Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt]



 
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 Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt]

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MessageSujet: Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt]   Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt] Icon_minitimeSam 10 Sep - 5:41

L 'atmosphère pesante de l'après midi brûlait les pavés. Un courant d'air qui n'apportait d'autre que les rayonnements hostiles du soleil agita les bannières, fanions, et autres draperies de la ville. Telle une fourmilière abandonnée, seuls les plus courageux des habitants s'aventuraient au dehors, parcourant les échoppes désertées de tout client. Les glaciers, taverniers, et autres marchands de boissons et produits rafraichissants furent pris d'assaut dès les premiers signes de chaleur. Il ne divaguait à présent d'ombres en ombres que les touristes de passage, les mères de famille rapportant les produits salvateurs chez elles, et autres silhouettes isolées rejoignant quelque taverne avoisinante. Parmi ces rares âmes se trouvait Blanc. Originaire du Sud, la chaleur était quelque chose qu'il connaissait bien, et il vivait avec relativement d'harmonie en sa présence. Certes, un peu plus de fraicheur ne lui aurait pas déplu. Mais il se dit qu'il devait absolument profiter du calme des rues pour se chercher un emploi.

Il déambulait sur les trottoirs, un peu au hasard, ses pieds suivant ce que ses yeux voyaient. Toujours pansé, mais bien soigné par la belle pharmacienne, il s'était autorisé à ouvrir grand sa chemise blanche, offrant le haut de son torse nu au peu d'air qu'il pourrait capter (le bas du torse, abdos et nombril, étant recouverts de bandages serrés). Son pantalon marron n'était cependant pas très recommandé pour un temps tel que celui ci.

Les minutes passèrent, tranquillement, calmement, sans que Blanc ne trouve d'échoppe intéressante. Il avisa bien une épicerie, d'assez fière allure, avec apparemment tout ce qu'il fallait à l'intérieur pour subvenir aux besoins de n'importe quelle famille, de n'importe quelle stature sociale, et donc promettant suffisamment de travail aux employés, mais cela ne lui plaisant pas, trouvant ce métier trop tranquille, il l'eut vite oubliée. Un mouvement attira son attention sur sa gauche. Instinctivement, Blanc tourna les talons dans cette direction, traversa la rue, et vint ramasser le journal qui voletait.

" Il est d'aujourd'hui ! Parfait ! " s'exclama Blanc avec un grand sourire.

Si quelqu'un aurait vu à ce moment là un jeune homme, ventre pansé, parler à un journal au milieu de la rue, avec un sourire jusqu'aux oreilles, elle aurait très certainement crié au fou. Cependant, aucun son ne vint déranger la sieste des habitants de Central. Ignorant tout de son attitude burlesque, la chimère dirigea lentement ses pas vers un auvent, les yeux rivés sur les petites annonces. Bien entendu, l'armée utilisait une bonne moitié de page rien que pour une seule annonce. Ils recrutaient, encore et encore, de jeunes soldats.

Être dans l'armée n'aurait finalement pas déplu à Blanc, mais sa nature de chimère lui faisait redouter les remarques et sujets de discussions dont il serait l'objet. Et après tout, se dit-il avec un petit sourire rêveur, s'il devait intégrer l'armée, ce serait pour obtenir un poste important, pas trop dur, et surtout bien payé !

Il chercha ensuite quelques autres annonces intéressantes, toujours un sourire étirant les commissures de ses lèvres.


« Recherche BOUCHER, sérieux, rapide et appliqué dans les découpes. 3 ans d'expérience demandé. Contacter Jean-Jacques au... »

" Hmm, c'est pas mon truc ça. "

« Demande aide-ménager(e) à domicile. Lavage, nettoyage, récurage, telle sont les... »

" Encore moins ! "

« Bien le bonjour. L'entreprise Tourbet And Co recherche activement du personnel dans le domaine de ... »

" Nan, trop poli ! "

« chrch vndr katana epee dague et autre. grande connaissance exigee. contct au 147689001457 »

" Ah bah voilà parfais ! Maintenant il me faut une cabine téléphonique... " acheva t'il en jetant des coups d'œil un peu partout.

Ne trouvant aucun téléphone public à la ronde, il décida de chercher un hôtel pour leur emprunter le leur, et par la même occasion, se réserver une chambre pour la nuit. Il continua à tourner tranquillement dans cette immense ville, s'arrêtant de temps à autres devant des magasins intéressants. Une petite demie-heure plus tard, commençant à avoir soif, Blanc interrompit ses pas pour écouter un chat feuler, un couvercle de poubelle s'écraser au sol, et quelques cris. Haussant les épaules, il reprit son bonhomme de chemin.

Il était loin de se douter que venir chercher du travail à Central lorsque l'on est une chimère est une mauvaise idée. La suite des évènements allait le lui prouver.
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MessageSujet: Re: Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt]   Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt] Icon_minitimeJeu 15 Sep - 18:06

Central City, capitale du pays, si vous vouliez trouver le QG principale de l'armée c'était ici qu'il fallait être. C'est aussi ici que siégeait le département de la Gestazie. Groupe militaire de services de renseignement et de surveillance de l'armée. Une bourde, et les plus grande implication que l'armée pouvait obtenir, la Gestazie était toujours derrière. Mais si celle-ci était redoutable et craint des autres département c'était en particulier pour ses mesures extrême, très fermé la Gestazie avait pour réputation d'être impitoyable. Si bien qu'avoir la Gestazie sur le dos signifiait sans nul doute que vous étiez une personne qui pouvait craindre pour sa vie. Ce n'est pas une bonne chose si la Gestazie s’intéresse a vous. Son rôle premier était comme une sorte de police des polices de l'armée.

Hans Weillschmidt était Lieutenant, mes ses faits d’armes étant exceptionnel, il fut décoré a de nombreuses reprises et porte le droit de porter l'épée. Il fut également nommé a la tête de la Gestazie. Depuis sa nomination a ce poste, ce département a augmenter le pourcentage d'arrestation en tout genre y compris au sein même de l'armée. Qu'il pleuve ou qu'il neige peu importe les intempéries, la Gestazie était 24h/24 opérationnel et notre cher Hans avait une réunion importante au laboratoire n°5. Aussi son chauffeur roula a vitesse légèrement plus vite afin d'amener le Lieutenant Weillschmidt a sa réunion avec toujpours comme a son habitude dix minutes d'avances.

Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt] Jaguar10

Le véhicule parlons en, une des dernières sortie d'usine, de couleur noire( sorry pour la photo), quatre portes, et avec un bruit de soupapes grave, témoignant de la puissance du moteur, les vitres teinté de noir dans sa totalité, et ou le symbole de deux griffons était dessiné sur les portières déjà foncé. Se symbole reconnaissable entre tous était celui du département de la Gestazie. Des moyens me dites-vous? Oh oui et pas qu'un peu.

Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt] Sj+B+TQbMAC8onrwAAAABJRU5ErkJggg==
(Symbole de la Gestazie dessiné sur les portières)

La voiture continua sa route a vive allure, les peu de passant qui se trouvait dans la rue pouvait l'entendre venir, mais lorsque la voiture passa devant les gens , ceux-ci semblait comme effrayé, cela se voyait sur le regard, ils était devenu rigide, comme tétanisé par une certaine peur. Elle arriva bientôt du côté ou marchait ce cher Blanc, cette chimère qui allait sans doute faire la rencontre la plus charismatique et dans un sens terrifiante de sa vie de chimère. La voiture noire au vitre teinté de la même teinte, s'arrêta soudainement dans un bruit de freinage grave typique de ces véhicule sportif et bruyant.

Hans:"...stoppez ici Jones..."

Jones(chauffeur): "Bien lieutenant"

Le soldat Jones était le chauffeur privé de Hans et celui-ci obéit a l'ordre donné par son lieutenant et stoppa le véhicule. Il sortit v^étu d'un uniforme noir comme l'armée mais de couleur noire et un brassard rouge ou était dessiné a nouveau le sigle de la Gestazie dans une forme géométrique de fond blanc. Il portait un béret de soldat et sa prestance était déjà grande, mais ce qui suivit fut d'une autre intensité. Lorsqu'il ouvrit la porte de la voiture, ce fut d'abord une main ganté de cuir noir qui agrippa au bord de la porte pour y faire sortir une chapeau d'officier de couleur noir aussi au bordure blanche. Le reste qui s'en suivit était une longue gabardine de cuir noire au bordure détaillé, et aux écussons d'officier, des bottes de cuir noir et surtout un visage d'un jeune jeune homme de 27 ans qui trônait avec une prestance et une noblesse très rare et importante, pourtant malgré son visage fine t anguleux on pouvait sentir dans le regard qu'il avait déjà beaucoup vu en tant que soldat et plus particulièrement en tant que tireur d'élite. Ses yeux d'un rouge sang, cette couleur n'était dut qu'a une trop grande concentration d'eumélanine accentué par ses années de guerre a Ishval sous le soleil brûlant. En effet a cet époque notre officier en tant que tireur d'élite, se devait de rester des jours et des jours sans bouger a attendre sa cible sous la canicule, les yeux toujours ouverts.

Il frotta ses mains ganté avant de donner l'ordre a son chauffeur de l'attendre ici bien sagement. Sa chevelure blanche et son regard sombre mais malicieux laissant présager que cette homme n'était pas a prendre a la rigolade. Il tourna son regard autour de lui et celui-ci croisa celui de Blanc. Pendant quelques secondes il le fixa, ses nombreuses années en tant que chef de la Gestazie, lui avait donné ce flair, cette intuition lorsqu'il croisait quelqu'un ou quelque chose...comme si il en savait sur lui avant que celui-ci ne s'en aperçoive.

Hans:" Hm?...."

Weillschmidt murmura quelque chose a l'oreille de son chauffeur-soldat après avoir fixé blanc, les bandages l'avait intrigué, mais son instinct lui indiquait que cette jeune personne n'était pas ce qu'elle semblait-être.
Après ce berf moment de murmure, Hans marcha et rentra dans une libraire ou il alla s'acheter un journal et un paquet de cigarette. Mais avant qu'il ne sorte, Jones se dirigea vers Blanc et s'adressa a lui comme si il donnait un ordre.

Jones:" Civil...vous avez ordre de monter cette voiture toute protestation sera considéré comme une manque de respect a l'armée et une faute.."

Jones tendit le bras en direction de la porte de la voiture côté passager arrière...Hans allait bientôt sortir. mieux valait obéir , surtout que beaucoup de gens semblait observé la scène avec attention

C e fut le cas après quelques minutes, il sortit, le journal entre le bras et le corps coude replié car il s'allumait une cigarette, laissant le feu consumé le tabac de ce produit nocif, avant d'y inspiré une grande bouché, il jeta son regard en direction de blanc sans lâché un mot.
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MessageSujet: Re: Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt]   Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt] Icon_minitimeVen 16 Sep - 18:38

L a rue étirait ses trottoirs presque à l'infini, se déroulant sous les pieds de Blanc avec monotonie, zigzaguant devant des bâtiments innombrables. Notre chimère avait maintenant une piste pour un travail, et, confiant en lui même, c'est avec un petit sourire qu'il déambulait à la recherche d'un hôtel.

Sous le soleil de plomb, un bruit sourd monta du fond de l'avenue, dans son dos. Blanc reconnu au son une voiture assez puissante, se dirigeant dans son sens. Il se retourna, afin de poser ses yeux sur le seul événement notoire de cette journée. Une simple voiture, rien de bien palpitant. Mais suffisant pour occuper l'esprit du jeune homme quelques instants, avant qu'il ne reprenne le cours de sa vie.

Quand elle apparut enfin, au détour d'un virage, son moteur fit vibrer de puissance les fenêtres des battisses devant lesquelles elle passait. Entièrement noire, Blanc plaignit son propriétaire : il devait régner une fournaise intenable là dedans ! Le véhicule arrivant à sa hauteur, il put détailler des vitres teintées, cachant ainsi le conducteur aux yeux de tous, mais il remarqua surtout quatre portes, toutes agrémentées d'un emblème étrange. La vitesse de la voiture l'empêchait de le détailler avec plus de précision, mais les rares passants qui s'étaient également retournés sur son passage avaient l'air de très bien savoir ce qu'ils représentaient.

Ne lui laissant pas le temps d'apprécier plus l'agréable son dégagé par le moteur, la voiture dépassa Blanc... pour finalement s'arrêter dans un concert de crissements de pneus quelques mètres plus loin. Blanc fronça les sourcils. S'arrêter en plein milieu de la rue, aussi brusquement, démontrait que le conducteur avait vu quelque chose d'inattendu. Il s'était pourtant stoppé en face d'un bureau de tabac, mais si c'était son objectif de départ, il aurait sans doute ralenti beaucoup plus tôt, au lieu de s'amuser à user ses roues. Avisant les quelques badauds, Blanc remarqua qu'il était le plus proche de la voiture. Ayant analysé tout ceci en moins de deux secondes, il en conclut que le propriétaire du véhicule noir s'intéressait à lui. Bien entendu, rien n'était sûr. Il pouvait tout aussi bien s'agir d'une simple coïncidence, l'homme conduisait peut être ainsi pour le moindre de ses déplacements, et s'arrêtait en freinant violemment...

En parlant de l'homme, voici qu'il sortait de voiture, le moteur toujours allumé. Tout de noir vêtu, un béret de soldat lui couvrant le crâne, il arborait le même symbole que dessiné sur les portières. Blanc détailla deux aigles entrecroisés alors qu'il faisait le tour du véhicule, pour aller ouvrir une autre portière. Quand Blanc vit surgir un gant noir, il comprit aussitôt que le premier homme, dehors, était un simple chauffeur. Et que la personne qui s'extirpait à présent devait être riche, et probablement puissante, pour oser se payer le luxe d'une telle voiture, ainsi qu'un chauffeur.

Quand ses yeux rencontrèrent ceux rouge du jeune homme, à peine plus âgé que lui, il fut certain qu'il était puissant. Il dégageait une présence incontestable. Il arborait fièrement un haut de forme d'officier, un pardessus ainsi que des bottes montantes, le tout dans une teinte unie de noir profond. Blanc n'en croyait pas ses yeux. Alors que lui même se baladait avec une chemise blanche ouverte au maximum du pudique sur son torse, les deux hommes lui faisant face étaient aussi couvert qu'en hivers, malgré le temps plus que clément. Et en noir qui plus est ! Pourtant, ils ne semblaient pas souffrir de la chaleur, comme l'ayant écartée pour se concentrer sur des missions hautement plus importantes qu'une simple montée de température.

Et comme si leur tenue ne suffisait pas, ils se firent remarquer un peu plus lorsque l'officier (Blanc avait du mal à détacher ses yeux des épaulettes brillantes ornant le pardessus de l'homme ganté, désignant qui des deux commandait l'autre) se pencha pour chuchoter à l'oreille du chauffeur. Non seulement il l'avait fixé un peu trop longtemps pour paraître poli, mais à présent, il l'écartait ostensiblement de leur conversation. Tout ceci, comprit Blanc, ajoutait à sa prestance, désignant clairement qu'il avait l'habitude de décider, et qu'il n'hésitait jamais à diminuer un homme. Pour couronner le tout, une fois sa conversation finie, il passa devant Blanc sans lui jeter un regard, et entra dans le bureau de tabac.

Blanc se détendit à peine. Bien que l'officier ne soit plus présent, cela ne voulait pas dire que ce n'était pas lui la « cible ». Le chauffeur confirma ses doutes lorsqu'il fît trois pas en avant dans sa direction, et entama la conversation.


" Civil... Vous avez ordre de monter dans cette voiture. Toute protestation sera considérée comme un manque de respect a l'armée et une faute. "

Le ton et les propos de l'homme confirmèrent deux choses. Non seulement, ils appartenaient bel et bien à l'armée, mais en plus s'il évoquait un « manque de respect », c'était bien parce que l'officier était quelqu'un d'important. Il osait utiliser l'honneur de l'armée à ses fins. Car c'était bien l'honneur de l'officier qui était en jeu, pas celle de l'armée. Mais si Blanc refusait, rabaissant à son tour les deux hommes, le haut gradé se servirait de l'armée sans aucune crainte pour le punir. Que faire dans ces conditions ? S'abaisser soi-même en obéissant gentiment, au risque de paraître faible d'un point de vue mental ? Ou défier l'ordre, au risque de s'attirer les foudres d'un ennemi présent sur tout le territoire ?

Après quelques secondes de réflexion, Blanc pensa que la première option était à envisager. Il pourrait toujours s'extirper des problèmes à grands coups de mots. Et si les mots ne suffisaient plus, il avait toujours son wakizashi !

Il en était arrivé à cette conclusion quand l'officier ressortit de l'échoppe, allumant d'une main experte une cigarette. Une fois fait, il regarda Blanc dans les yeux, comme pour le défier de refuser. La chimère n'allait pas se laisser intimider pour autant.

Blanc se redressa, fronça les sourcils, puis posa délibérément la main sur la poignée de son sabre. Quand il vit les yeux rouge suivre le mouvement un bref instant, avant de revenir se poser dans les siens, il sut qu'il avait toute son attention. Alors il parla, d'une voix profonde et sérieuse, sans pour autant faire courir les mots. Il prit son temps, pour être certain que ses propos atteindraient les deux hommes.


" Je ne sais qui vous êtes et n'ose à peine l'imaginer. Cependant, je souhaiterait vivement que vous cessiez de m'ignorer ainsi. Agir de telle sorte revient à me rabaisser. Et cela, je ne le tolère pas. "

Pour ajouter de l'ampleur à ses propos, Blanc fît glisser sa main de la poignée jusqu'au fourreau de son arme. Et d'un petit coup de pouce dans la garde, il décoinça la lame de son étui, laissant apparaître environ deux doigts de métal tranchant. Bien que son autre main était restée le long de son corps, il était prêt à dégainer à n'importe quel moment. Mais pour l'instant, il ne cherchait qu'à montrer qu'il n'était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds.

" La politesse vous incombe également de vous présenter avant de m'adresser la parole, sans quoi vous ne passeriez pour rien d'autre qu'un homme de bas étage, pas plus éduqué qu'un porc couvert d'excréments. Et n'omettez pas de signaler les intentions voilées de votre ordre puéril ! "

Blanc y allait un peu fort, il le savait. Bien qu'il soit prêt à se servir de son arme, il avait lancé un duel bien pire encore. Un duel de langue. Celui qui réussirait à intimider l'adversaire et à se faire respecter de lui aurait toutes les chances de sortir victorieux de cette joute. L'officier avait des avantages de taille : son costume noir imposait la soumission. Sa prestance suscitait le respect. Son regard inspirait la peur. Mais Blanc avait lui aussi un avantage. Il était têtu. Et pour rajouter à cela, un grain de folie brillait en lui. Il n'avait pas peur. Il se permit même de sourire, le regard glacé braqué sur son adversaire ganté. La main toujours sur le fourreau, il attendit, laissant l'officier cuire au soleil.


Dernière édition par Kaitdhëvos Blanc le Sam 17 Sep - 10:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt]   Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt] Icon_minitimeSam 17 Sep - 9:28

Hans inspira une seconde et bonne bouché de se précieux tabac qui avait toujours pour habitude de le mettre très a l'aise avec son environnement. Sa réunion, enfin si une visite de surveillance pouvait être appelé une réunion..mais pour notre Lieutenant, cette visite était banale et il aimait a nommé cela une petite réunion avec les scientifiques. Cette chaleur ne semblait pas vraiment dérangé Hans qui s'y était habitué pendant la Guerre d'Ishval,
il pouvait rester des jours entiers sous une canicule sans bouger et les yeux toujours ouvert...l'expérience de la Guerre endurcit plus d'un homme. La chimère semblait ne pas avoir comprit encore a qui elle avait a faire devant elle, témoignant une preuve de sa témérité plutôt maladroite, osant même jusqu’à défié Hans Weillschmidt dans une joute verbale a laquelle il n'avait vraiment pas le temps de jouer...

La chimère parlons-en , des cheveux blanc comme la neige taillé en bataille, laissant dévoilé quelques mèches rebelles qui aimait a se glisser sur le front de ce jeune homme. Des yeux de couleur vert luisant contrastait avec cette image de pureté. Il avait déjà agrippa le poignet de son arme...pensait-il démontré quelque chose en agissant ainsi? Sans doute qu'il demandait le respect, ainsi il osait défié l'Armée et par la même occasion la Gestazie. Les personnes se trouvant dans les alentours, se crispait de peur, mais pour la chimère, elle avait du courage certes. Mais La gestazie avait le pouvoir de faire tout ce qu'elle désirait, ainsi une balle pour en terminé avec Blanc était dans la probabilité et de cela les citoyens semblait avoir peur.

" Je ne sais qui vous êtes et n'ose à peine l'imaginer. Cependant, je souhaiterait vivement que vous cessiez de m'ignorer ainsi. Agir de telle sorte revient à me rabaisser. Et cela, je ne le tolère pas. "

Ah la chimère semblait faire émoi d'une attention particulière...elle ne le tolérait pas, elle était plutôt bonne, la chaleur devait lui monté a la tête a ce petit bout de chair. Continuant de fumer sa cigarette, tout en négligeant volontairement de le regarder
lorsqu'il lui a dressait la parole, Hans semblait très détendu et calme
..savourant a plein poumon cette toxine qui avait été sa meilleur compagne durant toute ses années de guerre.

" La politesse vous incombe également de vous présenter avant de m'adresser la parole, sans quoi vous ne passeriez pour rien d'autre qu'un homme de bas étage, pas plus éduqué qu'un porc couvert d'excréments. Et n'omettez pas de signaler les intentions voilées de votre ordre puéril ! "

Ah voila qu'il tentait de démontré qu'il était un citoyen et qu'il méritait le respect...le respect, prêt a dégainé sa lame, dont il fit voir quelque centimètre de son métal...pathétique pensa alors Hans en jetant un regard du coin de l’œil, cependant la chimère avait sut porter de l'attention a notre Lieutenant. Si bien que notre officier de la Gestazie daigna se retourné pour lui faire front. Toujours inspirant des bouffé de sa cigarette, il reste là où il se trouvait a le fixé.

"...."


Jones:"...Lâche cette arme civil...tu n'auras pas le temps de t'en servir..."

Toujours silencieux, Hans observait la chimère sans rien dire...sa cigarette a la main, laissant son chauffeur parlez pour lui. Cependant l'inspecteur qu'était Hans amenait sa curiosité en observant les bandages. C'était-il battu?
Le lieutenant qu'il était sortit son pistolet de son étui sans la moindre gêne, tuer un citoyen dans la rue ne lui posait aucun soucis, il aurait a prétexté que ce jeune homme portant une arme l'avait délibérément attaqué, un rebelle, un partisan des extrémiste d'Ishval...un terroriste en somme. Les excuses pour un meurtre était nombreux, et les quelques personnes qui se trouvaient a observé la scène, craignait bien trop la Gestazie pour osé contredire quoique se soit...et même si c'était le cas, ces dites personnes disparaitrait le jour du procès en question.

"..."

Sans hésité il décocha un tir qui alla se filé juste a côté de la tête de la jeune chimère, le sifflement de la balle fut si intense qu'elle en fit virevolté pendant quelque seconde très courtes, les quelques mèches de son minois se trouvant a la gauche de blanc. Son tir fut calculé, si il avait voulut, cette balle aurait décalé de quelque centimètre vers la droite pour se localisé vers l'entre yeux de ce jeune homme....Hans était un tireur d'élite.

"...J'imagine que tu dois être un bon bretteur si tu possède une lame comme celle-ci, mais sincèrement les probabilités que tu puisse faire quoique se soit, face a mon Luger sont très faible..."

" Alors cesse de paradé ton courage futile et monte dans cette voiture, a moins que tu préfère que je t’envoie une garnison pour t’emmener et dans ce cas là je ne peut assuré que tu sois traité avec ......respect"

Tenant toujours en joue de la fumé légère sortait du canon du luger P08, puis il le rangea avec soin dans son étuis et tira une nouvelle bouffé de sa toxine, pour le fixé.

" Alors que décides-tu...citoyen d'Amestris...?"

Hans se posa contre la voiture, cigarette en bouche et se mit a lire le journal, sans se soucier de ce que pouvait bien faire la chimère...quelle dégaine sa lame, elle se trouverait dans une situation qu'elle ne pourrait plus contrôlé par la suite...En un sens Hans Weillschmidt offrait une chance a Blanc d'éviter des ennuis bien plus gros si une garnison de l'armée venait a le cherché...

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(Hors Rp. : Je me suis permis de changer le rouge de tes paroles en "darkred" que je trouve plus lisible. Si tu le souhaites, je peux repasser au rouge normal, il n'y a aucun soucis, préviens moi juste ^^)
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
" Lâche cette arme civil...tu n'auras pas le temps de t'en servir..."

Blanc tourna la tête vers le chauffeur, rageur. Il osait reprendre leur petit jeu ! Il aurait bien transpercé le ventre de cet homme, pour lui apprendre ! Mais il n'eut pas le temps de faire quelque bêtise que ce soit. La balle qui siffla très près de son oreille droite, précédée d'un bang retentissant, le tétanisa. Ses yeux, agrandis de stupeur, se posèrent sur l'officier, qui porta deux doigts à ses lèvres, retira la cigarette de sa bouche, puis, le tenant toujours en joue, fît parvenir pour la première fois sa voix jusqu'aux oreilles de Blanc.

" J'imagine que tu dois être un bon bretteur si tu possèdes une lame comme celle-ci, mais sincèrement, les probabilités que tu puisses faire quoi que ce soit, face a mon Luger, sont très faible... "

Blanc était toujours sous le coup de l'étonnement. Il avait osé lui tirer dessus, sans somation ! Il était prêt à tout pour arriver à ses fins, cela se voyait. Les quelques passants s'étaient précipités chez eux au premier coup de feu, et tandis que l'officier reprenait dans la même intonation, les dernières portes claquèrent sur la rue.

" Alors cesse de parader ton courage futile et monte dans cette voiture, à moins que tu préfères que je t’envoie une garnison pour t’emmener et dans ce cas là je ne peut assurer que tu sois traité avec ......respect. "

Il avait craché ce dernier mot, comme pour démontrer que lui même, en lui tirant presque dessus, le traitait avec respect !

" Alors que décides-tu...citoyen d'Amestris...? "

L'homme avait rengainé son arme juste avant sa dernière question, et se posa contre la voiture le temps que son interlocuteur réponde. Sans plus s'occuper de lui, il déplia le journal et commença à lire.

Blanc soupira, se détendit, baissa les yeux et répondit plus doucement. Non pas contraint ni soumis, il adopta plutôt la posture et l'intonation de l'homme résigné, comme s'il faisait ce qu'on lui demandait simplement pour faire plaisir.


" Très bien... J'aurais bien aimé savoir ce que vous me vouliez, mais apparemment vous êtes plutôt têtu. (Blanc releva les yeux et s'avança vers la voiture) Vous avez gagné..! " finit-il avec un sourire charmeur, qu'il réservait souvent à ses conquêtes féminines.

La chimère marchait lentement. Elle attendait un certain moment, toujours souriant, qui n'arriverait peut être jamais..! L'officier lisait tranquillement son journal, cigarette à la bouche. Le chauffeur se tenait près de la portière ouverte, droit comme un i. Quand Blanc passa devant l'officier, son expression changea. Son sourire se transforma en rictus de haine. Dans ses yeux brilla de la colère. Il les braqua sur l'homme ganté, et parla sans dissimuler la menace qui planait dans ses propos.


" Mais si vous avisez ne serait ce qu'une seule fois de pointer à nouveau votre arme sur moi, je me ferait un plaisir de vous trancher ce qui vous sert à la tenir. Vos poumons n'auront pas expulsés leur dernier cri de souffrance que toutes vos tripes seront au sol. "

Cela ne sembla pas gêner l'homme outre mesure, qui continua de balayer le journal des yeux, tournant une page, tirant une bouffée de fumée en même temps. Les yeux de Blanc s'agrandirent. C'était le moment qu'il attendait.

Alors que l'officier rouvrait son journal, après l'avoir plié en deux pour saisir plus aisément la page suivante, tous purent voir, comme au ralenti, le bout allumé de la cigarette s'écraser sur le trottoir, le philtre toujours entre les lèvres de l'homme en noir. Si ce n'était les mouvements de ce dernier avec son journal, rien n'étais venu troubler la position des protagonistes. La chemise de Blanc voletait un peu autour de lui, malgré l'absence de vent, certes, mais personne n'avait sembler bouger. Pourtant, le petit « clac » lorsque le sabre court de la chimère se bloqua à nouveau dans son fourreau fut bien perceptible par tous, ne faisant plus aucun doute quand à l'origine de la séparation en deux de la cigarette. Alors qu'une ouverture s'était brièvement créée lorsque l'officier avait plié son journal, Blanc avait dégainé, fait un pas en avant, passé sa lame sous les bras de l'homme en remontant vers sa bouche, entre les deux membres, puis d'un mouvement net, avait scindé le petit rouleau de tabac en deux. Celui ci ne s'était pas entièrement détaché de sa base que l'arme courbe avait rebroussé chemin.

Il ne savait pas si l'homme avait pu suivre le mouvement rapide des yeux. Il ne serait pas étonné s'il n'avait rien vu. Cependant, cela ne l'aurait pas non plus surpris si au contraire il avait vu le wakizashi foncer vers lui. Étrangement, cette deuxième impression prit le dessus sur la première.

Maintenant qu'il avait appuyé ses menaces d'un exemple, Blanc pénétra sans mot dire dans la voiture, sur la banquette arrière. Comme il s'y attendait, une chaleur étouffante l'accabla aussitôt. De grosses goutes de sueurs perlèrent dans son dos lorsqu'il s'appuya contre le cuir. Il changea aussitôt de position, se mettant de trois quart, à moitié contre la banquette et tout autant contre la portière restée fermée. Ainsi, il voyait l'ensemble de la voiture plus aisément, et un peu d'air circulait également plus facilement dans son dos, le rafraichissant agréablement, bien que ce ne soit pas suffisant. Il se sentit vite oppressé dans ce véhicule. Il n'avait pas la place de dégainer son arme si les choses tournaient mal, bien que son wakizashi soit plus petit qu'un katana normal. Si l'homme ganté voulait à nouveau utiliser son arme à feu, il était certain de ne pas avoir une seule chance. Discrètement, la main gauche dans son dos, il vérifia si la portière était facile à ouvrir.


" Ce sera peut être la seule option... " pensa t-il.

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MessageSujet: Re: Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt]   Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt] Icon_minitimeDim 18 Sep - 11:50

(pas de souci je vais aussi adopté la couleur XD)

En lisant les dernière nouvelles, notre Lieutenant toujours d'un calme pesant, remarqua que sur la deuxième page du journal se lisait un article sur l'Ior, de nombreux conflit interne s'y déroulait toujours...entre-temps la chimère a la chevelure blanche se décida finalement a avancer et s'exprima par quelques dires censé sûrement l'amadoué pour faire croire qu'il acceptait sans rechigné avec un mot qui se trouva mal être la faute qui permit a Hans d'anticipé sa réaction future...surtout que ce mot fut accompagné par un sourire trop facile, trop superficiel. Analyse, anticipation, probabilités..toutes des paraboles d'équation qu'un tireur d'élite avait pour habitude de recyclé dans son cerveau pendant une chasse. Ce fut donc aisé pour notre officier de savoir que la chimère tenterait pas ce biais de sourire faux de démontré sa..."force", qu'il n'était pas a prendre a la rigolade et qu'il n'était pas un chien qui obéissait au maitre. Mm ils disent tous cela, ils le pensent sincèrement au plus profond d'eux-même. Mais dans cette idée absolument belle, une réalité plus sombre, plus redoutable se dévoilait...ces personnes restait des instruments dans les mains des personnes adéquate...et Blanc n'allait pas faire l'exception. Il était une chimère et son rôle allait d'être une arme pour l'armée...une arme pour la Gestazie, un instrument de recherche et de renseignement. Mais avant Weillschmidt allait devoir le modelé a l'image qu'il voudra que cette chimère soit.

" Mais
si vous avisez ne serait ce qu'une seule fois de pointer à nouveau
votre arme sur moi, je me ferait un plaisir de vous trancher ce qui vous
sert à la tenir. Vos poumons n'auront pas expulsés leur dernier cri de
souffrance que toutes vos tripes seront au sol. "


Des paroles bien menaçantes qui ne fit ni sourire ni laissé un émoi d'émotion s'afficher sur le visage de notre Lieutenant et chef du département de la Gestazie, continuant de lire paisiblement son journal, s'abreuvant des dernières nouvelles et faits divers. Il remarqua également l'annonce de la pharmacie du Major Clothilde Laysawer ou les heures d'ouverture y était inscrite. Une alchimiste de soin. Un chien de Guerre, une arme, un instrument aussi comme tous les autres de leur espèces qui ne devait avoir que pour but de servir l'armée et rien d'autre. Alors lorsqu'il vit qu'elle possédait une pharmacie, cela le fit sourire. Elle pensait sûrement vivre comme les gens normaux. Quel futilité , quel absurdité totale..sa place était sur les champ de bataille a faire ce pourquoi elle était payer ni plus ni moins. Tss ces alchimistes avaient toujours eut trop de liberté au gout de Hans, beaucoup trop.

Soudain, une légère, très mince brise d'un souffle coupé, se fit sentir, et un morceau de sa cigarette fut coupé net et tout ce qui s'entendit par la suite fut un "clak" a moitié sourd comme réponse a la fissure de sa cigarette. Une vitesse remarquable, voir phénoménale, un très bon bretteur. jetant ce qui restait de sa cigarette au sol, il écrasa néanmoins le bout coupé encore sous le crépitement du feu qui brûlait le tabac. repliant soigneusement le journal, il laissa entrer Blanc dans la voiture et s'installer. Puis il rentra a son tour dans la voiture, demandant a Jones de mettre l'air conditionné.

Celui-ci s'exécuta et enclencha la première après avoir embrayé et juste avant que les roues arrière s'enclenche a tourné, car oui cette voiture était une propulsion. Hans sortit sa mallette noire et l'ouvrit, plusieurs documents s'y trouvait ou le symbole de ces deux oiseaux confondue se trouvait en haut de page.

" Tu dégages trop d'émotion lorsque tu frappes....ton épaule ta trahit ainsi que tes mots..."

Une petite remarque pour parfaire au menaces dite précédemment a son encontre, En alignant les défaut de son attaque, Hans lui démontrait qu'il avait encore beaucoup de progrès a faire avant de pouvoir faire quoi que se soit.

" Jones...vous prendrez par la Chesterfiled avenue.."

Jones:" Bien Lieutenant"

La voiture se mit donc a rouler, prenant par cette avenue en question. Hans sortit alors un dossier ou un nom ressortait facilement du lot un nom que devait bien connaitre Blanc "Professeur Gawoeg". A cet instant la chimère pouvait aisément comprendre que sa rencontre avec Hans n'était pas dût au hasard, il était recherché et avait été suivit, observé sans qu'il le sache, les hommes de la Gestazie l'avait retrouvé.

"...Maintenant dit moi ....Chimère ZH-0032 nom de code Blanc plus communément appelé Blanco par certain...où t'es-tu soigné de tes plaies?"

"Et ne me ment pas , tu a certainement put comprendre par toi-même que notre rencontre n'est pas le fruit du hasard"

"Nous te surveillons depuis longtemps...et bien que je n'approuve pas que ceux de ta race jouisse de liberté...il me fût contraint de te laissé ta .......liberté provisoire a s'enrichir"

Il prit une pause pour sortir une nouvelle fois une cigarette, baissant quelque peu al vitre afind 'y faire dégager la fumé. Il l'alluma a l'aide son zippo et y prit une grande bouffé avant d'expulsé cette toxine par la fenêtre.

"...hm?...qui ta fait ses bandages qui me semble faite par un professionnel...qui t'a donc aidé?"

La voiture arriva devant de grand bâtiments militaire ou l'un d'eux portait le chiffre cinq. Ce batiment était fortifié et gardé par des militaires. La voiture de Hans s'arrêta devant le grillage et pendant quelque seconde Jones fournit un laisser-passer et les portes de métal s'ouvrir afin de laissé passer la voiture où se trouvait Hans et la chimère.

Après que Blanc ait répondu a la question du lieutenant, la voiture s'arrêta net et il rangea le dossier concernant Blanc dans sa mallette noir, puis tourna son regard vers celui-ci.

Thème de la scène

" Laisse tes armes dans la voiture...et suis-moi..j'ai une visite a faire et j'aimerai que tu vienne avec moi j'ai des choses a te montrer..."

Sans attendre de réponse, il formula cela comme un ordre et vu le nombre de militaire que regorgeait la zone, mieux valait obéir afin d'éviter de gros, de très gros soucis. En un sens si Blanc obéissait a Hans il avait l'avantage d'être sous sa protection, car même certains officiers présent pour l'accueillir et pourtant plus gradé que lui semblait comme presque terrifié de sa présence....il était le chef du département de la Gestazie, l'un des services les plus dur et possédant une grande liberté d'action et de droit. D'un autre côté Blanc ne pouvait pas vraiment faire confiance a Hans Weillschmidt, mais notre officier semblait être un homme de poids face a tous ces haut gradé.

Colonel:" Lieutenant Weilschmidt, heureux de voir que vous ayez put vous libérez.."

"...Colonel Grant..."

" Vous aviez a me montrer certaines choses je pense?"

Colonel:" Oui tout a fait .."

"Sans être indiscret qui est cette jeune personne derrière vous..?"

"..Un nouvel atout de la Gestazie, elle est ici pour tester vos nouvelles armes...une sorte de test afin que je puisse voir si oui ou non elles sont performantes comme vous me le dites"

" heu sans vous vexer Lieutenant, il ne fera pas le poids..."

"..Nous verrons bien Colonel contentez-vous de me guidé "

Si tôt dit si tôt fait, guidé par le colonel, Hans, et Blanc suivirent d'un pas calme mais militaire le Colonel et ses gardes. Pénétrant dans le laboratoire, plusieurs pièces, plus scientifiques tous habillé de blanc jalonnait les couloirs. Certaines picèes vitré on y apercevait des être humains attachés subissant divers injections, d'en d'autre des animaux de toute sortes toujours accompagné de scientifique et de laborantins en tout genre. Une véritable arche de Noé.

Leurs pas finir par les guidé vers 4 étages plus bas, en sous-sol, ou se trouvaient divers individus de masses comme de taille diverses,enfermé chacun dans des cellules différentes. Leur porte était blindé et dans cette même pièces pour chaque cellules se trouvait une seconde porte donnant sur une pièce beaucoup plus grande en carré ou des vitre blindé entouré la pièces. Cette pièce était une sorte d'endroit ou les gens s'entrainait a se battre. sur un des mur du fond de la pièce se trouvait une baie vitré...a vrai dire une vitre blindé. C'est la que se dirigeait Hans, Blanc et le colonel ainsi que ses gardes...a cet endroit se trouvaient déjà plusieurs scientifique...du projet.

"Nous y voila...vous voulez les voir?"

"Je suis là pour ça Colonel.."

Le colonel main dans le dos jeta un regard a son scientifique chargé du projet pour qu'il libère une des chimère de la cellule.

"le Sujet KR-789...svp"

"Vous allez-voir, il fut transmuté avec un lion...une véritable machine de combat."

"Voyons voir..."

Hans Weilschmidt se tourna vers Blanc et le fixa...

" C'est le moment pour toi de montrer que tu sais te battre...Chimère..."

" Un combat a main nue...ou désirez-vous qu'il prennent des armes?"

" Cette une chimère votre sujet non, j’aimerai donc voir comment il se débrouille une fois transformé..."

Une porte s'ouvrit pour Blanc afin qu'il puissent pénétrer dans la pièce ou la chimère de lion l'attendait. Ce sujet était encore a l'état d'apparence humaine. Blanc allait devoir montrer ses capacité de chimère.


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MessageSujet: Re: Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt]   Début d'une nouvelle vie. [Libre] [actuel: Blanc Kaitdhëvos / Hans Weillschmidt] Icon_minitimeJeu 22 Sep - 9:06

La voiture démarra sur les chapeaux de roue. Collé contre la banquette, Blanc fut totalement décontenancé par la soudaine accélération. Une fois la vitesse de croisière atteinte, il se détendit, une légère brise lui caressant le visage. La température de l'habitacle chuta rapidement tandis que l'homme en gants, installé à ses côtés, ouvrait une mallette noire.

" Tu dégages trop d'émotion lorsque tu frappes....ton épaule ta trahit ainsi que tes mots..."

La chimère le regarda avec surprise. Ainsi donc il l'avait vu bouger ? Mais il osait dire en plus que sa façon de parler l'avait trahi ? Blanc sourit intérieurement. Finalement, cet homme n'était peut être pas si intelligent qu'il le laissait paraître. Cela lui donnait plus de chances de le manipuler. Car la chimère avait fait littéralement exprès de le menacer ouvertement. Ce n'était pas une émotion, juste une mise en garde. Blanc est quelqu'un qui ne s'énerve pas facilement, bien au contraire. Et une simple joute verbale ne suffit pas à le faire sortir de ses gonds. Les fausses émotions permettaient souvent de vaincre sans perdre ses moyens. Et l'officier ne semblait pas savoir cela.

Tout en feuilletant ses papiers, il ordonna à son chauffeur de couper par une certaine rue. Quand l'homme au volant lui répondit, il apprit une chose involontairement à Blanc. L'officier était Lieutenant. Pas un très haut grade, tempéra t-il, mais impressionnant vu son jeune âge apparent.


" Maintenant dis moi ....Chimère ZH-0032 nom de code Blanc plus communément appelé Blanco par certain...où t'es-tu soigné de tes plaies? Et ne me ment pas, tu as certainement put comprendre par toi-même que notre rencontre n'est pas le fruit du hasard. Nous te surveillons depuis longtemps...et bien que je n'approuve pas que ceux de ta race jouisse de liberté...il me fût contraint de te laissé ta .......liberté provisoire a s'enrichir. "

Si Blanc fut surprit lorsqu'il aperçu le nom de son père adoptif sur une en-tête de page des dossiers, ce ne fût rien comparé à la stupeur qui écarquilla ses yeux quand le Lieutenant prononça « Blanco ». Ce surnom lui était donné rarement, et uniquement dans l'intimité. Il comprit donc que une, ou plusieurs, de ses conquêtes étaient des agents infiltrés.

" Hmm coucher pour récolter des informations... Ça c'est un bon travail ! " pensa t-il.

" ...hm?...qui ta fait ses bandages qui me semble faite par un professionnel...qui t'a donc aidé? "

Blanc décida de jouer le jeu. Après tout, il pourrait tirer quelques bénéfices de cette rencontre avec le Lieutenant.

" Elle se nomme Laysawer. C'est une alchimiste, mais je ne dois rien vous apprendre. Elle est très dévouée ! " ajoute t-il avec un sourire rêveur.

Quelques minutes plus tard, le chauffeur dirigea la voiture dans l'allée d'un grand bâtiment, et après quelques contrôles d'identités, le Lieutenant invita la chimère à quitter le véhicule, sans ses armes. Blanc obtempéra, bien qu'une moue désapprobatrice naquit sur son visage. Il ne songea tout de même pas à désobéir lorsqu'il nota autour de lui le nombre très important de militaires en uniformes. Alors approcha un autre homme, dont les galons brillant sur ses épaules indiquaient clairement un grade élevé. Quand il parla, il apprit une seconde chose à Blanc. Le nom du Lieutenant.


"  Lieutenant Weilschmidt, heureux de voir que vous ayez put vous libérer..

- ...Colonel Grant... Vous aviez a me montrer certaines choses je pense ?

- Oui tout a fait .. Sans être indiscret qui est cette jeune personne derrière vous..?

- ..Un nouvel atout de la Gestazie, elle est ici pour tester vos nouvelles armes...une sorte de test afin que je puisse voir si oui ou non elles sont performantes comme vous me le dites.

- Heu sans vous vexer Lieutenant, il ne fera pas le poids...

- ..Nous verrons bien Colonel contentez-vous de me guider. "


Blanc ne comprenait plus rien à rien. Qui était censé commander qui au juste ? Un Lieutenant qui se permettait de parler ainsi à un Colonel ? Et quel était cette « Gestazie » au juste ? Blanc n'en avait jamais entendu parler. De plus, il n'était qu'un jouet aux mains de ces hommes, cela lui sauta aux yeux. Décidément, il aurait mieux fait de tuer le Lieutenant dès que l'occasion s'était présentée, et retourner dans sa région natale... Mais c'est docile et résigné qu'il suivit les deux hommes, encadrés par une escorte de quatre hommes. Après de longues minutes de marche, déambulant dans des couloirs tous similaires, descendant d'innombrables escaliers, prenant des dizaines de croisements, Blanc fut totalement perdu. Ils se retrouvèrent dans une salle peuplée d'hommes et de femmes en blanc, eux même entourés de cellules à deux pièces, une cerclée de métal, et la seconde de verre. L'escorte et les escortés ignorèrent les premières pièces, mais s'arrêtèrent devant celle du fond. Dans la cellule transparente, à travers la baie vitrée, on pouvait apercevoir un homme seul, visiblement furieux.

" Le Sujet KR-789. Vous allez-voir, il fut transmuté avec un lion... Une véritable machine de combat.

- Voyons voir...
(le Lieutenant fixa Blanc) C'est le moment pour toi de montrer que tu sais te battre...Chimère...

- Un combat a main nue...ou désirez-vous qu'il prennent des armes ?

- Cette une chimère votre sujet non, j’aimerai donc voir comment il se débrouille une fois transformé... "


On poussa Blanc dans le dos, certainement avec des fusils, il ne sut le dire. A peine avait-il compris ce que l'on attendait de lui qu'il se retrouva dans la pièce transparente, face à un homme assez imposant, qui le fusilla du regard. Kaitdhëvos n'hésita pas un seul instant. Tué ou être tué. C'était clair comme de l'eau de roche. L'homme devenu son ennemi poussa un rugissement formidable, en débutant sa transformation. Sans perdre une seconde, Blanc courut vers lui. En trois pas, il avait parcourut la distance nécessaire pour lui assener un formidable coup de poing. Son allure un peu frêle ne laissait en rien imaginer une force considérable. Quand les phalanges percutèrent la mâchoire adverse, un craquement retentit, changeant le rugissement en cri de douleur. L'homme-lion pratiquement transformé alla s'écraser contre la seule paroi métallique de la pièce, en faisant trembler toute l'ossature. En un bond, Blanc fut à sa portée. Tandis que ce dernier activait sa mutation, il percuta d'un autre coup de poing le visage maintenant poilu de son adversaire. Cela ne sembla pas lui faire grand mal, car il redressa la tête, prêt à se relever et se ruer sur son assaillant. Mais Blanc ne l'entendait pas de cette oreille. Il n'attendit pas d'être totalement transformé pour en finir avec son adversaire. Ses griffes avaient poussés en premier. Cela suffisait. De sa main gauche il agrippa le menton brisé de l'homme-lion, levant violemment. Ce dernier hurla de douleur tout en essayent de se soustraire à l'étreinte sadique. Quand il releva la tête un peu plus haut, dévoilant son cou, Blanc plongea les griffes de sa main droite directement dans la chair contractée. Il crispa un peu les doigts, puis les retira en arrachant la moitié de l'œsophage. Un gargouillis immonde accompagna la chute de la chimère égorgée, tandis qu'un millier de gouttelettes de sang brillèrent un instant en l'air, entourant Blanc d'un halo rougeâtre, tâchant ses vêtements, cheveux et queues. Sa transformation ne s'achevait qu'à l'instant, alors même que son ennemi agonisait au sol, un trou béant à la place de la gorge. La main tenant toujours le morceau de chair ensanglantée, la chimère renard se laissa éclabousser par le sang qui retombait autour de lui. Le visage sombre, maculé de rouge, se posa sur sa victime. Il avait rusé pour l'abattre. Lui faisant mal, il avait obligé l'homme-lion à relever la tête de lui même pour qu'il se défasse de l'étreinte douloureuse que lui imposait la main de son adversaire. Et par la même occasion, il avait offert son cou nu à la mort apportée par les griffes de Blanc. Sentant le poids du regret peser sur ses épaules, celui ci voulu achever l'agonisant pour mettre fin à ses tourments. Mais sans armes, il ne sut comment s'y prendre. La mort dans l'âme, il regarda tristement l'homme se vider de son sang, s'étouffer dans celui ci. Il resta là, à attendre la fin.

" Tué ou être tué... " murmura t-il.

Deux oreilles maintenant quillées sur son crâne, trois queues dans son dos, des griffes mortelles au bout des doigts, couvert de sang, il sortit par la porte ré-ouverte de la pièce. Ses yeux rencontrèrent ceux du Lieutenant.

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