La nuit était passé depuis la mort de ce jeune homme et elle, petit rose ou suivant comme les gens l'appeler, Pop, Niji, la petite demoiselle, ou d'autre rester là assise, sans rien dire, sans bouger, ni parler, ni bronché, elle était là, assise, a fixer le vide, recroqueviller sur elle même, les bras autour de ses genoux contre sa poitrine, le menton posé sur ses genoux, ses beau yeux bleu, regardant le vague, dans une immense tristesse, comme si elle en avait pas déjà assez sur la consience . Assise de la sorte contre un arbre dans le parc, elle avait méditer toute la nuit, sans broncher, même les passant et les ivrogne nocturne n'avait pas fait attention a sa présence, elle devenait le décors. Puis le jour c'était lever, les nuages haut dans le ciel se colorent d'une belle couleur or, et rouge, les rayon du soleil eux, lentement percèrent les nuages laissant l'astre céleste s'échouait sur sa peau pâle sur son visage pâle, plus pâle et plus blanc qu'à l'ordinaire ou ses yeux, vide fixer le néant ou sous eux s'étendait deux grande cernes .

Même la rosé fraiche et froide du matin ne la faisait pas bouger, ni non plus le chat des oiseaux a ses oreilles si joyeux, ni le vent froid, ni les gens qui l'insulter ... rien .

A ses côters, son sabre Izume était là, fidèle au poste, dans son fourreau d'un blanc éclatant, laissa le soleil en faire resortir un peu plus la couleur, sans vergogne, agressant du regard les diverse voyeur, sans manche noir fait pour des petites mains, une petite main, celle de Niji, mais là aussi, pour le moment elle ne voulait pas y penser . Elle voulait penser a rien, elle attendait là comme ça, a la limite elle se laissait dépérir, La mort de quelqu'un sous ses yeux était la goutte d'eau qui faisait débordé son sabre, alors elle attendait, son épaule blesser, bander de la fois ou elle c'était pris une balle, a part les premiers soin, elle n'avait rien eu d'autre et la balle devait encore être a l'intérieur, La douleur aurait fait grimacer n'importe qui, mais elle , elle regarder droit devant elle sans rien dire, peut importe la position qui laissait une belle vu sur ses sous vêtements . Elle voulait qu'on lui fiche la paix ... elle voulait .... mourir .

Son visage au file des heures se marqué peu a peu par une certaine tristesse, une certaine pâleur et les cernes sous ses yeux se creusait, elle ne ressemblait même plus a une petite poupée, comme on l'avait pourtant si souvent comparé, mais plus a un cadavre ou un zombie, rien ne semblait la faire sortir même pas le guguse au cheveux vert qui passait par là avec trois sabres ... Mais au moins elle l'avait remarqué, un cour instant, et ses yeux c'était remit a briller et la douceur y était revenu avec l'ocean de tristesse qui y était inscrit, même si ce n'était qu'un court instant . Sa respiration lente, presque souffrante, agonistante avait laisser echapper un soupir, un court instant, avant de s'enfoncer a mauvais dans le néant .

Elle ne pensait a rien, ne disait rien, laissant la souffrance la gagner ...

La seule chose qui aurait pus la faire huler c'était les petits con qui la toucher, et encore, elle eu a peine réagit, qu'est-ce qui aurait pus lui faire de plus que ce qu'elle avait déjà veçut ? Le viol, son maître l'avait tellement toucher et sali que sa ne lui faisait presque plus rien, la faire souffrir ? La violence physique était ce qu'elle souhaiter de mieux en ce moment, la tuer ? La mort est une délivrance qu'elle attendait en ce moment même . Dommage pour une gamine de dix-huit ans d'être comme ça, triste, sombre, sans vie. C'était triste et dépriment, souvent les gens l'aimer bien pour ça, parce que elle était sérieuse et douce, mais là détester pour les même raison et pour le faite qu'elle soit si triste et sombre, trop terre a terre .

Le rêve et l'espoir elle avait oublier ce que c'était la seule chose inllasable qu'elle voyait c'était la mort et l'agonie, pourquoi elle et pas quelqu'un d'autre ? Les gens, un a un, mourait sous ses yeux dépourvu de flamme et d'étincelle de vie, peu a peu il se vidait d'envie, avant elle aurait tout donné pour être dehors, puis pour vivre et être quelqu'un, maintenant on l'agresser pour la toucher . Même si l'idée de ce balader tout le temps avec un haut de maillot de bain et une mini-jupe n'était pas très réglementaire en même temps, on y peut rien .

Niji lever sa tête version zombi vers l'homme sans rien dire et le salua simplement amicalement, comme elle l'aurait fait avec n'importe qui, parce que il était n'importe qui n'est-ce pas ? Et elle sourit, comme elle savait si bien le faire, un sourire doux et gentil, qui aurait pus satisfaire n'importe qui, mais qui n'était que creux, un manège ou une politesse certaine qui lui était dû, parce que il ll'avait aidé, même si au fond, elle n'avait pas envie . Il n'y avait pas que son sourire de creux, ses yeux bleu océan eu était vide, c'était une mer plate et profonde, un petit quelque chose où on se noyer sans fin, mais qu'est-ce qu'elle devenait ?

Sans rien dire elle ouvrit la bouche pour dire quelque parole, dégouter son interlocuteur et le faire partir peut être ou des simples paroles en l'air qui était veine, elle s'en ficher, juste, le vide et l'attente de la mort lui importer, mais elle était trop fragile pour se suicider .

- Vous devriez arrêter de faire cette tête vous allez faire peur au passant

Elle leva ses yeux, d'un coup violemment, planta ses horde bleu éteinte dans les sienne, sans comprendre ses yeux se mirent a briller d'un éclat étrange différent, violent, comme une evis de meurte ou de vie, comme une envie d'exploser de pleurer et de rire a la fois, gouter la vie si amer et d'un coup toujours elle lui sauta dessus, le prenant par surprise, le forçant ainsi a tomber au sol et s'assis sur lui a califourchon, elle était petite, elle était maigre elle était blesser elle avait mal, au coeur, a la tête au corps, elle le regarde et sourit, quelque chose d'étrange qu'elle n'avait jamais fais .

- Vous mentez, les gens mentent tout le temps, ils ne savent pas s'inquièter les gens sont égoiste, la seule chose que vous savez faire c'est vous excusez, pourquoi on s'excuserait après un mensonge, dites la verité pour une fois!

Les gens les regardaient étrangement, mais elle s'en ficher elle s'en ficher de beaucoup de chose, elle s'en ficher de mourir ou de vivre, de se faire taper ou regnier, elle se ficher des mensonges et des gens, qui avait-il de vrai dans les gens, qu'est-ce qu'il y avait de vrai ... a part ... la fin ?

Elle regardait l'homme au cheveux vert assise sous lui et elle se leva, puis se rassied comme si rien ne c'était passé comme si elle ne venait pas de dire le fond de sa pensée, au moins elle n'avait pas mentis elle, n'est-ce pas ? Un soupire passa ses douce lèvres rose et enfin, une larme coula le long de sa joue, surprenant la petite rose elle-même. La larme coula le long de sa joue, lentement, traçant un sillion blanc et s'écrasa sur ses lèvres, leur donnant un goût salé. Levant sa petite main elle suivis le trajet avec ses doigts .

- Pourquoi les gens mentent ?

Un certain silence s'installer ou seule le chant des oiseaux s'élevait dans les air laissant vagabonder tout le monde dans ses pensées, elle avait éluder chacune de ses question, et sa main se promena dans l'herbe douce et touva ce qu'elle chercher un sabre au fourreau long et blanc, au manche de même couleur, fin adapter a sa main, sabre prolongement de son bras, elle le toucher elle se sentait mieux, combattante et elle, et puis pour casser ce magnifique moment, son ventre se mit a gargouiller .