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La journée venait juste de commencer pour la petit Niji. Comme a son habitude depuis quelque jour, elle se réveilla dans l'herbe fraiche d'un petit parc au premier rayon du soleil sur son visage pale comme par le passe. S’étirant, baillant et ouvrant ses yeux clairs au monde elle se leva rapidement et s'époussta remettant son sabre dans son dos et partie d'une marche rapide dans un direction qui lui était inconnue. Voila maintenant 5 jours qu'elle était partie du centre et qu'elle s’était perdu. Bien que son sens de l'orientation était légendaire elle avait fait une moue contrarie quand, pensant avoir réussi pour une fois elle était partie demander son chemin a un brave homme qui lui avait répondu, qu'ils étaient dans le sud. Un soupire passa ses lèvres.

Au bout d'une heure de marche intensive et de tournage en rond elle finit par s’arrêter devant la vitrine d'un magasin de vêtements et elle se regarda. Il y a une nuit elle s’était paye une chambre d’hôtel. Un luxe qui lui avait tout de même couter mais elle ne regretta pas. Aujourd'hui ses cheveux était propre. Ses vêtements aussi. Quoique peu adapter a la saison. Son haut était composer d'un haut de bikini simple et blanc, cachant le stricte nécessaire, attirant pas mal de regard, de femme envieuse de sa poitrine et de jeune homme a moitie bavant, son bas, d'une mini-jupe punks s’arrêtant mi-cuisse mais ne laissait a peine voir ses jambes car ses chaussure était de grosse boots noir lui arrivant au genoux et surtout, compense de 5 centimètre.
Avisant le reste de son argent gagne le mois derniers elle se dit qu'elle avait les moyens de ce payer de nouveau vêtement et de manger tout le reste du mois un sandwich. En espérant qu'elle rentrerait chez elle avant.

Grimaçant elle entra donc le magasin elle regarda un peu le temps dehors. Nous serions rapidement au printemps mais pour la saison l'athmosphère était lourde et le vent trop humide. Le ciel bleu pur, comme les yeux de la jeune fille mais au loin on pouvait voir de lourd nuage noir que le vent apporter avec lui. Elle détourna ses yeux du dehors et fit rapidement le tour des rayons et trouva son bonheur. Un simple haut noir, unis comportant un décolleté. Avec un pantalon ( jeans ? Pas sûre que sa existe mais bon ) bleu. Gardant ses chaussures et se dirigeant vers la caisse elle demanda si elle pouvait mette les vêtements maintenant après achats ce qu'on lui accepta.

C'est ainsi que la fille au cheveux rose, sortie du bâtiment habillait des vêtements neuf et ses cheveux qui pour une fois - parce que cela arrive rarement - d'une queue de cheval haute lui donnant un air un peu plus vieux que ce qu'elle ai habituellement mais n'enlevant rien a son charme. Dans son dos son sabre au fourreau blanc.

Du haut des ses un mettre cinquante cinq elle avança a nouveau dans la rue de moins en moins bonde au vu de l'heure a déjeuner qui arrivait et tourna a gauche d'une ruelle, la traversant en toute confiance sans vraiment regarder si il y avait des gens ou pas perdu dans ses pensée. La rosee était dans ses réflexions pour à présent trouve la gare et revenir dans son appartement en espérant par la suite plus se perdre et continue a travailler. D'ailleurs la rosee était tellement perdu dans ses pensées qu'elle ne vit pas le grand homme - parce que de toute façon elle est tellement petite que la plupart des gens son grand - qu'elle percuta que seulement qu'elle fut a terre et surtout, quand son sabre quitta son dos. A nouveau elle fit la moue et se releva reprenant son sabre en se penchant en avant laissant sans le vouloir une belle vue sur ses attributs féminin.

Niji sourit gênée face à l'homme et s'inclina tout en parlant d'une petite voix fluette .

- Veuillez me pardonner, je ne vous ai pas vu.

D'accord, elle etait peut etre pas la fille la plus fine ou la plus intelligente du monde, mais le faite est que, elle c'etait excuser poliment, gentiment et un sourire au levre, qu'elle ne quittait, probablement jamais en toute circonstances sauf une. Certes, elle admettait aussi qu'elle n'etait pas de grande interet pour lui. Elle etait une etrangere pour lui comme lui etait un etranger pour elle, mais, il aurait bien pu dire " ce n'est rien " meme avec son " fillette " et la laissait repartir mais non, il a fallut qu'il en rajoute une couche ou deux. D'abord, donc, ledit " fillette " qui crispa un peu son sourire, un peu beaucoup son sourire, mais elle ne dit rien, d'accord, elle l'avouait avec ou sans chaussure elle etait petite. Mais, p*tain, elle avait dix-huit ans. Bon, elle n'avas rien dire, attendant simplement pour partir car les meprises, ca arrive a tout le monde quand et surtout quand on ne connait pas une personne mais voila, car oui, rien ne ce passe jamais comme prevue, il avait insulter ce qu'il ne fallait pas insulter ... Ses ... Cheveux.

- Non mais c'est quoi votre probleme !? Franchement, vous voulez mon avis ? Je vous permet pas de vous foutre de moi. Premierement, monsieur L'ETRANGER, moi je suis majeurs et vacciner. Alors votre "fillette", vous vous le mettez la ou je pense. Hein ! Deuxiement je viens de central. Ce qui n'as pas l'air d'etre de votre cas.

Une grosse veine battait sur le cote de sa tete, sur sa tempes. De nature, habituellement elle n'etais pas bavarde, mais la, elle venait de deballer un des plus longs discours de toutes sa vie, et encore, elle se retenait de lacher sur lui une serie d'insulte sur un homme qu'elle ne connaissait meme pas, ni d'amen ni d'eve, c'etait de l'impolitesse a l'etat pur, pour lui, comme pour elle. Mais bon, il c'etait tout de meme moque d'elle. Elle serra le manche de son sabre au manche blanc et le degnas de maniere imperceptible un morceau de celui-ci, laissant voir une infime partie de la lame froide et tranchante. C'etait manique, son insteint qui la guidait, pourtant, au plus loin qu'elle se souvienne, elle n'avait jamais eu d'instint de survis, offrant meme une fois, il y a fort longtemps des bonbons a des criminels. Mais, seul dans ses moments de colere, de tres, voir, tres tres rare colere, elle se laissait guide par son aura combative, celle d'une samourai impitoyable, se lancant tete baisser dans des combats que normalement, par habitude elle evitait. Mais trop tard, la, tout de suite, elle aura du partir pour ne pas s'aggraver et retrouver son calme et sa serenite.

Tout le monde se demandait toujours comment faisait elle, cette fille au cheveux rose pour rester si simple, en realite ce n'etait pas tres complique. Elle jouait au volcan, enmagasinant chaque mots, chaques paroles, chaque chose dites par les gens jusqu'a ce que " BOOOM " sa explose au fond d'elle et, qu'au finale elle rentre dans une colere froide et sourde.

Manque de chance pour lui, elle etait a ses limites, manque de chances pour lui elle etait a fleur de peau de s'etre ainsi perdu au beau milieux de nul part dans un endroit chaud, trop chaud.

Elle eu un sourire sadique, bizarre etrange. Et ca, ce n'etait jamais bon sourire. Aussi rare qu'ils etaient dangereux. Peut etre plus pour elle meme que pour lui. Lentement. Pour ne pas faire de geste brusque elle mis son sabre sur sa hanche gauche, l'accrochant a l'aide de sa ceinture et y deposa son bras gauche, s'appuiyant et garde a une porte courte son bras droit, pret a degnait a n'importe quel instant. Ca aussi, c'etait une mauvaise chose.

Elle fit un instant la moue, et reprit la parole, presque, tranquillement et aucune trace de colere dans la voix, juste quelque chose de doucereux et dangereux, juste un accent moqueur.

- J'espere que tu es fiere de toi maintenant, je n'arrive plus a me calmer maintenant.

Si il s'agissait bien de Niji Obuto ? La fille qui ressemble a une gamine, de long cheveux rose et des yeux bleu triste ? Oui, sauf peut etre les yeux, les yeux voile, par autres chose, une lueur grossiere, sensuelle et sombre, celle qui montre l'impatience d'un combat iminant. Non, elle n'avait pas de probleme de personnalite ... Quoique, avec son enfance ... Mais non, elle etait juste en colere, pas encore totalement, mais elle se calmeras si et seulement si ( vive les math ) il n'en rajoute pas plus. ... Si hein.

Le temps semblait passer au ralentit, comme si le soleil arrêtait sa course dans le ciel. Haut, dans le ciel, il brûlait sa peau blanche, comme un feu ardent. Bien que la ruelle était sombre et humide, que, beaucoup d'ombres tombaient, elle était tellement malchanceuse qu'elle était au soleil. Souriant cyniquement elle ferma les yeux, et fronça le nez, exaspérée, désespérée. Ses lèvres se levèrent laissa voir ses dents et deux petites canine plus développées. Tiquant. Elle serra un peu plus le manche de son sabre et leva la lame vers la gorge de l’homme. Lentement, son pied droit bougea, se mettant en avant lui donnant un position plus stable sur ses jambes. Enfin elle se décida, amorçant un mouvement et sauta dans les airs. S'aidant d'une poubelle pour aller plus haut. Oui. Elle avait tout de même un peu de jujotte elle n'était pas blonde non plus. Plutôt une rousse. Comme a l'époque, a l'apogée de la religions, ou l'on pourchassait les roux et les rousses, les pensant sorcière et suppôt de Satan. Mais voilà cette époque et révolue et en temps normal, Niji était une femme calme, douce et gentille; se laissant faire, se laissant dominer, mais voila. Il y a une limite a tout. Même a son calme, et même, oui, même son sourire pouvait changer.

Ainsi dans les airs, bien sûr, comme la loi de gravité qui s'imposait, elle tomba, mais les jambes quelque peu reculées, prête a ce réceptionner sur le sol tel un chat, ses yeux blanc, foncés, tirant vers le noir, ses sourcils roses fronçaient, ses cheveux réunis dans une grande queue de cheval encore vers le haut. Et bien sur, la lame de son sabre, son sabre a la lame grise, qui semblait avoir changeait de couleur en même temps que l'aura de son maître, attaquant de manière impitoyable ( voyons elle a le droit de rêver c'est une humaine ). La lame toucha la main orné d'un tatouage, alors, qu'elle lâchait de sa gauche le manche, le posant sur son épaule elle approcha ainsi, posant son front contre le siens, ne tenant que sur la pointe de ses pieds pour être a sa hauteur.

- Vantard en plus de ça ? Vous n'êtes pas un gentleman, vous.

Un nouveau sourire se peignit sur ses lèvres, un sourire amusé et réel, un de ses sourires rare, qu'elle ne laissait quasiment personne ou que très peu avait vu. Elle ne le réservait qu'à quelques personnes, mais n'ayant pas d'ami elle ne le faisait que quant elle était ainsi, proche de la folie, ou plutôt, comme une véritable furie, bien heureuse. Mais, quant était-elle bien heureuse ? Aucune définition pour aucune personne ne s'imposer. Elle fronça le nez. Juste, elle aimait son état d'esprit actuelle. C'était elle. Celle qu'elle cachait au fond, au très fin fond d'elle. Une battante, ou une gamine. Ou alors ?

- Jolie tatouage

Elle avait souffle ces quelques mots dans son oreille alors qu'elle retombait simplement au sol. Dans la position qu'elle avait au paravent juste avant d'attaque. Le pied gauche devant, le droit, quelque peu derrière, le sabre levait, les sourcils fronçait et ses grand yeux bleu, normalement aussi profond qu'un océan sans fin, d'une couleurs nuit insondable.

A nouveau elle soupira et se pinçât les lèvres d'agacement dans une attitude mignonne et enfantine. Une de ses moues qui lui enlevait quelque année; celle qui faisait que l'on la rajeunissait tout le temps, qui faisait qu'elle se prenait des remarques comme ça, comme '' Gamine '' et ''Fillette'' .

- Pensait a me donnée le noms de votre artisant.

Elle se bloqua, un instant sans raison et fit un sourire tendre et adoucit. Un verre ? quel drôle d'idée, bien qu'elle ne soit pas contre, cette homme avait vraiment de drôle d'idée. D'abord il la provoquait et maintenant, il lui proposait un verre, et bien, pourquoi pas. Lentement, elle rangea son sabre d'un blanc immaculer et refit sa moue, histoire de dire, qu'elle était toujours en colère.

- Va pour le verre, mais c'est toi qui paye

Et elle mit ses mains dans ses pochse.