Niji était de retour a centrale . Enfin. C'était tout juste le début d'après midi, le soleil était moins chaud que l'as d’où elle revenait, et elle était heureuse. Bon certes, elle avait quitte son foyer, fallait qu'elle trouve un job, mais maintenant, elle avait des papiers, des sous et des vêtement descend. Elle était quelqu'un a par entière. Cette pensée lui étira un sourire quand soudain une ombre passa dans son esprit. La dernière rencontre qu'elle avait faite n'était pas des plus glorieuse. Un fou, c'était tout simplement un fou. Il l'avait énerve, avait contribué a son relâchement morale certes pour refaire d'elle quelqu'un de bien. Lui avait payer un bon repas après un petit combat et était partie comme un voleur en lui disant que bientôt ils se reverrait. Quand il est partie, elle avait encore la fourchette dans la bouche. Pour le coup, elle en avait éclate de rire. Elle se sentait con. Combien de fois avait elle fait le coup ? Trop pour les compter et là, c'était elle qui se retrouvait dans cette situation. Tout est question d'Ironie. Elle ne savait rien de cette homme elle avait juste décider de le retrouvé. En ne sachant ni son nom, ni son prénom. La seule chose qu'elle savait c'était qu'il était typé et qu'il avait un tatouage sur la main. Ça devrait être facile a retrouvé … Non ?

Vagabondant dans les rues de central elle laissa ses pensées bouger et tourné en rythme dans sa tête, elle se souvint de chaque rencontre, de chaque personne et ce souvenir au fond lui faisait un bien fou. Elle passa devant la maison de Elianna en souriant, et décida de s'installer quelque temps dans le parc, regardant les diverses môme jouer dedans dans un espoir infime d'y croisé Mely. Mais fut vite deçut. Puis finalement, elle partie, le soleil commençait a décliner. Elle pris un carrefour a droite et tomba dans une ruelle. La ruelle qui avait qu'elle était poursuivis par un dangereux psycopathe et qu'elle était tombé dans les égout. Advienne que pourra, c'était elle dit en s'approchant des bruits dans les égouts. Elle c'était faite tiré dessus et c'était cette fois fait poursuivre par une horde de monstre vivant dans les égout faisant connaissance d'un certain Sanji avec qui elle avait vite sympathisé et qui finalement était mort sous ses yeux. Même si cette incident était triste. Elle avait finis par vivre avec. Elle c'était alors installé dans le grand parc de Central attendant sa mort quand le gugusse au cheveux vert l'ayant aperçut l'avait sortie de son puits. Et la personne a qui elle devait tout était sans contexte Roy Mustang. Elle ne compter pas l'oublié.

Niji continua de Errait jusqu'à tomber sur les coups de minuit sur un petit bar au diverse illumination qui avait attiré son regard. Mentalement une nouvelle fois elle compta son argent et ce dit que pour une fois elle pouvait bien s'offrir quelque verre. C'est ainsi, que la petite fille – de taille – au cheveux rose entra. Ou plutôt, tenta d'entré. Faisait-elle gamine a ce point ? Niji ne faisait pas plus d'un mètre cinquante, avec ses chaussure a talon compenser elle en faisait cinquante cinq. Ses cheveux long, d'ordinaire détacher et tombant dans son dos en cascade était actuellement attacher en une haute queue de cheval laissant sa nuque pâle et lisse a vu de tous. Elle portait un tee shirt noir, décolleter mettant en avant ses atouts féminin soit une poitrine plus qu’agréable a vu. Son pantalon noir ne la moulait pas plus que ca et ses bottes était mise au dessus de son pantalon. Dans son sac a dos se tenait son sabre et ses outils et sa large cicatrice était caché.

Pour rentré, Niji Obuto du faire deux choses : Montré ses papiers et laissait son sac a dos a l'entré. Ce qu'elle fit mais il n’empêchait pas qu'elle cachait tout deux même deux autres armes sur elle, un silex – ou elle avait remit six balle – et une clé a molette dans sa chaussure. Souriant d'un air de vainqueur elle passa prés du videur et alla s'installer au bar ou il y avait encore peu de monde, tous étant entre amis et en salle et commanda sa première boisson. Une simple bière pression.

Plus le temps passait plus elle voyait flou plus elle buvait. Certain garçon venait allègrement la draguais mais tous, un par un elle les envoyait boulé n'ayant qu'une pensée en tête, l'homme au tatouage. Non, elle n'en était pas amoureuse, bien sur qu'il était mignon mais tant qu'elle ne lui ferait pas payer de l'avoir planté ou de savoir ce qu'il voulait vraiment elle ne pourrait pas oublié. La nuit se passa ainsi, jusqu'à ce que, elle bu un verre de rhum de trop elle s'effondra sur le comptoir.

* * *

Le matin pointa enfin le bout de son nez et certain rayon passèrent la vitre du bar ou Niji se tenait endormis. Grognant sous l'agressions du soleil sur son trop pâle visage elle mit une mains devant ses yeux et se redressa regardant autour d'elle. C'était bien la meilleur. Elle avait trop bu la veille et maintenant la voilà dans cette endroit sordide. Encore agressive par le trop plein d'alcool dans son sang et la gueule de bois qu'elle sentait venir a vitesse grand v elle se tourna vers le pauvre serveur qui était en pleine préparation de salle pour le midi et lui demanda

- Pourquoi diable ne m'as t-on pas réveiller ?

Sa voix était rauque, écailler et surtout trop forte pour sa petite tête qui lui fit bien vite comprendre et dans un gémissement sonore elle se laissa tomber gracieusement sur le bois bien froid du comptoir.

- Si j'vous paye, vous me faite un truc a mangé et vous me ramenez un dolliprane ?

[HRPG] J'espère que le poste te conviens. Voilà ! [HRPG]

Le matin n’était absolument pas le moment que tu aimais le plus dans ta journée. Les premiers rayons de soleil te remplissaient d’une profonde mélancolie sans que puisses en identifier la raison. La vérité était que tu savais parfaitement ce qui te rendait à ce point déprimé mais tu refusais de l’affronter pour l’instant. Tu n’avais toujours pas fait ton deuil, pas entièrement. Seulement, et encore, lorsque les assassins de ton frère aîné se retrouveraient les deux pieds dans la tombe. Alors là, tu t’octroierais de vraies vacances et retournerais sur sa tombe à lui. Ton modèle, ton rayon de soleil. Le seul qui ne t’éblouissait pas et ne te donnait pas des maux de tête phénoménaux. Et dire que tu n’avais pas une seule goutte d’alcool dans le sang… non, le soleil et toi n’étaient vraiment pas fait pour vous entendre.
C’est en grommelant des jurons à l’encontre de ton ennemi naturel que tu balayais les derniers vestiges de la fête d’hier soir, un anniversaire bien arrosé. La moitié des invités avait au moins fait un passage obligatoire aux toilettes, d’où l’odeur peu ragoûtante. Heureusement, ta tâche n’était pas aussi ardue. Tu entendais les cris d’indignation de Gino provenant des lieux maudits et tu compatis. Un peu, pas de quoi aller lui donner un coup de main alors que tu avais déjà terminé et que tu prenais ta pause cigarette. Ton sens de l’altruisme avait d’assez maigres limites ; tu étais le premier à l’admettre.
Le patron, un immense trentenaire à la carrure impressionnante et aux longs cheveux blonds, te rejoignit. Sans un mot, tu lui allumas son mince cylindre blanc et ce fut deux lignes de fumée qui s’élevèrent dans l’air avant de disparaître dans de longues et mystérieuses volutes.

« Alors, pas trop fatigué Badou ? C’est bien la première fois que tu restes toute la soirée. Ca ne va pas empiéter avec tes autres jobs ?
-Non ça va. J’ai eu ce que je voulais. »

Tu lui montras les clichés pris hier, montrant un haut gradé touchant d’un peu trop près les fesses d’une adolescentes pompettes.

« Tu sais à quoi tu t’exposes, fils.
-Oui. T’inquiète le vieux, je sais prendre soin de moi come un grand, j’ai plus besoin que papa me ramène à la maison. »

Il te flanqua une claque à l’arrière du crâne et repartit vaquer à d’autres occupations.

« Sois pas en retard ce soir. Je compte sur toi. »

Un signe de la main et il disparu dans un coin sombre de la rue.

« Ouais, ouais. Je sais… »

Tu retournas à ton poste et t’emparas d’un chiffon afin de nettoyer les tables avant l’arrivée des premiers clients. Tu avais déjà prévenu tes collègues de la poste et ils savaient que tu ne serais pas de service ce matin. De toute façon, tu avais assez de contact là-bas pour que la majorité du contenu des lettres te soit transmise avant même qu’elles n’atterrissent entre les mains de leur propriétaire d’origine.
Tu astiques deux-trois tables avant de t’apercevoir qu’une jeune fille dort sur le comptoir. Tu n’as pas besoin de la secouer que, comme une fusée, elle se redresse et bougonne :

« Pourquoi diable ne m’a-t-on pas réveillé ? »

Elle se rafale sur le granit et, saisie d’une geule de bois monumentale, elle réclame un doliprane.

« On est pas là pour ça, faut savoir prendre soin de toi toute seule. »

La haine du matin n’est pas ton seul attribut. Elle aussi semble partager ton point de vue. Tu lui sers néanmoins un verre d’eau et une aspirine sortie du fond de ta poche.

« Attends une heure ou deux et ça fera de l’effet. Et…Va te coucher, tu as des valises sous les yeux, Obuto Niji. »

Avec un sourire, tu prononces distinctement son prénom. Bien sûr que tu la connais. Sa correspondance passe aussi entre tes mains…



HRP: je suis affreusement désolé du terrible retard que j'ai mis pour répondre. Et j'ai même pas d'excuse... Je suis impardonnable..