elle l'avait déjà appercu plusieurs fois chez d'autres hommes et même quelques femmes (O.O) Mais que voulez-vous quand on est l'incarnation charnel de la luxure on ne peut se permettre autre chose que la perfection (Dure tache à assumer parfois). à oui l'homme l'avait déjà vue ? Tant mieux...

''Et bien mon cher Théodare je vois que tu n'as pas encore perdue la mémoire c'est une bonne chose pour toi...''

La luxure ne démontrait aucune peur et cela se voyait dans son attitude. Elle s'assit calemement sur la chaise en face du meutrier et s'appuya sur la table... L'homme aurait eu beau avoir des projets pour sa petite personne elle n'en cure... Dison que la noire s'avait se défendre ...

''Et puis je vous prirais d'oublier toute idées qui pourrais vous faire de faux espoirs... Je ne suis pas ici de la part de central, car en disant central vous parlez de l'armée et dison que c'Est un de nos ennemis commun... Enfin jusqu'a un certain point... Alors mon tout beua que fais-tu par ici, dit-e-elle d'une voix suave...''